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Елухина Н.В. Французский язык. 7 класс-2003

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SUJET LIBRE DE CONVERSATION

3 5 . Discutons.

Quels événements importants ont eu lieu le mois dernier? Qu'est-ce qu'il y a eu d'intéressant le mois dernier? Parlez-en!

Parlons de ce qui vous passionne pendant vos loisirs. C'est bien si l'on s'intéresse à beaucoup de choses, n'est-ce pas?

A quoi vous intéressez-vous?

Parlez de ce qui passionne vos parents et vos amis.

Dites quelle passion vous semble la plus intéressante et la plus originale.

Il y a deux hommes, l'un ne s'intéresse qu'à son travail, l'autre aime son travail mais s'intéresse à beaucoup de choses. Avec qui voudriez-vous faire connaissance et pourquoi?

A quoi voudriez-vous consacrer vos loisirs: à la musique, au théâtre, au dessin (à la peinture), au sport, au philatélisme, aux plantes, aux animaux, aux voyages, à quelque métier ou à autre chose? Argumentez votre choix.

3 6 . Apprenez à bien lire les poésies.

CHANSON D'AUTOMNE

Les hirondelles sont parties,

Le brin d'herbe a froid sur les toits;

Il pleut sur les touffes d'orties.

Bon bûcheron, coupe du bois.

Les hirondelles sont parties. ' L'air est dru, le logis est bon;

Il pleut sur les touffes d'orties.

Bon charbonnier, fais du charbon.

Les hirondelles sont parties,

L'été fuit à pas inégaux;

Il pleut sur les touffes d'orties.

Bon fagotier, fais des fagots.

V . H u g o

JOUR DE NOVEMBRE

Voilà les feuilles sans sève Qui tombent sur le gazon; Voilà le vent qui s'élève Et gémit dans le vallon;

Voilà l'errante hirondelle Qui rase du bout de l'aile L'eau dormante des marais; Voilà l'enfant des chaumières Qui glane sur les bruyères

Le bois tombé des forêts.

L'onde n'a plus de murmure Dont elle enchantait le bois; Sous les rameaux sans verdure Les oiseaux n'ont plus de voix. Le soir est près de l'aurore; L'astre à peine vient d'éclore Qu'il va terminer son tour:

Il jette par intervalle

Une lueur, clarté pâle

Qu'on appelle encore un jour. La brebis sur les collines

Ne trouve plus de gazon; Son agneau laisse aux épines Les débris de sa toison.

La flûte aux accords champêtres Ne réjouit plus les hêtres

Des airs de joie et d'amours.

Toute herbe aux champs est glanée. Ainsi finit une année,

Ainsi finissent nos jours!

A . d e L a m a r t i n e

LA PETITE FÉE

Enfants, il était une fois

Une fée appelée Urgande,

Grande de à peine de quatre doigts, Mais de bonté vraiment bien grande. De sa baguette un ou deux coups Donnaient félicité parfaite.

Ah! bonne fée, enseignez-nous Où vous cachez votre baguette!

Dans une conque de saphir,

De huit papillons attelée,

Elle passait comme un zéphir, Et la terre était consolée.

Les raisins mûrissaient plus doux, Chaque moisson était complète. Ah! bonne fée, enseignez-nous Où vous cachez votre baguette!

C'était la marraine d'un roi Dont elle créait les ministres; Braves gens, soumis à la loi,

Qui laissaient voir dans leurs registres. Du bercail ils chassaient les loups Sans abuser de la houlette.

Ah! bonne fée, enseignez-nous Où vous cachez votre baguette!

Les juges, sous ce roi puissant, Etaient l'organe de la fée;

Et par eux jamais l'innocent Ne voyait sa plainte étouffée. Jamais pour l'erreur à genoux La clémence n'était muette.

Ah! bonne fée, enseignez-nous Où vous cachez votre baguette!

Dans un beau palais de cristal, Hélas! Urgande est retirée. En Amérique tout va mal;

Au plus fort l'Asie est livrée. Nous éprouvons un sort plus doux;

Mais pourtant, si bien qu'où nous traite, Ah! bonne fée, enseignez-nous

Où vous cachez votre baguette!

P.- J. В é г a n g e r

L E Ç O N 10

LA TERRE C'EST NOTRE

MAISON À TOUS

Chaque enfant, encore tout petit, connaît et aime sa maison. Qu'est-

ce que pour nous notre maison?

Devenu plus grand, l'enfant comprend que le pays qu'il habite et où

il est né c'est sa Patrie. Qu'est-ce que pour vous la Patrie?

Mais il y a beaucoup d'autres pays où habitent d'autres Hommes. Tous ensemble, nous habitons une seule et même planète — la Terre.

Connaissez-vous bien notre Terre? ,

Chaque Homme aime sa maison et veut la rendre plus belle. Que faites-vous pour rendre votre maison plus belle?

Chaque Homme aime sa Patrie, la terre où il est né. Que faisonsnous pour rendre notre Patrie plus riche, plus forte, plus pittoresque?

Notre Terre, c'est notre Patrie à tous. Que doit-on faire pour la protéger contre les dangers qui la menacent?

Que doit-on faire pour réserver sa beauté: les animaux et les plantes, les mers et les rivières, les plaines et les montagnes, les villes et la campagne?

Parlons de ces problèmes importants pour tous les Hommes, car la Terre, c'est notre maison à tous!

ETUDE GRAMMATICALE

Il nous dit que les sportifs arrivent aujourd'hui.

Il nous dit que les sportifs sont arrivés hier.

Il nous dit que les sportifs arriveront à temps.

 

Plan du présent

Proposition principale

Proposition subordonnée

 

 

Présent

Présent — pour exprimer une action si-

 

multanée.

 

Passé composé (ou imparfait, ou passé

 

immédiat) — pour exprimer une action

 

antérieure.

 

Futur simple (ou futur immédiat) —

 

pour exprimer une action postérieure.

 

 

Il nous

a dit (disait,

dit)

que

les

sportifs arrivaient ce jour-là.

Il

nous

a dit

(disait,

dit)

que

les

sportifs étaient arrivés

la veille.

Il

nous

a dit

(disait, dit)

que les

sportifs arriveraient le

lendemain.

 

Plan du passé

Proposition principale

Proposition subordonnée

 

 

Passé composé

Imparfait — pour exprimer une action

 

simultanée.

Passé simple

Plus-que-parfait — pour exprimer une

 

action antérieure.

Imparfait

Futur dans le passé - pour exprimer

 

une action postérieure.

 

 

Attention!

Le futur dans le passé, с 'est le futur qui se rapporte au passé. La formation du futur dans le passé est analogue à la formation du conditionnel présent.

1. Justifiez l'emploi des temps dans la proposition subordonnée.

Elle espère que vous viendrez la féliciter. Je suis sûr que vous avez gagné cette compétition. J'étais sûr qu'elle ne m'avait pas dit toute la vérité. Elle écrit qu'elle prendra part aux Jeux Olympiques. Il leur expliqua pourquoi il était parti si tôt. Elle a dit que je pouvais garder ce livre aussi longtemps que je le voudrai. Ils s'arrêtèrent devant le bâtiment qu'on leur avait montré. Ils croyaient qu'on ne les voyait pas. Il pense qu'elle a fini son travail hier. Il leur raconta comment on l'avait sauvé.

2.Terminez les phrases en exprimant les rapports de simultanéité, de postériorité ou d'antériorité.

Ils disent que nous ... Il sait qu'elle ... Il pense qu'ils ... Ils savent qu'on ... Elle écrit qu'elle ... Elle savait que ... J'espérais que ... Elle apprit que ... Il annonça que ... Ils m'écrivaient que ... Ils lui dirent que ...

3.Mettez le verbe de la proposition principale à un temps passé et changez le temps de la subordonnée.

M o d è l e :

J'espère que vous serez content.— J'espérais que vous seriez content.

J'espère que vous viendrez me voir. Elle n'entend pas qu'on l'appelle. Il me demande pourquoi je n'ai pas lu ce livré. Ils savent que nous ne pouvons pas partir en voyage. Il leur raconte comment il a gagné. Il espère que cela ne lui prendra pas trop de temps. Je vois que ma question Fa étonnée.

4. Mettez les verbes aux temps qui conviennent. Faites attention au verbe de la

principale.

Ils disent qu'ils (vouloir) remettre leur voyage. Mon frère écrit que vous (pouvoir) loger chez lui. Elle a promis qu'elle (gagner) cette course. Ils ont appris que le garçon (s'appeler) Louis et qu'il (avoir) dix ans. Elle leur déclara qu'elle ne (abandonner) jamais cet enfant. Le sportif a dit aux journalistes qu'il (répondre) à toutes leurs questions.

ETUDE LEXICALE

5. a) Ecoutez le texte et tâchez de comprendre les mots nouveaux . Si le sens d ' u n mot

n'est pas clair, voyez les explications ou consultez le dictionnaire.

L'été est une belle saison. On est à la campagne, on se promène dans la forêt, dans les champs et dans les prairies. On admire les oiseaux qui chassent les insectes et on leur jette des miettes de pain et des graines. On cueille des fleurs qui poussent dans les champs, mais celles seulement qui sont encore nombreuses, car le nombre de beaucoup de fleurs des champs et des forêts diminue. On casse la tige de la fleur délicatement pour ne pas abîmer la racine qui est dans la terre car il faut protéger la nature. Puis on fait un joli bou-

quet qui sent si bon. ^

J'aime beaucoup les animaux et je vais souvent au zoo. Il y a toujours du monde: des enfants et des adultes. Je m'amuse en regardant les singes qui courent et sautent, les chèvres sauvages et les chevreuils qui sont si gracieux et si peureux. J'admire les beaux oiseaux qui viennent de différents pays: les perroquets multicolores, les canaris jaunes, les cygnes blancs et noirs qui nagent sur l'eau. Et parmi ces magnifiques oiseaux sautent des petits moineaux gris de nos rues qui se disputent des miettes de pain et des graines. Ils se sont habitués à venir au zoo pour se nourrir. Puis je vais voir les poissons. Ils sont nombreux: il y a les dangereux poissons de mer comme le requin, les beaux poissons des rivières de montagne comme la truite et les poissons ordinaires des nos lacs et rivières comme la carpe ou le brochet. Je les regarde et je me rappelle les dauphins qui sont si intelligents et si sympathiques. Je les ai vus cet été dans la mer Noire. Leur existence en liberté est plus agréable. Il est temps de partir, le gardien va éteindre la lumière et fermer la porte.

Notre famille habite dans la banlieue de Moscou. C'est bien pour moi car l'école est tout près, la forêt n'est pas loin et il y a beaucoup d'espaces verts. Mais pour mon père, ce n'est pas commode car son bureau est au centre de la ville. Dans la rue où se trouve son bureau, il y a de grands immeubles de 10 à 20 étages, les autos n'y circulent pas, c'est une rue réservée aux piétons - une rue piétonnière. Le patron de mon père a trouvé la solution au problème du transport pour les employés. Chaque matin, un autobus du bureau vient cher-

pied (m) piéton (m)

cher les employés dans les banlieues où ils habitent. Tout le monde est content. On aime et respecte le patron qui pense à son personnel.

b) Lisez attentivement les explications:

être pressé = se dépêcher: Je suis pressé, je ne peux pas vous attendre.

diminuer Ф agrandir: Cette année, le nombre des élèves de notre classe a diminué car trois élèves ont quitté notre ville,

grossier Ф poli: Ce garçon est mal élevé: il est grossier,

humide Ф sec: Le temps est humide en automne,

vivant Ф mort: Personne n'est resté vivant après ce combat.

différent différence (f)

sont des mots

de la même famille

Il y a une grande différence entre le climat du nord et celui du sud.

dispute (f) se disputer

sont des mots

de la même famille

Ces enfants se disputent à cause d'une balle.

exister existence (f)

sont des mots

de la même famille.

L'existence des bêtes dans les zoos n'est pas facile

garder gardien (m)

sont des mots

de la même famille.

Le chien est le gardien de la maison.

s'habituer

habitué habitude (f)

sont des mots

de la même famille

Il faut vous habituer à parler moins fort.

jeune jeunesse (f)

sont des mots

de la même famille

Dans sa jeunesse, ma grand-mère était très belle. sont des mots

de la même famille

Les piétons doivent faire attention lorsqu'ils traversent les rues.

protéger protection (f)

sont des mots

de la même famille

Des vêtements chauds sont une protection contre le froid.

roi (m)

sont des mots

royaume (m)

de la même famille

Le fond des mers et des océans est le royaume du silence.

terre (f) enterrer

sont des mots

de la même famille

Le voleur a enterré l'argent dans son jardin. On a enterré le vieillard dans le cimetière du village.

vie(/) vivre

sont des mots

de la même famille

adulte (adj. et n. m,f) qui n'est plus un enfant, qui est devenu grand.

Les adultes ne comprennent pas toujours les enfants.

banlieue (f): territoire qui se trouve autour des villes. Beaucoup de personnes travaillent en ville mais habitent en banlieue.

bureau (m)

table où l'on s'assied pour écrire J'ai un bureau dans ma chambre,

pièce de la maison destinée au travail de réflexion Mon père est dans son bureau,

établissement public

Ma mère travaille dans un bureau de poste.

cueillir: prendre un fruit, une fleur, les détacher de leur branche, de leur tige. Les enfants ont cueilli beaucoup de fleurs dans le champ. espace (m): distance entre les choses. Il y a un grand espace entre l'école

et la rue.

gouvernement (m): ceux qui sont la tête d'un pays. Le Premier minis-

tre a présenté son gouvernement.

immeuble (m): grand bâtiment de plusieurs étages. Des immeubles de

dix étages s'élèvent dans cette rue.

insecte (m): petit animal, comme les mouches. Il y a des insectes qui ne

vivent que sur la terre, d'autres qui volent.

pareil (-le): qui ressemble tout à fait. Ces deux maisons sont tout à fait

pareilles. *