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Елухина Н.В. Французский язык. 7 класс-2003

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J'ai bu un peu de cette eau. Quelle horreur!1 Je l'ai rejetée à la mer parce qu'elle était salée avec le sel de la tente. J'ai lavé la tente. L'eau que j'ai dû boire ensuite avait un goût de caoutchouc, mais elle était pour moi un vrai trésor. Je me suis lavé avec grand plaisir.

Cette pluie a été courte, mais très forte. Elle m'a permis, bien sûr, de boire ce jour-là, mais aussi de mettre de côté à peu près quinze litres d'eau. Si je ne péchais pas les jours suivants, si je n'avais rien à manger, je pourrais boire.

Pendant vingt et un jours, depuis mon départ, je n'avais pas bu d'eau douce. Je n'avais bu que de l'eau que j'avais tirée du poisson pressé. Il était donc sûr que pendant vingt et un jours, et même plus longtemps parce que je pouvais continuer, des naufragés peuvent vivre sans eau douce. Cependant à partir de ce jour et jusqu'à la fin de mon voyage, j'ai eu assez de cette eau du ciel pour boire quand j'avais soif. J'ai eu peur plusieurs fois de ne pas en avoir assez, mais la pluie est revenue, juste quand il le fallait.

1" décembre.

Et voilà! Le mois de novembre est fini et je n'ai pas encore vu la terre. J'ai eu tort de regarder mes photos de France. Cela m'a rendu triste.

C'est un voyage vraiment trop long et je ne sais pas où je suis. Est-ce que j'arriverai après-demain ou dans dix, vingt, ou trente jours? Je n'en sais rien. Il y a des moments où je pense qu'il aurait fallu écouter ceux qui me disaient que j'étais fou de partir. Je crois aussi que j'aurais dû m'arrêter aux îles Canaries. Si seulement je voyais un bateau, si je pouvais entendre la radio, je serais moins seul!

4 décembre.

Aujourd'hui, j'ai eu la visite d'un papillon. La terre ne doit pas être très loin tout de même! ... Cependant, je ne vois aucun bateau, aucun avion.

Il ne fait pas de vent. Je suis à bout de forces. Si ça continue, le bateau arrivera, mais je serai mort à l'intérieur. Le soleil est très chaud. Il n'y a pas un nuage. Je ne comprends plus rien et je ne sais toujours pas où je suis.

C'est un mercredi que le miracle2 a eu lieu. Il me fallait faire un très gros effort pour me lever le matin. Je me réveillais toujours au moment

1Quelle horreur! — Какой ужас!

2le miracle — чудо

du lever du soleil. Mais je ne me dépêchais pas de regarder la mer puisque je savais que je ne verrais rien. J'attendais donc, couché comme pendant la nuit, jusqu'au moment où le soleil venait me brûler de ses rayons.

Ce matin-là, vers dix heures, je me suis levé et j'ai regardé autour de moi: "Un bateau!"

Un gros bateau venait vers moi. Il avançait lentement. J'ai appelé. Au bout d'un moment qui m'a semblé très long, on m'a vu enfin. Quand le bateau est arrivé près de moi, le capitaine m'a crié:

Est-ce que vous voulez de l'aide?

Je voudrais seulement l'heure, s'il vous plaît. Je voudrais aussi savoir où je me trouve.

Est-ce que vous voulez monter avec nous?

J'ai pensé: "Tant pis! je monte. L'expérience est finie. Je suis resté seul pendant cinquante-trois jours, c'est une belle épreuve!" Tout d'abord, je lui réponds: "Oui!", mais je pense à mes amis qui me diront:

"Eh bien! Tu ne l'as pas traversé, l'Atlantique!"

Et les cinquante-trois jours! Alors je décide: je continuerai.

Je suis redescendu sur l'"Hérétique". Je monte la voile et je m'éloigne. Tout cela a duré une heure et demie: le temps qu'il faut pour prendre une douche et un léger repas. Le bateau remet ses moteurs en marche. Il me salue trois fois, puis il s'éloigne lentement...

Je sais maintenant où je suis. Je sais aussi qu'à la vitesse où je vais

il me faudra encore à peu près vingt jours pour arriver à terre...

Quand Alain Bombard est arrivé en Amérique, il était très fatigué, mais revenu vivant, il a montré aux naufragés qu'ils pourraient vivre très longtemps sur un petit bateau sans eau douce et sans autre nourriture que des,poissons crus.

D'après A. В о m b a r d, Naufragé volontaire

15. Montrez le trajet d'Alain Bombard sur une carte géographique.

16. Prouvez par des citations du texte que:

Alain Bombard était un naufragé volontaire; avoir de l'eau douce était un grand bonheur pour lui; il y avait des moments où Alain Bombard perdait courage et qu'il avait des raisons pour ça; il ne s'attendait pas à voir un bateau; d'abord il a décidé de monter à bord du bateau et de mettre fin à son expédition; puis il a décidé de continuer l'expédition parce qu'il n'avait pas traversé l'Atlantique; son expédition s'est bien terminée.

17.Voici les difficultés qu'Alain Bomhard a dû surmonter. Parlez-en plus en détails.

Le voyage à bord d'un petit bateau pneumatique à voile dans un océan. Le manque d'eau douce qui est remplacée par le jus du poisson pressé. Le manque d'autre nourriture que les poissons crus.

L'impossibilité de gouverner le bateau.

Le manque de liaison, la solitude complète.

18. Discutez.

a)L'expédition d'Alain Bombard était bien difficile et bien dangereuse, il y risquait sa vie. Les raisons de son expédition valaient-elles ce risque?

b)Peut-on appeler explorateur Alain Bombard? Quel était l'objet de son exploration? 19. Apprenez à traduire.

a)Lisez le texte et tâchez de le comprendre. Dites: quelle est la plus haute montagne du monde; quel est le plus haut sommet du Caucase; pourquoi l'Elbrouz attire les touristes.

b)Relisez le texte et notez les mots nouveaux. Cherchez-les dans le dictionnaire.

c)Traduisez le texte phrase par phrase. Faites la traduction par écrit jusqu'aux mots de la nature, le reste — oralement.

LE SEPTIÈME CIEL

Caucase... de nombreuses cimes gigantesques couvertes de neige et de glace qui se perdent dans les nuages.

Mais la neige ne règne que sur les sommets. Plus bas, ce sont les prés alpins où, au printemps, fleurissent les violettes. En été, sur les pentes des montagnes, mûrissent les framboises, les myrtilles et les airelles rouges.

Caucase... "Voilà plus de quarante ans que je voyage à travers les pays montagneux du monde. Mais ce sont les monts du Caucase qui m'ont impressionné plus que les autres", écrivait J. Hunt, vainqueur de l'Everest, la plus haute montagne du monde.

Il y a quinze sommets caucasiens qui dépassent en hauteur le MontBlanc. Mais c'est l'Elbrouz (5 633 m), mont à deux têtes, la plus haute des montagnes d'Europe, qui est d'une popularité toute particulière chez les touristes, alpinistes, skieurs ou simplement amateurs de la nature.

Il attire les touristes durant toute l'année: en hiver, l'Elbrouz devient un centre sportif pour les skieurs et les slalomeurs au printemps, en été et en automne, les touristes y viennent pour faire des excursions captivantes vers les cols, respirer l'air salubre des montagnes et admirer les beautés du Caucase. Celui qui est venu une fois au pied de l'Elbrouz ne l'oubliera jamais.

Il existe un proverbe bien connu: un sage n'ira pas dans les montagnes, il les contournera. N'y croyez pas! Allez dans les montagnes. L'Elbrouz vous attend!

2 0 . A notre époque, à bord d'un avion rapide, on peut traverser ie territoire de notre pays en une seule journée. Mais autrefois pour traverser la Russie il fallait des mois, les voyages étaient difficiles et dangereux. Quand même, les explorateurs au risque de leur vie ont visité les coins les plus éloignés de notre immense pays. Lisez le texte et dites de quels grands explorateurs russes on y parle et ce qu'ils ont découvert.

LES GRANDS EXPLORATEURS DU NORD

Les explorateurs russes ont toujours tenté de pénétrer dans les régions du Nord de notre pays, d'étudier les immenses territoires baignés par l'océan Glacial, protégés par le froid, les neiges et le vent.

Les Russes vinrent construire leurs maisons de bois le long des côtes de la mer Blanche aux XIP-XIIP siècles. C'étaient des marins rudes et courageux qui vivaient de la pèche et de la chasse. A bord de leurs petits voiliers1 , ils allaient vers les îles lointaines riches en poissons et en bêtes à fourrure.

Parfois, les neiges et les glaces leur coupaient le chemin du retour et les hommes étaient obligés de passer les longs mois d'hiver loin de leurs maisons, dans l'obscurité de la nuit polaire.

Au milieu du XVIIe siècle, le cosaque S. Dejnev, accompagné d'un groupe de camarades, découvrit le détroit qui sépare l'Asie de l'Amérique. Son rapport resta plus de cent ans dans les archives, oublié par tout le monde. On ne trouva ce document que lorsque le détroit fut découvert une seconde fois.

Le tzar Pierre le Grand envoya à la recherche du détroit une expédition dirigée par un vieux marin, le capitaine V. Bering .

S. Dejnev atteignit le détroit en 1648, tandis que l'expédition du capitaine Bering ne fut organisée que 80 ans après. Le mauvais temps ne permit pas à Dejnev de terminer ce voyage difficile.

Aujourd'hui, ce détroit porte le nom de Bering — "le détroit de Bering". Pour être juste, il faut dire que c'est le nom de S. Dejnev, qu'il devrait porter.

Ce fut le début d'une exploration systématique du Nord de la Russie. Chaque pas fait vers de nouvelles découvertes est le résultat d'une longue lutte contre la nature du Nord. Les tempêtes n'y sont pas rares.

1 (un) voilier — парусная лодка

,'hiver y est long et froid, l'été court et gris, les glaces et les maladies menacent les explorateurs.

Ces hommes courageux ne découvraient pas de nouveaux continents, de nouveaux océans. Ils ne découvraient pas d'îles couvertes de fleurs et de cocotiers1 . Après leurs longs voyages, ils n'avaient pas la possibilité de se reposer au sein de la nature2 , avec des bananes et des ananas. Non, les marins du Nord ne voyaient que des glaces, un ciel gris et des côtes désertes et nues. Le lieutenant Prontchichtchev meurt malade; sa femme Maria qui partage avec son mari tous les dangers et toutes les difficultés de l'expédition meurt à son tour.

Le navire de K. Laptev est écrasé par les glaces. Mais les marins continuent le voyage à pied.

Le capitaine Tchéluskine était le chef d'un des détachements de la grande expédition polaire. En 1736, il a atteint la côte de presqu'île de Taïmyr. Epuisé par la faim, à moitié aveugle, il monte jusqu'au cap qui porte aujourd'hui son nom.

Voilà comment, pas à pas, les explorateurs atteignaient les coins les plus lointains de la Terre, accompagnés par la faim, le froid, les maladies, la mort.

Les noms de ces héros sont marqués sur toutes les cartes géographiques modernes: le cap Tchéluskine, la mer des Laptev, la côte Khariton Laptev, le détroit Dmitri Laptev, la baie Maria Prontchichtchéva...

Ces noms rappelleront toujours les exploits des explorateurs du Nord.

D'après M. G о u m i 1 e v s к a ï a, La grande maison de l'humanité

1(un) cocotier — кокосовая пальма

2au sein de la nature — на лоне природы

2 1 . Répondez aux questions:

Pourquoi les explorateurs russes tentaient-ils toujours de pénétrer dans les régions du Nord? Quand les Russes sont-ils venus habiter les côtes de la mer Blanche? De quoi vivaient-ils? Est-ce que leur vie était dangereuse? Quand Dejnev a-t-il découvert le détroit qui sépare l'Asie de l'Amérique? Pourquoi ce détroit ne porte-t-il pas son nom? Quel nom porte-t-il? Pourquoi porte-t-il le nom de Bering? Qui était Be- ring? Qui l'a envoyé à la recherche du détroit? Pourquoi l'exploration du Nord était-elle difficile? Qu'est-ce qui est arrivé au lieutenant Prontchichtchev et à sa femme Maria? Qui étaient les Laptev? Qu'estce qui est arrivé à leur navire? Comment les marins ont-ils continué le voyage? Qu'est-ce que le capitaine Tchéluskine a atteint? Est-ce que ces explorations étaient dangereuses?

2 2 . Regardez la carte et parlez des expéditions des explorateurs russes.

2 3 . Parlez d'autres grands explorateurs russes que vous connaissez.

24 . Dites en quoi diffèrent les expéditions modernes des expéditions d'autrefois. Voici les mots-clés:

l'équipement des explorateurs (leurs costumes), les moyens de transport, les moyens de communication (radio, etc.), l'équipement technique (appareils) .

25 . Comparez une expédition au Nord, à l'océan Glacial, à une expédition au Sud, au Sahara, et dites laquelle des deux vous semble plus difficile et pourquoi.

26. Parlez d'une expédition dont vous avez entendu parler. Voici un plan pour vous aider:

1. Le but de l'expédition.

4.

La durée de l'expédition.

2.

Ses membres.

5.

Les

difficultés.

3.

L'itinéraire.

6.

Les

résultats de l'expédition.

27 . Avez-vous de l'imagination? Vous allez faire un voyage imaginaire. Vous pouvez choisir entre un voyage dans le cosmos, au fond d'un océan, dans le cratère d'un volcan, sous la terre — dans une caverne très profonde, dans une île déserte, dans des montagnes très hautes, dans des forêts vierges, chez des peuples inconnus.

Parlez de votre expédition imaginaire. Commencez ainsi:

Si je pouvais faire un voyage dans le cosmos, j'irais ...

28. a) Posez autant de questions que possible. (Celui qui pose la dernière question gagne.)

Si j'étais explorateur, je descendrais au fond d'un océan. Les expéditions au pôle Nord sont plus difficiles que les expéditions au Sud. Je ne voudrais pas visiter les forêts tropicales.

b) Travaillez en paires. Demandez à votre interlocuteur.

s'il s'intéresse aux explorations;

s'il veut devenir explorateur et où il veut aller.

29. Votre frère aîné veut prendre part à une expédition sous-marine organisée par l'Equipe Cousteau. Il vous prie d'écrire une lettre aux organisateurs de cette expédition pour savoir si sa participation est possible.

Commencez votre lettre par la date et le lieu, puis écrivez «Monsieur le chef de l'expédition», ensuite le texte de la lettre et à la fin: «En vous remerciant vivement à l'avance, je vous prie d'agréer, Monsieur, l'hommage de mon profond respect» et le nom de votre frère.

3 0 . a) Apprenez à faire des dialogues. Pour

éviter de répondre

à votre interlocuteur

posez une contre-question à sa question.

 

 

Et après? — Дальше что?

Qu'est-ce que ça peut faire? — Ну и что

Vous trouvez ? (Tu trouves?) — Вы

из э т о г о ?

 

находите?

Et a i o r s ? _ Ч т о из

ЭТОГо?

Pourquoi faire? — Для чего это?

Qu'est-ce que cela veut dire? — Что это

A quoi bon? — К чему это?

значит?

 

Non, pourquoi? — Нет, a что?

Qu'est-ce que c'est que ça? — Что это

Eh bien? — Ну и что же?

такое?

 

M o d è l e :

A: Voudrais-tu aller sur une autre planète?

B:Pourquoi faire?

Voici les premières répliques pour vos dialogues.

Voudrais-tu devenir explorateur? Ne veux-tu pas faire un voyage dans la taïga sibérienne? Sais-tu le nom des grands explorateurs français? Est-ce que tu as lu le livre d'Alain Bombard "Naufragé volontaire"?

b) C o m p o s e z v o u s - m ê m e s des dialogues pareils, e m p l o y e z - y les expressions données.

3 1 . Apprenez le dialogue.

Mots à remplacer: l'avion, au train.

A:Que prends-tu pour aller à Kiev?

B:Si j'arrive à acheter des billets, je prendrai l'avion. Je le préfère au train. Si non, tant pis, je prendrai le train.

A:Ça ne doit pas être facile d'avoir des billets la veille du départ.

B:C'est vrai! Si je les avais commandés par téléphone, on me les aurait déjà apportés.

SUJET LIBRE DE CONVERSATION

3 2 . Discutons.

Qu'est-ce qu'il y a de nouveau? Qu'est-ce qu'il y a eu d'intéressant le mois dernier? Parlez-en!

Choisir une belle profession c'est très important pour un homme, n'estce pas? Quelles sont les professions de vos parents? Vous semblentelles intéressantes? Voudriez-vous suivre le même chemin? Qui parmi vos connaissances a une profession peu ordinaire? Parlez-en.

Si vous pouviez choisir parmi toutes les professions possibles, laquelle choisiriez-vous? Commencez votre réponse ainsi: "Si je pouvais choisir..."

3 3 . Apprenez la poésie.

LE PÉLICAN

Le capitaine Jonathan,

Etant âgé de dix-huit ans,

Capture un jour un pélican

Dans une île d'Extrême-Orient.

Le pélican de Jonathan,

Au matin, pond un œuf tout blanc

Et il en sort un pélican

Lui ressemblant étonnamment.

Et ce deuxième pélican

Pond, à son tour, un œuf tout blanc

D'où sort, inévitablement

Un autre qui en fait autant.

Cela peut durer pendant très longtemps

Si l'on ne fait pas d'omelette avant.

R. D e s n о s

RÉVISION DU

TROISIÈME TRIMESTRE

1. Mettez les verbes tenir,

venir, devenir, retenir, revenir, se souvenir, appartenir,

conduire, traduire, construire:

a) au présent et à l'imparfait:

Il ne nous (retenir) pas. Ces papiers (appartenir) à mon ami. Ils (venir) à notre rencontre. Nous (revenir) d'un long voyage. Il (se sou-

venir) de ses affaires. Il (conduire) bien son auto. Nous (traduire) un texte très intéressant. Ils (construire) une usine.

b) au passé composé et au passé simple:

Il (retenir) ce texte par cœur. Ils (venir) les derniers. Nous (revenir) par le même chemin. Bientôt, nous (devenir) amis. Elles ne (se souvenir) de rien. Il (se souvenir) de cela trop tard. Il les (conduire) à la gare. On (construire) ce pont en six mois. Ils (traduire) cet article en quelques langues.

c) au futur simple:

Je ne vous (retenir) pas. Il ne (revenir) pas avant midi. Nous (venir) vous prendre à midi. Nous (se souvenir) de cela toujours. Il (devenir) célèbre. Ce chauffeur (conduire) notre car.

2. Remplacez l'infinitif par le plus-que-parfait.

Le père Micard me racontait sa vie. J'ai appris qu'il (naître) dans l'ouest de la France, qu'il (apprendre) à cultiver la terre et qu'il (venir) à Paris lors de son service militaire. Ensuite, il (voyager) travers tout le pays. La guerre (venir) et il (partir) au front un es premiers. Ses cinq frères (partir) aussi, mais personne ne (re-

venir).

3. Justifiez l'emploi des temps.

Tartarin ne comprit pas d'abord où il se trouvait, regarda autour de lui et vit qu'il était près de la route. Le soleil était monté très haut quand Tartarin ouvrit les yeux.

Jules Verne est mort en 1905, il avait écrit 104 romans d'aventures et des nouvelles.

Michel avançait à pas pressés: il était en retard. Les préparatifs pour l'expédition durèrent plus de temps que l'on n'avait pensé.

4. Remplacez l'infinitif par les temps de l'indicatif.

A quatre ans, je suis entré à l'école maternelle. L'année suivante un grand événement (se passer) dans ma vie: pour la première fois je (prendre) la parole devant beaucoup de monde à l'occasion de la fête de l'école. A la maison, je (mener) la vie des enfants dans les familles ouvrières. Dès qu'on (avoir) l'âge de raison, il (falloir) se rendre utile. On me (donner) du travail facile; je (courir) les champs

et (rapporter) de l'herbe aux lapins, je (faire) les commissions et il (falloir) m'occuper de mes plus jeunes frères. Quand nous (arriver) à l'école, les cours (commencer) déjà. Le professeur me (demander) la règle qu'il (expliquer). Mon grand-père (revenir) du village, où il (passer) son enfance. Il (raconter) aux enfants l'histoire qu'il (entendre) l'année passée.

5. Travaillez en paires. Répondez aux questions.

Où voudriez-vous aller dimanche? Comment voudriez-vous passer les vacances? Qu'est-ce que vos amis voudraient acheter à la librairie? Que voudrais-tu faire dimanche?

6. Dites à quelle condition ces actions peuvent ou pouvaient être réalisées.

J'admirerais le lever du soleil si... Ce film aurait du succès si... On transportera le malade à l'hôpital s'il ... Je te protégerais contre la pluie si ... Les spectateurs seront plus nombreux si ...

7. Dites ce qui arrivera (arriverait) si ces conditions se réalisent (se réalisaient).

Si cet écrivain publiait tous ses romans, ... Si la brume était moins épaisse,... Si cet homme n'est pas un lâche,... Si tu avais confiance en moi, ... Si ses affaires vont bien, ... Si notre voyage se termine bien, ... Si l'obscurité était moins complète, ...

8. Dites de quels verbes sont formés ces noms.

M o d è l e : explication — expliquer.

Expédition, exploration, exposition, invitation, représentation, apparition, habitation.

9. Dites comment sont formés les adverbes:

naturellement, tellement, justement, rapidement, doucement.

10. Trouvez les mots russes analogues aux mots français:

un lycéen, national, bourgeois, un lieutenant, un lycée, une allée, un rapport, une discussion, publier, une statue, attaquer, un officier, un bataillon, une grenade, une catastrophe, un triomphe, un graveur, un chef, une médaille, un général.

11. N o m m e z le radical des noms:

un lycéen, un fermier, un policier, un cordonnier, un cuisinier; un meneur, un vainqueur, un gouverneur; un représentant, un combat-