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Елухина Н.В. Французский язык. 7 класс-2003

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A l'âge de quatorze ans, Christophe gagnait déjà sa vie c o m m e violoniste, mais il

n'était pas heureux.

Un jour, Christophe fait la connaissance d'un garçon qui lui plaît beaucoup.

Christophe et Otto parlent de leur vie et y trouvent beaucoup de commun. Le'soir, dans le bois, Christophe propose à Otto d'être son ami.

La nuit, Christophe pense à son nouvel ami. Il est heureux, il n'est plus seul.

CHRISTOPHE TROUVE UN AMI

G r o u p e s d e m o t s n o u v e a u x

au cours de, il avoue, à travers, se servir, se serrer la main Jean-Christophe a quatorze ans. Depuis trois ans déjà, il gagne sa vie com-

me violoniste au théâtre de la ville. Mais il n'est pas heureux. Il n'a pas d'amis. Il est toujours seul.

Un dimanche, au cours d'une promenade en bateau, il fait la connaissance

d'un jeune garçon. Christophe l'invite dans une auberge...

A l'auberge, Christophe lui raconte les difficultés de sa vie et Otto, c'est le nom du garçon, avoue qu'il n'est pas heureux non plus. Ses parents ne le comprennent pas. Christophe connaît ce malheur. Les parents d'Otto veulent faire de lui un commerçant. Mais lui, il veut être poète. Il avoue qu'il écrit des vers; mais il ne peut pas se décider à les dire à Christophe. A la fin cependant, il en récite deux ou trois. Christophe les trouve bons.

Les garçons s'admirent l'un l'autre. Le talent musical de Christophe plaît à Otto ainsi que sa force et son courage. Christophe aime beaucoup l'élégance d'Otto, ses grandes connaissances qui lui manquent.

L'après-midi s'avance. Il faut partir. Christophe et Otto sortent dans la rue. L'ombre du soir recouvre le bois de sapin. Ils y entrent. Ils ne se parlent pas... Tout est silencieux. Les derniers rayons du soleil passent à travers les branches des sapins. Il se fait sombre. Christophe prend la main d'Otto et demande très bas:

Est-ce que vous voulez être mon ami? Otto murmure:

Oui.

Ils se serrent la main. Leurs cœurs battent.

Christophe revient seul dans la nuit.

Son cœur chante: "J'ai un ami. J'ai un ami." II ne voit rien. Il n'entend rien. Il ne pense à rien d'autre. Il tombe de sommeil et s'endort. Mais il se réveille deux ou trois fois dans la nuit. Il se répète: "J'ai un ami", et il se rendort.

D'après R. R о 1 I a n d, Jean-Christophe

Leçon 4

/.

(Après l'ex. 9.) Dites quelle est la différence entre ces mots du point de vue de la

prononciation et du sens:

fou — chou — joue — loup — tout — doux — cou — sous pot — mot — dos — beau — veau — tôt

foin — point — moins — loin — coin château — chapeau

2. a) Dans

les phrases que vous allez écouter relevez les

mots de la même famille et

notez-les.

(Преподаватель сразу читает группу фраз с

однокоренными словами.)

Les paysans cultivent les légumes. Dans cette jolie maison habitent un cultivateur et sa famille. C'est un homme laborieux, la terre de son jardin est bien cultivée.

Mon père travaille dans l'industrie. Lyon est une ville industrielle.

Les peuples du monde entier luttent pour la paix. Les pays de l'Europe sont très peuplés.

Je n'ai pas le temps de m'ennuyer. L'ennui est pour ceux qui n'ont rien à faire. Ce livre est ennuyeux, je ne veux pas le lire.

Il faut faire la guerre aux mauvaises habitudes. Les paysans s'habituent difficilement à la vie dans une ville. Ranger la chambre est un travail habituel. Le climat de la France est doux. Parle doucement, l'enfant dort.

Les bois sont silencieux en hiver. J'aime le silence et le calme de la campagne.

b)Dites ce que signifient les mots:

cultiver — cultivé — un cultivateur; l'industrie — industriel; un peuple — peuplé; s'ennuyer — l'ennui — ennuyeux; une habitude — habituel — s'habituer; doux — doucement; le silence — silencieux.

3. Ecoutez des phrases et traduisez les mots paille, campagne, province.

Il faut porter de la paille et du foin dans le grenier. Un vieillard à chapeau de paille se promenait dans le jardin. Mon grand-père habite une maison de campagne. Dimanche on va à la campagne. Les provinces françaises sont très variées. C'est un médecin de province.

4. Précisez le temps des verbes suivants:

il s'arrêta — il s'arrêtera; il demanda — il demandera; je rentrerai — j e rentrai; tu logeas — tu logeras; je m'habituai — je m'habituerai.

5. (Après l'ex. 14.) Répétez ces phrases de mémoire.

Le climat de la France est varié.

Le climat de la France est varié: au nord, à l'ouest et au sud il est maritime. Le climat de la France est varié: au nord, à l'ouest et au sud il est maritime, au centre et à l'est il est continental.

6. Ecoutez des phrases, répétez le groupe du complément.

M o d è l e :

Le facteur a apporté des journaux et des lettres — des journaux et des

lettres.

On logea les soldats dans le village. Il faut apporter du foin et de la paille. On monte au grenier par une échelle. Je me suis habitué à la vie campagnarde. L'air montagnard est utile pour la santé. Les touristes ont admiré des châteaux et des églises anciens.

7. (Après l'ex. 19.) Dites ce que signifient:

a) les mots de la même famille:

gai — gaieté (f)

Le 31 décembre c'est la gaieté partout. promettre — promesse (f)

Il faut toujours tenir sa promesse.

ferme (f) — fermier (m) — fermière (f)

Le fermier et la fermière habitent leur ferme.

honte (f) — honteuse

C'est honteux de battre les petits. Il est honteux de sa mauvaise conduite, paix (/) — paisible — paisiblement

Les soldats gardent la vie paisible du pays. N'ayez pas peur des vaches, elles mangent paisiblement et ne vous feront pas de mal.

b) les

synonymes:

boutique (f) = petit magasin (m)

Il y a une boutique dans ce village.

c) les

antonymes:

haïr Ф aimer

Tout le monde hait la guerre.

d) le mot polysémique (à plusieurs significations):

Les entraîneurs entraînent les sportifs.

entraîner

Le chien entraîne son maître vers un autre chien.

e) les mots un pré, une ceinture, s'élancer et l'expression mettre dehors:

Les vaches mangent de l'herbe dans un pré. L'officier porte un revolver à la ceinture. Un voleur court, l'agent de police s'élance à sa poursuite. Enfants, votre père dort, si vous faites trop de bruit, on va vous mettre dehors.

8.Vous allez écouter le commencement du récit "Maison à vendre". Devinez quelle est sa fin.

MAISON À VENDRE

M o t s n o u v e a u x

un écriteau, pourtant, un potager

Au-dessus de la porte du jardin on voyait depuis longtemps un écriteau: Maison à vendre. La maison semblait abandonnée, tant il y avait du silence autour.

Quelqu'un habitait là pourtant. Une petite fumée montait de la cheminée. Dans le jardin, on voyait des allées bien droites et des instruments de jardinier près de la maisonnette. C'était une maison de campagne. Il y avait des pots à fleurs sur le sable chaud et blanc. Le jardin était tout au soleil. Il y avait des arbres fruitiers et un potager. Et au milieu de tout cela, dans ce calme, un vieux, à chapeau de paille, qui travaillait ou se promenait dans les allées.

Ce vieux ne connaissait personne dans le pays. Parfois, quelque passant s'arrêtait, lisait l'écriteau et sonnait à la porte. D'abord, la maison restait silencieuse. Enfin un bruit de pas s'approchait lentement du fond du jardin, et le vieux ouvrait la porte d'un air furieux:

Qu'est-ce que vous voulez?

La maison est à vendre?

Oui, répondait le vieux, oui ... elle est à vendre, mais on en demande très cher.

Ses yeux vous mettaient dehors et il restait là, comme un dragon qui garde son jardin. Alors, les gens s'en allaient et se demandaient à quel fou ils avaient affaire et pourquoi il y avait cet écriteau si l'on ne voulait pas vendre la maison.

Contrôle

de

la c o m p r é h e n s i o n

 

 

9.

Posez

six

questions

sur

le

texte

et répondez-y.

10.

Décrivez

la

maison

du

vieux.

 

11.

Dites

si

le

vieux veut vendre

sa

maison et prouvez ce que vous dites en vous basant

 

sur le

texte.

 

 

 

 

12.Voici la fin du récit. Dites si vous l'avez bien devinée.

MAISON À VENDRE

(suite)

M o t s n o u v e a u x s'installer, serrer

Un jour, quand je passais près de la petite maison, j'entendis des voix animées:

Il faut vendre, papa, il faut vendre... Vous l'avez promis. Et la voix du vieux, toute triste.

Mais, mes enfants, moi aussi, je veux la vendre, puisque j'ai mis l'écri-

teau.

J'appris ainsi que c'étaient ses fds et leurs femmes, de petits commerçants parisiens, qui voulaient vendre la maison. Maintenant, ils commençaient à trouver que cela durait trop longtemps. Ils venaient tous les dimanches pour voir si le vieux tenait sa promesse. Le soir, tout le monde s'en allait. Alors, le vieux rentrait bien vite et refermait tout heureux sa porte. Pendant huit jours, la maison redevenait silencieuse. Dans le petit jardin brûlé de soleil on n'entendait que les pas lourds du vieux sur le sable des allées.

Ses enfants comprenaient bien que le vieux faisait tout pour ne pas vendre la maison. Enfin, une de ses belles-filles s'installa chez lui. Elle ouvrait la porte, bavardait avec les passantes, les attirait vers la maison, leur souriait comme pour dire:

— Entrez... voyez... la maison est à vendre!

Mais l'écriteau restait toujours à la même place. C'était le moment de la guerre, et les acheteurs ne venaient pas.

Cette année-là, quand je suis venu à la campagne, j'ai retrouvé la maison, mais l'écriteau n'y était plus. C'est fini: la maison était vendue!

A la place de la porte grise, une porte verte. Ce n'était plus le jardin d'autrefois, et au milieu de ce nouveau jardin un gros homme rouge, assis sur une chaise et une énorme dame qui criait. Et dans la petite maison, un piano jouait des valses et des polkas. Cette gaieté me serrait le cœur. Je pensais au pauvre vieux qui se promenait là si heureux, si tranquille, et qui était maintenant à Paris au fond de quelque boutique.

D'après A. D a u d e t, Contes du lundi

13.En vous basant sur le texte prouvez que:

1ечvieillard était heureux dans sa petite maison calme; le vieux ne voulait pas vendre sa maison;

ses enfants le forçaient à vendre la maison;

l'auteur avait de la sympathie pour le vieillard et le plaignait.

14.

Faites

le

plan

du

texte.

 

 

15.

Résumez

le

récit

d'après

votre

plan.

16.

Ecoutez

le

dialogue

et dites

ce qu

'un touriste peut trouver en France.

APRÈS LE VOYAGE EN FRANCE M o t s n o u v e a u x

un site, un hameau, la solitude, refuser.

André vient de rentrer dans son pays après un voyage à travers la France. Il parle de ses impressions à son amie Catherine.

C a t h e r i n e : Alors, André, te voilà rentré de ton long voyage à travers la France. Visiter la France, c'était ton rêve. Tu dois être heureux d'avoir pu enfin le réaliser. Après un séjour de trois mois, tu dois connaître ce pays?

A n d r é : Mais non. Il y a tant de choses à voir en France qu'on ne pourrait le faire en trois mois.

C a t h e r i n e : Alors, la France, sans être aussi vaste que certains autres pays que tu as visités, t'a plu?

A n d r é : Certainement. En France il y a tant de choses à voir que le touriste ne sait pas toujours par quoi commencer: Est-ce par Paris, la ville lumière, ou les Châteaux de la Loire? Est-ce par la Provence et la Côte d'Azur ou les lacs d'Auvergne et les cascades de Jura?

C a t h e r i n e : Certes! La France, dit-on, est une personne aux multiples visages. Mais toi, qu'as-tu vu au cours de ta longue tournée à travers ce pays?

A n d r é: A Lacq, j'ai visité une usine d'aluminium, à Lyon — une fabrique de textile, et à Marseillele — le port.

C a t h e r i n e : Alors, je vois que tu n'a pas perdu ton temps. As-tu fait quelques excursions?

A n d r é : Dans les Alpes, j'ai visité plusieurs centres de sport d'hiver.

С a t h e r i n e: Ah! Les Alpes! Il y a là des sites que je recommande à ceux qui cherchent la solitude!

A n d r é : Dans ce cas-là, n'oublie pas la Camargue et ces hameaux de Bretagne où la vie n'a pas changé depuis des siècles. J'ai aidmiré des théâtres, des musées, des casinos, des hôtels où il y a beaucoup de touristes.

C a t h e r i n e : N'oublie pas que les touristes sont souvent attirés par la bonne cuisine de France.

A n d r é: En effet, en France, chaque province a ses vins et sa gastronomie. Mais on ne peut pas dire que c'est le principal.

C a t h e r i n e : C'est certain. Je veux dire seulement que chacun trouve en France ce qu'A cherche. Que tu désires faire du ski, te reposer, ou flâner dans les rues de Paris, la France ne te refuse rien.

D'après A. B o n n e s o r r é e , Parlez avec nous

17.Dites:

— qui parle à qui?

quel pays André a visité,

s'il y a beaucoup de choses à voir en France, ce que André a visité,

s'il a fait des excursions, s'il aime la solitude,

ce qu'il préfère,

si la cuisine française est bonne,

si chaque touriste peut trouver en France ce qu'il veut.

18. Ecoutez le dialogue encore une fois et précisez:

ce que le touriste a à voir en France,

où il faut aller si on aime la solitude,

ce qu'on fait dans les Alpes.

19. (Après l'ex.

26.)

Narration.

Ecoutez

un récit, puis

écrivez-en une narration en

développant

les

idées

suivantes.

(Фразы

записываются

на доске. Текст читается

два раза в

среднем темпе.)

 

 

 

Une pauvre fillette de douze ans travaille dans une ferme. La fillette garde les vaches et les moutons.

La fermière ne permet pas à sa petite bergère de jouer et de bavarder avec d'autres enfants.

Non loin du pré où la fillette garde ses vaches et ses moutons, il y a un autre pré où un garçon de son âge garde ses bêtes.

Le garçon veut jouer avec la fillette, mais elle a peur de sa maîtresse. Les chiens des enfants se battent souvent.

Le garçon accourt avec son chien.

Le chien de la fillette l'entraîne dans un fossé et la fillette salit sa robe. Les enfants lavent la robe et la font sécher.

Au moment de revenir à la ferme, la fillette ne retrouve pas sa robe. Le garçon trouve la robe dans la bouche d'une vache.

UNE AVENTURE

M o t s e t g r o u p e s d e m o t s n o u v e a u x une vase, une robe étalée, ruminer, qui pendait (pendre)

La fillette de douze ans, qui raconte cette histoire, est bergère dans une ferme, elle garde les bêtes.

A côté de notre pré, il y avait un autre où un petit berger de mon âge gardait trois vaches et quelques moutons. De son pré, ce petit berger m'appelait souvent, mais je ne lui répondais jamais. C'est parce que la fermière ne me

permettait pas déjouer et de bavarder avec d'autres enfants. De plus nos chiens se haïssaient et se battaient chaque fois qu'ils se rencontraient. Alors, j'ai attaché mon chien à ma ceinture par une corde.

Mais le malheur m'attendait. Je m'ennuyais beaucoup d'être toujours seule. Un jour, je me suis rapprochée du pré du petit berger, et à mon tour, j'ai appelé le berger. Il a accouru tout joyeux; mais son chien accourait plus vite encore, alors mon chien s'est élancé vers lui et comme il était attaché à ma ceinture, il m'a entraînée et je suis tombée dans un fossé plein de vase.

C'est avec des rires que le garçon m'a aidé à laver ma robe dans la rivière.

...Puis, ma robe bien étalée sur les branches basses d'un pommier, je suis revenue dans mon pré accompagnée du berger, heureuse comme lui de notre bonne camaraderie. Nos chiens, honteux de leur mauvaise conduite, n'avaient plus envie de se battre.

Mais le malheur continuait de m'attendre.

A l'heure de midi, comme il me fallait rentrer à la ferme, j'ai voulu reprendre ma robe, qui devait être sèche; mais elle n'était plus sur le pommier ni dans l'herbe. Où pouvait-elle bien être? Tombée dans la rivière? C'était possible. Quel malheur! Le petit berger était aussi triste que moi et tout à coup il a couru vers l'une des vaches qui ruminait paisiblement avec quelque chose que lui pendait de la bouche. C'était ma robe que la vache mangeait! Il n'en restait plus que la moitié. Cette fois, à la place du rire, c'étaient de chaudes larmes qui me sont venues.

D'après M. A u d о u x, Un cœur pur

Leçon 6

1. (Après l'ex. 10.) Précisez ce que ces phrases expriment: l'ordre, la demande, l'in-

terrogation, l 'étonnement, la peur, la joie.

Vraiment, notre guide ne connaît pas les chefs-d'œuvre du Louvre. Ne pourriez-vous pas me lire cet écriteau, je n'ai pas de lunettes? La semaine prochaine, nous aurons une rencontre avec les représentants de la ville de Marseille, c'est très intéressant! Tu as déjà offert des cadeaux à tes parents? Arrêtez ce passant, il a laissé tomber son portefeuille! Non, je n'irai pas dans la forêt le soir, il y fait trop sombre!

2. a) Dans les phrases que vous allez écouter relevez les mots de la même famille et

notez-les.

J'ai rencontré beaucoup de passants dans la rue. Quand aura lieu la ren-

contre avec les lycéens français?

Ma mère est allée au marché. Ce marchand vend de beaux légumes. Sa marchandise est toujours fraîche.

Tout le monde admire le courage des soldats russes. Les aviateurs sont des hommes courageux.

Tout le monde connaît les noms des héros de la Grande Guerre nationale. Les connaissances des savants sont grandes. Je voudrais faire la connaissance d'un Français de mon âge. Alexandre Dumas est un écrivain très connu.

Fumer est une mauvaise habitude. D'habitude, je me lève tôt. Les marins sont habitués à vivre en mer. Les objets habituels ne nous intéressent pas. On a écrit à cet homme qu'il avait reçu un héritage. Le vieillard a mis un écriteau à sa porte.

Le regard de ce chien est bien triste. Les passants regardent les vitrines. Mon père est employé au ministère. Il faut employer l'article devant le nom.

b) Dites ce que signifient les mots:

rencontrer — la rencontre; le marché — le marchand — la marchandise; le courage— courageux; connaître — la connaissance — connu; l'habitude — d'habitude — habitué — habituel; écrire — l'écriteau; le regard — regarder; l'employé — employer.

3. Ecoutez des phrases et traduisez les mots polysémiques.

As-tu une carte de la France? J'ai reçu une jolie carte postale de mon ami qui habite en France. Un beau film à la télé — ce n'est pas une raison pour ne pas faire les devoirs. On a raison de dire que les voyages sont très intéressants. Mon grand-père est décoré de trois ordres. Le capitaine a donné l'ordre de mettre les canots à la mer. Ta chambre est toujours en ordre.

4. Levez la main quand le verbe est au plus-que-parfait:

nous avons cultivé, nous avions nourri, vous aviez versé, vous avez versé, vous avez offert, vous vous êtes ennuyés, vous vous étiez habitués, vous vous êtes écriés, vous vous étiez calmés, j'avais brossé, j'ai battu, j'ai promis, j'avais permis, nous avions sommeil, nous avons rendu, vous avez rencontré, vous aviez fondé.

5.Précisez le temps des verbes. (Учитель медленно читает фразы, учащиеся назы­ вают время глагола.)

Le marchand vendra sa marchandise. Robert de Sorbon fonda l'Université

de Paris. La grand-mère reçut la carte que sa petite-fdle lui avait envoyée. Vous avez plaint ce pauvre vieux. A l'occasion de l'anniversaire de la Vic-

toire, un groupe d'aviateurs français qui avaient combattu en Russie arriva

à Moscou.

6. (Après l'ex. 13.) Ecoutez des phrases et répétez le groupe de mots qui exprime le

lieu.

M o d è l e :

On peut voir des bateaux russes arrivés à Marseille — à Marseille.

Au port de Marseille il y a toujours des navires venus des pays les plus éloignés. Il faut porter du foin et de la paille au grenier. Le capitaine du navire se tient sur la passerelle. Les passagers se reposent dans les cabines. Mes grands-parents habitent la campagne.

7. Imaginez par qui les phrases suivantes peuvent être dites.

Je peux vous faire de très beaux souliers. Mesdames et messieurs, regardez à droite, vous voyez devant vous le Pont-Neuf, le plus ancien pont de Paris. Silence, mes enfants, la leçon commence. Montre ta gorge, ma petite! Notre navire vient de rentrer au port. Cette année le blé sera bon.

8. (Après l'ex. 19.) Dites ce que signifient:

a) les mots de la même famille:

transport (m) — transporter Cette auto transporte les malades, camion (m) — camionnette (f)

Attention!

Sachez que le suffixe -ette indique un objet plus petit!

Cette camionnette transporte du linge à la blanchisserie, inviter — invité (m)

C'est l'anniversaire de ma mère, nous avons beaucoup d'invités aujourd'hui, circulation (f) — circuler

Attention aux voitures, les autos circulent avec une grande vitesse, riche — richesse (f)

Quelles richesses sont réunies au Louvre! b) les synonymes:

rame (f) - train (m) du métro

Chaque rame se compose de plusieurs wagons, lorsque = quand

Lorsque la rame arrive à la station, les portes des wagons s'ouvrent automatiquement.