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Елухина Н.В. Французский язык. 7 класс-2003

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Parmi les fêtes nationales la plus aimée est la fête du 14 Juillet. Ce jour-là, en 1789 a eu lieu la prise de la Bastille. On décore les fenêtres de drapeaux tricolores. Le matin, il y a le défilé du 14 Juillet. A Paris, il a lieu sur les Champs-Elysées. Le Président de la République passe en revue les troupes de l'armée. Le soir, il y a des bals sur les places et de beaux feux d'artifice.

Le 8 mai et le 11 novembre sont aussi des fêtes nationales. Le 8 mai est la fête de la liberté et de la paix (victoire du 8 mai 1945). Le 11 novembre est aussi la fête de la victoire (armistice de 14-18), on fleurit les monuments aux morts.

Les fêtes religieuses françaises sont très nombreuses. A Pâques qui a lieu en avril ou mars, dimanche et lundi, les cloches des églises sonnent. On offre des œufs en sucre ou en chocolat aux enfants; il arrive parfois qu'on cache ces sucreries dans un jardin ou à la campagne pour amuser les petits.

Un mois avant Pâques commence la fête du Carnaval. La période du Carnaval va du Jour des Rois — un jour où on mange la galette des rois dans laquelle se trouve une fève1 , on tire "le roi" (celui qui trouve la fève dans sa part est proclamé "roi" et doit choisir "une reine" et inversement) — au Carême. Le Mardi gras est le dernier jour de la période du Carnaval qui donne lieu à des réjouissances particulières: beaucoup de choses à manger, on se déguise2 , on danse, parfois dans les rues, on organise des bals masqués. Le plus célèbre est celui de Nice, avec des défilés de chars fleuris et des batailles de fleurs.

La Chandeleur (le 2 février) marque la Fête de la présentation de Jésus au Temple. C'est un jour où traditionnellement en France on mange des crêpes ou des beignets3 selon les régions. C'est une fête portebonheur.

Le 15 août on fête l'Assomption. C'est une grande fête d'été: fête de la Vierge et des femmes qui s'appellent Marie. On assiste à des processions religieuses.

Le 1er novembre — la Toussaint, fête des Morts. On fleurit les tombes des parents ou des amis avec des chrysantèmes, "la marguerite des morts" comme le dit une chanson de Georges Brassens.

1 un e fève — пластиковая фигурка человека (мужчины или женщины), вели­ чиной с боб

2 on se déguise — рядятся

1 des beignets — оладьи

Noël (le 25 décembre) est la fête la plus aimée par les grands et les petits. Pour Noël, on décore le sapin, on va à la messe de minuit. Ce jour-là on mange la dinde comme plat principal et le dessert est un gâteau en forme de bûche1 . On offre comme partout ailleurs des présents aux enfants.

Une des plus gaies fêtes en France est le 1e r avril, la fête d'humour. Tout le monde fait des farces à ses amis et voisins et dit: "Poisson d'avril!"

C o m m e n t a i r e

armistice de 1 4 - 1 8 — on fête l'armistice à la fin de la Première Guerre mondiale.

2 3 . Répondez aux questions:

Comment avez-vous compris le titre du texte? Quelles fêtes vous avez aimées et pourquoi? Quelles fêtes sont les plus populaires, qu'en pensez-vous? Est-ce que les fêtes en France et chez nous sont les mêmes? Quelle fête préférez-vous et pourquoi?

24 . Apprenez

à traduire.

 

a)

Lisez le texte et dites

de quoi il s'agit.

b)

Tâchez

de traduire le

texte oralement, devinez le sens des mots nouveaux.

c)Pour vous assurer que vous avez bien deviné le sens de ces mots, notez et cherchez-les dans le dictionnaire.

d) Traduisez encore une fois les phrases avec des mots nouveaux.

I

SA MAJESTÉ CARNAVAL

Presque tous les peuples ont des fêtes traditionnelles. L'une des plus populaires en France est le Carnaval de Nice.

La forme moderne du Carnaval de Nice date de 1873. Un long cortège de chars fleuris traverse la ville. Des groupes masqués: arlequins, pierrots et colombines, font escorte à Sa Majesté Carnaval, bon roi de carton à figure réjouie. Masques et

une bûche — полено

spectateurs, tout le monde lance des confetti (il se jette pendant la durée du carnaval quelque 80 tonnes de confetti). De jolies filles deviennent reines... pour quelques jours. On livre des batailles de fleurs: les voitures disparaissent sous les pétales parfumés, jaunes, rouges et blancs... Les bals et les feux d'artifice se succèdent pendant plusieurs nuits...

Puis on éteint les lampions, on décroche les guirlandes et l'on parle

déjà du carnaval de l'an prochain...

II

PRÉNOMS ET NOMS

Tous les Français ne s'appellent pas Dupont. Vous pouvez aussi in-

venter des noms "bien français" en utilisant le texte suivant.

On peut obtenir beaucoup de noms:

avec un nom de métier: boucher, berger, charpentier, maçon, marchand,

marin, meunier, porcher...

E x e m p l e : Gustave Charpentier

avec l'article "le " suivi d'un adjectif de couleur de cheveux: brun, blond,

blanc, roux, rouge, noir, gris...

 

E x e m p 1 e: Albert Lebrun

avec

l'article

"le"

suivi

d'un adjectif "physique": grand, petit, gros,

gras, long, fort, jeune, beau...

 

E x e m p l e : Suzanne Lelong

avec

l'article

"le"

suivi

d'un adjectif "moral": franc, doux, sage...

 

E x e m p l e :

Giselle Lefranc

avec

l'article

"le"

suivi

d'un nom d'animal: oiseau, coq, chat, cerf...

 

E x e m p l e : Pierre

Lechat

avec "du, de, le, la " et

un nom de lieu: bois, champ, pré, val, vallon,

lac, chemin,

moulin, mont, ville, écluse...

 

E x e m p l e :

Augustine Dumoulin, Prosper Delécluse, Philippe

 

Dumont,

Marcel Laville

avec

un

adjectif

indiquant une province d'origine: breton, poitevin,

normand,

flamand, picard, lorrain, provençal...

 

E x e m p l e : Henri

Poitevin.

25. Voici deux plats que les Français font souvent. Lisez et traduisez ces recettes.

I.Purée de pommes de terre.

1.Epluchez des pommes de terre, lavez-les et faites-les cuir dans de l'eau bouillante salée.

2. Une fois cuites, écrasez-les dans une casserole.

3.Incorporez le beurre par petites noisettes et assaisonnez en sel et en poivre.

4.Ajoutez ensuite le lait ou la crème et mélangez bien. II. Le flan aux pruneaux (флан с черносливом)

4 oeufs

80 g. de farine

180 g. de sucre en poudre 3/4 litre de lait

500 g. de raisin

un petit verre de cognac un litre de thé

Dénoyautez les pruneaux (выньте косточки), faites-les tremper avec les raisins secs dans le thé tiède parfumé au cognac, laissez-les gon-

fler. Travaillez les oeufs avec le sucre, incorporez la farine et le lait

peu à peu. Ajoutez les 3/4 des pruneaux et les raisins. Versez la préparation dans une moule à charlotte (форма для шарлотки) beurrée et

faites cuir 3/4 d'heure à four doux. Servez le flan tiède ou froid accompagné de crème chantilly (сбитые сливки), garni de pruneaux et d'amandes.

26.Vous vous rappelez la nouvelle du grand écrivain français Guy de Maupassant "Le duel" que vous avez écoutée l'année passée. Voici encore une nouvelle du même auteur. Maupassant a écrit beaucoup de nouvelles sur la guerre franco-prussienne. Lisez le texte et dites pourquoi d'abord la mère Sauvage était bonne pour les soldats prussiens et pourquoi ensuite elle a changé d'attitude.

LA MÈRE SAUVAGE

Quand la guerre fut déclarée, le fils Sauvage, qui avait alors trentetrois ans, partit. Il laissa sa mère seule dans la maison qui se trouvait loin du village près du bois. Elle allait au village une fois par semaine, chercher du pain et un peu de viande, puis elle revenait chez elle. Comme on disait qu'il y avait des loups, elle sortait le fusil au dos.

Un jour, les Prussiens arrivèrent. On les logea dans les maisons des habitants du village. Quatre soldats furent logés chez la vieille. C'étaient quatre gros garçons blonds aux yeux bleus. Le matin, pendant que les quatre hommes faisaient leur toilette, la mère Sauvage allait et venait, elle préparait le petit déjeuner. Puis, elle nettoyait la cuisine, cassait du bois, lavait leurs chemises. Mais elle pensait toujours à son fils et demandait chaque jour aux soldats:

— Savez-vous où est parti le vingt-troisième régiment français? Mon fils est là-bas.

Ils répondaient: "Non, nous ne savons pas."

Un matin, où la vieille femme était seule à la maison, elle aperçut un homme qui venait vers sa maison. Bientôt, elle le reconnut, c'était le facteur. Il lui donna une lettre. La vieille tira ses lunettes et se mit à lire. C'était la lettre d'un soldat qui lui annonçait la mort de son fils.

La vieille ne pleure pas, elle reste immobile. Puis, peu à peu, les larmes montent à ses yeux. Elle ne verra donc plus son enfant, plus jamais. Les Prussiens ont tué son fils.

Tout à coup, elle entendit un bruit de voix. C'étaient les soldats prussiens. Elle cacha bien vite la lettre dans sa poche, essuya ses yeux et les reçut tranquillement.

Ils riaient tous les quatre, contents, car ils rapportaient un beau lapin. La mère Sauvage se mit tout de suite à préparer le déjeuner.

Elle se mit à table avec les Prussiens, mais elle ne put manger un seul morceau. Ils mangèrent le lapin sans s'occuper d'elle. La vieille les regardait de côté, sans parler.

Quand le déjeuner fut fini, elle porta du foin dans le grenier où couchaient les Prussiens. Ils s'étonnèrent. Mais elle expliqua: "Vous aurez moins froid", et ils l'aidèrent. Bientôt, le grenier fut plein de foin jusqu'au toit de paille.

Au dîner, la mère Sauvage ne mangeait point. Elle dit qu'elle était malade. Puis, elle alluma un bon feu pour se chauffer, et les quatre Allemands montèrent dans leur grenier par l'échelle qui leur servait tous les soirs. Quand la porte du grenier fut fermée, la vieille enleva l'échelle, puis ouvrit sans bruit la porte de dehors et alla chercher de la paille. Elle allait nu-pieds, dans la neige, si doucement qu'on n'entendait rien. De temps en temps, elle tournait la tête vers la maison pour écouter.

Bientôt, la cuisine fut pleine de paille. Alors, la vieille alluma la paille, puis elle sortit et regarda.

Le feu éclaira en quelques secondes tout l'intérieur de la maison. On entendit un grand cri, puis le toit s'écroula, le feu monta dans le ciel. Toute la maison flamba, un moment après, elle s'écroula.

Des gens arrivaient, des paysans, des Prussiens.

On trouva la femme assise devant sa maison, tranquille et satisfaite. Un officier allemand, qui parlait le français comme un fils de Fran-

ce, lui demanda:

— Où sont vos soldats?

Elle montra le feu rouge et répondit d'une voix forte:

— Là-dedans!

D'après G. de M a u p a s s a n t , La mère Sauvage

27 . Prouvez par des citations du texte que:

la mère Sauvage était une pauvre paysanne; la mère Sauvage aimait beaucoup son fils;

d'abord elle ne comprenait pas que les soldats prussiens étaient des ennemis;

la vieille l'a compris quand elle a appris la mort de son fils, tué par les Prussiens.

28 . Dites avec plus de détails:

Quand la guerre a été déclarée, le fils de la mère Sauvage est parti au front, et la vieille femme est restée toute seule dans sa maison. Quand les Prussiens sont arrivés au village, on a logé quatre soldats chez la mère Sauvage et elle s'est occupée d'eux. Un jour, le facteur lui a apporté une lettre qui lui annonçait la mort de son fils. Alors, elle a décidé de tuer les Prussiens.

29 . Dites si vous avez aimé la nouvelle "La mère Sauvage". Rappelez-vous la nouvelle

"Le duel" et dites ce qu'il y a de commun entre ces deux nouvelles.

30 . a) Apprenez à faire les dialogues: répondez à la question qu'on vous pose; exprimez le consentement (согласие), le doute (сомнение) ou le refus (отказ). Posez la même question à quelqu'un de vos camarades, travaillez en paires. Employez dans

vos réponses les expressions suivantes:

 

Ça oui! — Да, конечно!

Peut - être . — Может быть.

Bien sûr.

1

Конечно

C'est possible.— Возможно.

Certainement. '

 

Qui sait? — Как знать?

Bien entendu . — Разумеется.

Ça d é p e n d . — Это зависит от обсто-

Sans d o u t e . —

Наверное.

ятельств.

Plus ou m o i n s . — Более или менее.

Pas du tout . — Ничего подобного.

Mais non! — Да нет же!

Je n'en sais rien . — Понятия не имею.

Certainement pas!

— Конечно, нет!

 

M o d è l e :

Connais-tu

la

géographie de

la France?

Oui, bien

sûr!

Et toi, Michel,

est-ce que tu la connais?

Voici les premières questions pour vos dialogues:

As-tu jamais voyagé en France?

Corresponds-tu avec un Français?

Sais-tu quels sont les plus grands fleuves de la France? Est-ce que la géographie est une science intéressante?

b) Composez vous-mêmes des dialogues pareils, employez-y les expressions données.

3 1 . Apprenez le dialogue suivant. Remplacez les mots Bretagne et les Alpes par d'autres noms de régions, de villes et de montagnes de France.

A: Il y a longtemps que Jean est parti?

B:Mais oui. Ça fait bientôt deux semaines.

A:Et où est-ce qu'il est allé?

B:Il voulait aller en Bretagne. Mais on dit que le temps y est mauvais. Alors, il est allé autre part, dans les Alpes, peut-être.

A:Ça doit être ça... On est bien mieux dans le Midi.

SUJET LIBRE DE CONVERSATION

32 . Discutons.

Qu'est-ce qu'il y a eu d'intéressant le mois dernier? Parlez-en! Le temps passe vite, n'est-ce pas? Nous sommes déjà en plein hiver. Est-ce que cette année le mois de décembre est assez froid, est-ce qu'il y a beaucoup de neige? En profitez-vous pour faire des sports d'hiver? Vous préparez-vous au Noël et à la joyeuse fête du Nouvel An qui vont venir? Aimez-vous ces fêtes? Préparez-vous des cadeaux à vos parents et amis? Aurez-vous un arbre de Noël? Qui va l'orner? Et les vacances d'hiver, les aimez-vous? Quels sont vos projets pour les vacances? Parlez-en!

33 . Apprenez la poésie.

AH! QUE LA FRANCE EST BELLE!

J'habitais un coin du Midi,

Au joli temps de mon enfance,

Pour moi, c'était le Paradis, Mais j'ai fait le tour de France...

Ah! que la France est belle, Avec ses champs, ses bois, Ses vallons et ses clochers! Chaque région nouvelle Nous fait, soudain, découvrir Des trésors cachés

Dans le train qui me transportait Au milieu des doux paysages, Je penchais mon jeune visage, Et le cœur joyeux, je chantais: Du Rhône à la Rochelle,

De la Garonne

Au souriant pays normand. Ah! que la France est belle! Et comme on est heureux D'être un de ses enfants!

P. В a y 1 e

RÉVISION DU DEUXIÈME TRIMESTRE

1. a) Répétez les verbes du type partir, dormir, s'endormir, sentir, servir. Mettez les verbes au présent et ensuite au futur simple.

Mon frère (partir) pour un long voyage. Il (s'endormir) vite. Ce divan lui (servir) de lit. Je (dormir) mal.

b) Mettez les verbes au passé composé et ensuite au passé simple.

Elle (partir) en vacances. Je (dormir) une heure. Elle (s'endormir) vite. Nous (sentir) une grande faim. On leur (servir) un dîner magnifique. Tous (sortir) sur le balcon après le dîner.

c) Mettez les verbes courir, parcourir aux temps indiqués.

En les voyant, ils (présent) à leur rencontre. Je (présent) sans me retourner. Les enfants (passé simple) dans les champs. Je (futur) appeler le médecin. Je (présent) le journal dans le métro. Il (passé simple) le livre en une journée.

2.Lisez les phrases suivantes et justifiez l'emploi de qui, que.

On apercevait de la route le toit de sa maison qui se cachait derrière les buissons. Le mur qui s'élevait devant Jean Valjean était très haut. Le facteur a dit qu' il avait une lettre pour la vieille femme. La femme qui remarqua des officiers allemands recula vers l'étable. Le vieillard boiteux que Jean Valjean reconnut était prêt à l'aider.

3. Relevez les verbes qui sont au passé simple, recopiez-les, soulignez les terminaisons et écrivez leur infinitif.

Il fut malade. Il eut peur. Jean Valjean vint le voir. Le chasseur vient au club de chasseurs. Il prit son fusil. Le malade a pris sa température. Le chasseur eut peur. Il n'a pas pu tirer. Il ne put que fermer les yeux. Le prisonnier s'évada de la prison. Il s'enfoncera dans la forêt. Je chargeai le fusil. Tout le monde respectait cet homme. Jean n'écoute pas le maître, il lit un livre. Il lut la lettre et la mit dans sa poche.

4.Exprimez les actions passées dans les phrases ci-dessous, ouvrez les parenthèses et mettez les verbes au passé simple ou à l'imparfait.

A Strasbourg, un jeune officier (composer et chanter) dans la maison du maire de la ville le chant qui est devenu plus^tard l'hymne national des Français. Chaque jour, les touristes (parcourir) un coin de la ville; ce matin-là, ils (s'arrêter) devant un palais et (décider) de

visiter le musée qui (s'y trouver). Cette année-là M. Vincent (visiter) toute la France: il (s'arrêter) souvent dans les villes et villages, (se promener) dans les rues, (parler) aux habitants.

5. Lisez le texte suivant, justifiez l'emploi du passé simple, du passé composé et de

l'imparfait.

Cosette sortit de dessous la table et prit la poupée d'Eponine et d'Azelma. Un instant après, elle était à sa place et jouait avec la poupée. Son bonheur dura près d'un quart d'heure. Tout à coup, Azelma dit à Eponine:

-— Regarde, ma sœur, Cosette a pris notre poupée. Eponine se leva, alla vers sa mère et la tira par la jupe. -— Mère, dit-elle, regarde!

La Thénardier se retourna et vit Cosette avec la poupée.

— Cosette! cria-t-elle.

Cosette prit la poupée et la posa doucement à terre, elle pleurait. Le voyageur se leva.

Qu'est-ce donc? dit-il à la Thénardier.

Vous ne voyez pas, elle a touché avec ses mains sales la poupée de mes filles?

L'homme alla à la porte de la rue, l'ouvrit et sortit. Un moment

après, il reparut. Il portait dans ses bras une grande poupée. Il la posa

debout devant Cosette et lui dit:

— Tiens, c'est pour toi.

6. Dans les phrases suivantes remplacez les mots soulignés par des synonymes.

Mon auteur préféré est Dumas. Regarde le lac, l'eau est tranquille aujourd'hui. Mon chien a aboyé joyeusement quand il m'a vu. Les vaches mangent de l'herbe. Ma mère m'a acheté des vêtements neufs. Le chat a aperçu une souris et s'en est approché sans bruit. Tous les élèves de notre classe veulent visiter la France.

7. Donnez

les antonymes

des mots: haut, allumer, à voix basse, vite, faible, solide et

faites-les

entrer dans de

petites phrases.

8.Classez les mots suivants d'après leur radical (leur famille):

crier, peuple, calme, chasse, lever, respirer, s'enfoncer, voler, glace, reconnaître, vieux, population, s'écrier, sport, habitude, soulever, respiration, glacer, libre, vol, chasser, fond, connaître, cri, élever, se calmer, vieillard, librement, s'habituer, sportif, chasseur, peupler.

9.a) Formez des verbes à l'aide du préfixe re-, donnez leur acception.

M o d è l e : lier — relier.

Tenir, lever, lire, monter, mettre, prendre, marquer, partir, passer, trouver, voir, tomber, tirer, commencer, commander, connaître, chercher, apporter.

b) Formez les adjectifs correspondant aux verbes suivants à l'aide du suffixe -able.

M o d è l e : durer — durable

Manger, pratiquer, passer, naviguer.

10.Jouez une scène. Le professeur interroge les élèves sur la géographie de la France. Les élèves doivent nommer:

les régions de la France où le climat est maritime (continental); les régions navigables;

les régions les plus peuplées; les régions des champs;

les régions des mines de fer et de charbon; les régions qui attirent beaucoup de touristes.

11. Parlez d'une région de notre pays que vous connaissez bien.

12. Dites si vous prenez les livres à la bibliothèque; décrivez cette bibliothèque. Imaginez un dialogue avec une bibliothécaire.

13. Dites quel livre vous choisiriez à la bibliothèque ou à la librairie et pourquoi: un livre d'aventures, de voyages, des récits sur la guerre ou des histoires amusantes.

14. Parlez du genre de lecture que vous préférez.

15. Dites ce que vous avez lu l'année passée et ce que vous lisez cette année.

16. Parlez de l'écrivain français que vous aimez le mieux. Organisez une discussion à ce sujet.

17. Jouez une scène. Travaillez en paires.

Un de vos amis a visité la France avec ses parents, posez-lui des

questions sur son voyage et sur les régions qu'il a visitées.