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Елухина Н.В. Французский язык. 7 класс-2003

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bord — port — fort — mort — corps

cou — doux — fou — loup — nous — sous — tout — vous

2. a) Dans les phrases que vous allez écouter traduisez les mots: bord, cœur, bête, rond, soin.

J'ai passé mes vacances au bord de la mer Noire. A bord du "Duncan" il y avait peu de passagers. Cette vieille femme a le cœur malade. J'ai appris par cœur la poésie "Bonjour, Monsieur le Maître d'école." J'ai vu beaucoup de bêtes sauvages au zoo. Cet homme est bête, il ne comprend jamais rien. Le matelot a aperçu un objet rond dans F eau. Le professeur de mathématiques dit: "Dessinez un rond." Les écoliers prennent soin des vieux et des malades. Je fais mes devoirs avec soin.

b) Faites des phrases avec les mots:

le bord — à bord, le cœur — par cœur;

la bête — bête, le rond — rond, le soin — avec soin.

3. a) Ecoutez des phrases, retenez les expressions avec le verbe avoir et notez-les.

Le maître a raison: il faut beaucoup lire. Vous avez tort: la télévision ne remplace pas la lecture. Je suis très fatigué, j'ai faim, j'ai soif et surtout j'ai sommeil. J'ai envie de faire un long voyage en bateau. Et tu n'as pas peur de la tempête? J'ai besoin de livres français pour la lecture à domicile. Toi, tu as de la chance. Tes parents ont une riche bibliothèque.

Où aura lieu la réunion de notre cercle? — Dans la salle des fêtes.

b) Dites ce que les expressions avoir raison, avoir tort, avoir faim, avoir soif, avoir sommeil, avoir envie, avoir peur, avoir besoin, avoir de la chance, avoir lieu signi-

fient et faites-les entrer dans des phrases.

4. Vous

allez

écouter des phrases avec les pronoms adverbiaux en et y. Dites quels

mots

ils

remplacent.

J'aime les animaux. J'en prends toujours soin. Les chasseurs ont pris leurs fusils. Ils en auront besoin. Je lirai tous les livres de Jules Verne. J'en ai envie. Quel est ce vieux document? On peut y lire quelques mots anglais.

5.(Après l'ex 22.) Récitez le commencement de la poésie "Si les nouvelles ne sont pas

bonnes..." (page 45).

Récitez

d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Mais prê-

tez toujours attention

à votre

prononciation.

6. Vous allez écouter des phrases. Répétez le groupe nominal.

M o d è l e :

Le personnage principal du roman "Les Trois Mousquetaires" est d'Arta-

gnan.— Le personnage principal.

Tous les romans d'Alexandre Dumas sont très captivants. Les livres français ne sont pas faciles à lire. Mon auteur préféré est Dumas. La lecture est une bonne distraction. Les romans d'aventures sont très amusants.

7. Voici quelques titres des récits, devinez de quoi il s'agit.

Une aventure en Calabre. Histoire de chasse. Une évasion. Un sauvetage.

8. (Après l'ex 27.) Dites ce que signifient:

a) les mots analogues aux mots russes:

la philosophie, le major, la bouteille;

b) le mot de la même famille:

o u v r i r — o u v e r t u r e (f)

Par l'ouverture de la porte on voit une jolie chambre à coucher.

c) les

synonymes:

i n s t a n t

(m) - m o m e n t (m)

On a entendu un cri: "Au secours!" Quelques instants après on a mis le canot à la mer.

d) les mots: une voyelle, une consonne, un ordre, disparaître.

Les sons a et о sont des voyelles. Les sons b et d sont des consonnes. Le capitaine du navire a donné l'ordre de mettre le canot à la mer. Le lit n'est

pas fait, les vêtements ne sont pas rangés, il faut mettre de l'ordre dans la chambre. Mon père est décoré de l'ordre du Drapeau Rouge. Le canot a disparu à l'horizon, on ne le voit plus.

9. Voici une

scène de

la

célèbre

comédie

de Molière "Le Bourgeois gentilhomme".

Ecoutez-la

et dites

si

vous la

trouvez

amusante.

Vous Connaissez le nom de Molière (son vrai nom est Jean-Baptiste Poquelin), né à Paris en 1622, mort en 1673. Ses principales comédies sont: "Le Médecin malgré lui", "Le Bourgeois gentilhomme", "Le Malade imaginaire". Dans ses comédies, Molière s'attaque à tout ce qui est ridicule. Les pièces de Molière sont des chefs-d'œuvre connus dans le monde entier et joués jusqu'à nos jours.

LA PREMIÈRE LEÇON DE MONSIEUR JOURDAIN

Monsieur Jourdain est un bourgeois, aussi bête que riche. Il veut apprendre les bonnes manières et s'instruire pour devenir gentilhomme.

M o t s e t g r o u p e s d e m o t s n o u v e a u x

elles expriment la voix, on allonge, la mâchoire, on écarte, comme si vous faisiez la moue

Le

m a î t r e

de

p h i l o s o p h i e : Que

voulez-vous apprendre?

M . J o u r d a i n : Apprenez-moi l'orthographe.

Le

m a î t r e

de

p h i l o s o p h i e : Très

volontiers. Les lettres sont

divisées en voyelles parce qu'elles expriment la voix, et en consonnes, parce qu'elles sonnent avec les voyelles.

M. J о u r d a i n: Je vous comprends bien.

Le maître de

p h i l o s o p h i e : La voyelle A se forme si on ouvre la

bouche: A.

 

M. J о u r d a i n: A, A. Oui.

Le m a î t r e

de p h i l o s o p h i e : La voyelle E se forme si on

rapproche la mâchoire d'en bas de la mâchoire d'en haut: A, E.

M. J о u r d a i n: A, E, A, E. Ma foi, oui. Ah! Que cela est beau!

Le m a î t r e de p h i l o s o p h i e : Et la voyelle I, si on rapproche encore les mâchoires l'une de l'autre, et si on écarte les deux coins de la bou-

che vers les oreilles: A, E, I.

M. J о u r d a i n: A, E, 1,1,1,1. Cela est vrai. Vive la science!

Le maîtr e de p h i 1 о s о p h i e: La voyelle О se forme si on ouvre les mâchoires et rapproche les lèvres par deux coins, le haut et le bas: O.

M. J о u r d a i n: О, O. Il n'y a rien de plus juste. A, E, I, O. Cela est admirable: I, О, I, O.

Le maître de p h i l o s o p h i e : L'ouverture de la bouche fait justement un petit rond qui représente un O.

M. J о u r d a i n: O, O, O. Vous avez raison, O. Ah! la belle chose que de savoir quelque chose.

Le maître de p h i 1 о s о p h i e: La voyelle U se forme si on rapproche les dents et allonge les deux lèvres en dehors et les approche aussi l'une de l'autre: U.

M. J о u r d a i n: U, U, il n'y a rien de plus véritable: U.

 

Le

m a î t r e

de

ph i 1 o s o p h i e: Vos deux lèvres s'allongent comme si

vous faisiez la moue à quelqu'un.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

M. J о u r d a i n: U, U. Cela est vrai. Ah! que n'ai-je étudié plus tôt pour

savoir tout cela!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le

m a î t r e

de

p h i 1 о s о p h i e: Demain, nous apprendrons les autres

lettres qui sont les consonnes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C o n t r ô le de la c o m p r é h e n s i o n

 

 

 

 

 

 

 

 

 

10.

Dites

 

ce

que

Monsieur

Jourdain

a

appris

pendant sa

première

leçon,

si

cela

lui

 

plaît

 

d'apprendre,

citez

quelques

mots qui

le

prouvent.

 

 

 

 

 

11.

(Après

l'ex.

34.)

Vous avez lu des livres de

Jules Verne,

et sans

doute

vous

les

avez

 

aimés.

Voici un

extrait du roman

de

Jules Verne

"Les enfants du

capitaine

Grant".

Ecoutez le texte et dites si vous savez ce au 'on fera ensuite.

LA BOUTEILLE

M o t s e t g r o u p e s d e m o t s n o u v e a u x

un mât, un requin, attirer, un morceau de lard, l'estomac, retirer, être sur les traces de qn, le mot de l'énigme

Le 26 juillet 1864, un navire courait sur l'eau du canal du Nord. Le drapeau d'Angleterre flottait au mât. C'était le navire du lord Edward Glenarvan et il s'appelait le "Duncan".

Lord Glenarvan se trouvait à bord avec sa jeune femme lady Hélène et un de ses cousins le major Mac Nabbs.

Le "Duncan" rentrait au port. Tout à coup, un matelot a vu un énorme poisson qui nageait tout près du navire. Le capitaine John Mangles a parlé à lord Edward de cette rencontre. Lord Glenarvan est monté sur le pont et a demandé au capitaine quel genre de poisson c'était.

Vraiment, a répondu John Mangles, je pense que c'est un gros requin.

Un requin? dans ces eaux? s'est étonné Glenarvan.

Mais oui, ce poisson se rencontre dans toutes les mers. Si vous le voulez, nous tâcherons de le prendre.

Faites, John, a dit lord Glenarvan.

Lady Hélène est montée sur le pont pour voir cette pêche intéressante. John Mangles a donné des ordres. Les matelots ont jeté par-dessus le bord une corde solide avec un gros morceau de lard au bout. Le poisson s'est rapproché rapidement du navire. C'était là vraiment un requin: sa tête était large et pour mieux attraper le lard il s'est retourné sur le dos. Le lard a disparu dans sa bouche énorme. Les matelots ont attiré le requin vers le navire. Quelques instants après il s'est trouvé sur le pont et un des matelos l'a tué d'un coup de hache. A bord de tout navire on examine avec soin l'estomac du requin, car les matelots y trouvent souvent quelque surprise.

Cette fois on ne s'est pas trompé. Lorsqu'un matelot a ouvert avec une hache le ventre du requin, on y a vu un objet étrange.

C'est une bouteille, s'est écrié lord Glenarvan, il est nécessaire de la retirer: dans les bouteilles trouvées en mer il y a souvent des documents très intéressants.

Le capitaine John a retiré la bouteille du ventre du poisson et l'a posée sur une table. Lord Glenarvan, le major Mac Nabbs, le capitaine John Mangles et lady Hélène se sont assis autour de cette table.

Lord Edward a regardé dans la bouteille.

Je ne me trompais pas! il y a là un document — regardez, voici un

papier.

Lord Edward a mis sur la table le papier pris dans la bouteille et Га regardé attentivement.

— Ce papier a bien souffert de la mer, pourtant on peut y lire quelques mots français.

Glenarvan a pris une plume, a copié le document et a montré à ses amis un

papier où on a lu les mots suivants:

 

 

 

 

7 juin 1862...

navire "Britannia" ... Glasgow

... sombré

... gonie ...

austral

... à terre deux matelots

capitaine Gr...

abor...

contin ...

pr ... curel

... di...

jeté ce document...

de longitude et 37°11 ...

de latitude. Venez à leur secours ...

perdus.

 

 

 

 

 

 

— Nous sommes sur les traces d'une grande catastrophe, a dit Glenarvan. Tâchons de deviner le mot de cette énigme.

C o n t r ô le de la c o m p r é h e n s i o n

12. Répondez aux questions:

Où se trouvaient lord Glenarvan, sa femme et son cousin? Qu'est-ce qu'un matelot a vu tout à coup? Qu'est-ce que le capitaine a proposé à lord Glenarvan? Est-ce que lord Glenarvan a permis de prendre le poisson? Comment est-ce que les matelots ont attrapé le requin? Pourquoi est-ce qu'on a ouvert le ventre du poisson? Qu'est-ce qu'on y a vu? Pourquoi est-ce que lord Glenarvan a dit de retirer la bouteille? Est-ce que lord Edward s'est trompé? Qu'est-ce qu'on a trouvé dans la bouteille? Est-ce qu'on pouvait comprendre le texte du document? Qu'est-ce que lord Glenarvan a dit?

13. Choisissez les phrases qui correspondent au texte et faites-en un plan.

Le "Duncan" allait en mer. Le "Duncan" rentrait au port. Lord Glenarvan, sa femme et son cousin se trouvaient à bord. Lord Glenarvan, sa femme et son cousin attendaient le navire au port. On a vu un gros poisson. On a vu un sous-marin. Lord Glenarvan a dit de ne pas attaquer ce, poisson. Lord Glenarvan a dit de prendre ce poisson. Les matelots ont pris le requin. Les matelots n'ont pas pu le prendre. On a trouvé une bouteille dans le ventre du requin. Il n'y avait rien dans la bouteille. Il y avait un document dans la bouteille. On n'a pas pu bien comprendre le document. On a bien compris le document. Il s'agissait d'une catastrophe. Il s'agissait d'une plaisanterie.

14.

Résumez le texte d'après le

plan de

l'ex.

13.

15.

(Après l'ex. 37.) Narration.

Ecoutez

un

récit, puis répondez par écrit aux questions

 

suivantes:

 

 

 

Est-ce que Jacques était un enfant singulier? Est-ce qu'il pleurait souvent? Qu'est-ce qu'il répondait quand on lui demandait: "Qu'as-tu?" Est-ce qu'il avait des raisons pour pleurer? Est-ce que Jacques était heureux? Pourquoi M. Eyssette a-t-il fini par se fâcher? Est-ce que Jacques avait peur de son père? Quel était le résultat de cette peur? De quoi s'aperçoit-on un jour au moment de se mettre à table? Qu'est-ce que Jacques propose? Qu'est-ce qu'il prend? Que dit M. Eyssette? Estce que Mme Eyssette demande à Jacques de ne pas casser la cruche? Que dit Jacques à son père? Quel air a-t-il quand il sort? Est-ce que Jacques revient vite? Qui commence à s'énerver? Que dit M. Eyssette? Qui va voir? Est-ce que M. Eyssette s'est trompé? Où est Jacques? Que dit-il quand il voit son père? Comment appelle-t-on cette histoire dans la famille Eyssette?

MON FRÈRE JACQUES

M o t s e t g r o u p e s d e m o t s n o u v e a u x singulier, en larmes, incapable, hausser les épaules, une cruche

Un singulier enfant que mon frère Jacques! Le soir, le matin, le jour, la nuit, en classe, à la maison, en promenade, il pleurait toujours, il pleurait partout. Quand on lui disait: "Qu'as-tu?" il répondait, les larmes aux yeux: "Je n'ai rien." Et le plus intéressant, c'est qu'il n'avait vraiment rien. C'était une habitude, voilà tout.

Pauvre Jacques! il n'était pas heureux. Notre père, M. Eyssette, fatigué de le voir toujours en larmes, a fini par se fâcher.

On entendait tout le jour: "Jacques, tu es un âne!" C'est parce que le malheureux Jacques, quand son père était là, était incapable de rien faire. M. Eyssette lui portait malheur. Ecoutez la scène de la cruche.

Un soir, au moment de se mettre à table, on s'aperçoit qu'il n'y a plus d'eau dans la maison.

Si vous voulez, j'irai en chercher, dit ce bon enfant de Jacques. Et le voilà qui prend la cruche, une grosse cruche solide.

M.Eyssette hausse les épaules.

Si c'est Jacques qui y va, dit-il, la cruche est cassée.

Tu entends, Jacques, c'est Mme Eyssette qui parle de sa voix tranquille, ne la casse pas, fais bien attention, promets-le-moi!

M.Eyssette reprend:

Oh, il la cassera tout de même.

Ici on entend la voix de Jacques qui pleure déjà.

— Mais enfin, pourquoi dois-je la casser?

Tu ne dois pas la casser, je te dis que tu la casseras, voilà tout, répond M. Eyssette.

Jacques ne dit rien, il prend la cruche et sort avec l'air de dire:

— Ah! je la casserai? Eh bien! nous allons voir!

Cinq minutes, dix minutes passent, Jacques ne revient pas. Mme Eyssette commence à s'énerver.

Qu'est-ce qu'il lui est arrivé?

Rien, dit M. Eyssette. Il a cassé la cruche et il a peur de rentrer. Et il se lève et va ouvrir la porte pour voir. Il ne s'est pas trompé. Jacques est près de la porte, les mains vides. Quand il voit M. Eyssette, il pâlit et d'une voix faible, oh si faible "Je l'ai cassée", dit-il.

Dans la famille Eyssette nous appelons cela "la scène de la cruche".

 

 

 

D'après A . D a u d e t ,

Le

Petit Chose

Leçon 3

 

 

 

 

1. (Après

l'ex. II.) Précisez

ce que

ces phrases expriment (l'ordre,

la

demande, la

question,

Vétonnement, la

peur,

la joie).

 

 

Il faut respecter les vieillards. Ton ami est orphelin? Eteins la lumière, s'il te plaît! Calme-toi! Cet arbre va tomber, il va nous écraser! Comment, tu n'as pas lu "Les Misérables"? J'ai gagné un prix!

2. a) Dans les phrases que vous allez écouter relevez les mots de la même famille.

Le chasseur lève son fusil et tire. Aide-moi, s'il te plaît, à soulever cette table. Ce bon vieillard élève une orpheline. Il est nécessaire d'enlever le chapeau quand on entre dans la maison.

b)

Dites ce

que les

mots lever, soulever, élever

et enlever signifient.

3. a)

Ecoutez

des phrases et levez la main quand les

verbes faire, venir et se mettre

s'emploient

devant

un autre verbe à l'infinitif:

 

Ce professeur nous fait le cours d'histoire. Ma dent me fait très mal, je ne peux plus supporter cette douleur. Mes parents veulent me la faire arracher. Un bruit de pas se fait entendre. "C'est un lion qui vient", a dit le chasseur. Je viens chercher mon fusil. Le chasseur se met à tirer des coups , de fusil. Les élèves se mettent en rang. Un grand garçon s'est mis à battre un petit.

b) Dites ce que veut dire: me la faire arracher, se faire entendre, venir chercher,

se mettre à tirer, se mettre à battre.

4. Précisez le temps des verbes et donnez leur infinitif: il fut, il fit, il mit, il vit, il vint.

il roula — il roulera, il donnera — il donna, il pensa — il pensera, il respira — il respirera.

6. (Après l'ex. 13.) Devinez qui parle: une fille ou un garçon.

Je suis forte en langues étrangères. Je suis fou de joie. Je suis orphelin. Je suis Allemand. Je suis Italienne.

7.Vous allez écouter des phrases, répétez le groupe verbal. M o d è l e :

Plusieurs prisonniers ont réussi à s'évader du camp de concentration —

ont réussi à s'évader.

Tout le monde respecte beaucoup ce vieillard. L'enfant promet d'être sage. II est temps de se coucher, j'ai sommeil. L'histoire de cet orphelin me rend triste. Le récit de ce chasseur m'a fait oublier ma douleur.

8. Ecoutez un dialogue et répétez-le de mémoire. (Сначала преподаватель читает весь диалог и объясняет то, что непонятно. Затем он читает одну реплику, и учащиеся повторяют ее хором. После того как диалог прочитан таким образом, учащиеся воспроизводят его целиком и наконец рассказывают его по лицам.)

A:As-tu déjà lu le livre que je t'ai donné?

B:Pas encore, mais je ne suis pas loin de la fin. C'est un livre formidable!

A:Ah, bon. Il te plaît à toi aussi?

B:Et comment! Je n'ai jamais rien lu de plus beau.

A:Tu as raison. Je vais le relire.

9. (Après

l'ex.

21.)

Dites

ce

que signifient:

a) les

mots

de

la

même

famille:

voir — vu — vue (f)

J'ai la vue faible. A la vue d'un tigre le chasseur a tiré. garder — gardien (m)

Le gardien a aidé les prisonniers à s'évader.

s'évader — évasion (f)

Le prisonnier a longtemps préparé son évasion. attendre — attendu — inattendu

On n'attendait pas le docteur. C'était une visite inattendue, violon (m) — violoniste (m)

Paganini était un célèpre violoniste.

b) les synonymes:

surpris = étonné

Tu as fouillé dans ma table, j'en suis surpris.

с) les mots: un compagnon, un trou et gagner:

J'ai eu un compagnon de voyage très sympathique. La souris peut passer par un tout petit trou. J'ai gagné un prix à la loterie. Mon frère gagne beaucoup d'argent. Autrefois, les enfants de pauvres commençaient à travailler très tôt pour gagner leur vie.

10.

Vous

aimez,

sans

doute,

les

livres

d'Alexandre

Dumas.

Savez-vous qu

'il

a écrit

non

 

seulement

un

très

grand

nombre

de

romans,

mais

aussi

des

récits

très

intéressants.

 

Ecoutez

un de

ces

récits.

Voici

son

titre: "Un

étrange prisonnier".

De

quoi s'agit-il

 

qu'en pensez-vous?

A

présent

écoutez

le

récit

et

dites

si

vous

avez

bien

deviné

son

 

contenu.

(Рассказ

читается

учителем

один

раз в

среднем

темпе.)

 

 

UN ÉTRANGE PRISONNIER

M o t s n o u v e a u x

détacher, imprudent, l'imprudence, profiter, second

Dans la prison de Berne se trouvait un prisonnier condamné à mort. Une nuit, il se mit à faire un trou dans le mur. Après de longues heures de travail, il entendit que, de l'autre côté du mur, on travaillait aussi, cela lui donna de l'espoir.

"C'est un malheureux comme moi, pensa le prisonnier, s'évader ensemble, ce sera plus facile."

Cependant, le travail avançait, son compagnon travaillait avec énergie, mais il était imprudent: les pierres qu'il détachait roulaient avec bruit et sa respiration se faisait entendre avec force.

Le condamné à mort faisait tout son possible pour terminer au plus vite le travail car l'imprudence de son compagnon pouvait, d'un moment à l'autre, trahir leur évasion. Heureusement, il restait peu de chose à faire. Une grosse pierre seule restait. Cinq minutes après, elle roula de l'autre côté.

Le prisonnier respira de l'air frais, il vit que ce secours inattendu venait d'un fossé qui touchait au mur de la prison.

Le prisonnier voulut passer par le trou, mais, tout à coup, il rencontra un ours qui faisait, de son côté, tout son possible pour passer par le trou. A Berne, à cette époque-là, le fossé qui touchait au mur de la prison était habité par des ours.

Le prisonnier devait choisir: revenir dans la prison ou passer devant un ours. Il choisit le second.

\ A la vue inattendue d'un homme, l'ours s'arrêta. Le prisonnier profita de ce moment et s'évada.

Le lendemain, le gardien de la prison qui vint chercher le condamné à mort fut tout effrayé de voir un énorme ours couché sur la paille du prisonnier.

D'après A. D u m a s, Voyages en Suisse

//. a) Choisissez les phrases qui correspondent au texte.

Une nuit, un prisonnier de la prison de Berne se mit à faire une corde pour s'évader. Une nuit, le prisonnier se mit à faire un trou dans le plancher. Une nuit, le prisonnier se mit à faire un trou dans le mur.

Après de longues heures de travail, il entendit des voix. Après de longues heures de travail, il entendit que, de l'autre côté du mur on travaillait aussi. Le travail dura de longues heures, enfin le prisonnier vit de la lumière.

"C'est un autre prisonnier", pensa-t-il. "C'est un de mes amis qui veut m'aider", pensa-t-il. "Ce sont des ouvriers qui réparent les murs", pensa-t-il.

Son compagnon travaillait lentement, parce qu'il était prudent. Son compagnon ne travaillait plus. Son compagnon travaillait avec énergie, mais il était impmdent.

Le prisonnier se dépêchait car le gardien pouvait découvrir le trou. Le prisonnier se dépêchait car l'imprudence de son compagnon pouvait les trahir. Le prisonnier ne se dépêchait pas.

Le prisonnier vit que le trou menait dans le fossé qui touchait au mur de la prison. Le prisonnier vit que le trou menait dans le corridor de la prison. Le prisonnier vit que le trou menait dans la cour de la prison.

Tout à coup, le prisonnier aperçut le gardien de la prison. Tout à coup, le prisonnier aperçut son ami. Tout à coup, le prisonnier aperçut un ours. Le fossé était habité par des ours. Le fossé était habité par des chiens. Le fossé était habité par des tigres.

A la vue d'un homme, l'ours se jeta sur lui. A la vue d'un homme, l'ours s'arrêta. A la vue d'un homme, l'ours revint dans le fossé.

Le prisonnier s'évada. Le prisonnier revint dans la prison. Le prisonnier se cacha dans le fossé.

Le lendemain, le gardien trouva le prisonnier. Le lendemain, le gardien ne trouva personne. Le lendemain, le gardien trouva un ours énorme.

b)

Résumez le

récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Inventez

une

autre

fin

à

ce

récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

12.

(Après

l'ex.

24. )

Narration.

 

Vous

avez entendu

parler

du gratul

écrivain

de

notre

temps

Romain

Rolland.

Il

a

écrit

plusieurs romans

parmi lesquels

le

plus

célèbre

est "Jean-

Christophe" .

 

Romain

Rolland

connaissait

 

bien

notre

pays,

il

y

est

venu.

Il

aimait

beaucoup

la littérature

russe

et était

un

grand

ami

de

Gorki.

Voici

un

extrait

de

son

roman

"Jean-Christophe". Ecoutez le récit, puis écrivez-en le résumé en déve-

loppant les idées

suivantes.

(Текст читается два раза. Фразы записываются на доске.)