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Елухина Н.В. Французский язык. 7 класс-2003

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la signification des verbes faire et se mettre à devant un autre verbe à l'infinitif:

On le fit monter dans la voiture. Ils se sont mis à rire;

le rôle du participe passé enveloppé dans la phrase:

Un Prussien enveloppé dans son manteau ... ;

ce que veut dire le mot sans dans les phrases:

On avançait sans rencontrer personne. Il regardait le soldat sans rien dire. Est-ce qu'on peut y aller sans se faire remarquer?

la signification du mot coup dans les groupes de mots:

faire un bon coup, un coup de fusil, un coup de sabre;

le sens des phrases:

Il allait et venait le long du mur. Ils n'eurent même pas le temps de jeter un cri d'alarme.

L'histoire que vous allez lire se passe pendant la guerre franco-prussienne. La France est occupée par les Prussiens. Mais la lutte continue. Jean Defert est un patriote français qui, avec ses camarades, lutte contre les occupants.

LES BRAVES GENS

Jean était parti à la tête d'un petit groupe de soldats pour faire une reconnaissance. Une brume froide de décembre rampait tristement sur la plaine. On avançait sans rencontrer personne. La campagne semblait morte. Enfin, les soldats arrivèrent à une carrière abandonnée.

"Descendons, dit Jean. Nous nous reposerons un peu et nous verrons ensuite."

Un des hommes, qui avait fait quelques pas à l'entrée d'une des galeries s'écria de surprise. Par terre, il y avait de la paille; un homme était là, assis, immobile. Il regardait le soldat sans rien dire. Jean s'approcha, lui aussi.

Eh, l'homme! dit-il au paysan, que faites-vous donc là?

Je suis en train de mourir de froid et de faim, dit l'homme. Oh! les brigands!

Qu'est-ce qui vous est arrivé?

Ils sont là, dans ma ferme, tout près d'ici. Ils ont tout pris, tout! Je les ai priés de laisser quelque chose, ils se sont mis à rire, et m'ont jeté à la porte comme un chien. Ils ont dit que je dérangerais le général.

Au mot de "général", Jean eut une idée. "On pourrait faire un bon coup", pensa-t-il, puis il demanda au paysan:

Combien sont-ils?

Une vingtaine au moins. Mais ils ont beaucoup bu et maintenant ils dorment. -

Jean réunit ses hommes et leur parla.

Ça y est! répondit un des soldats, nous sommes prêts à vous

suivre.

Nous allons vous venger, dit Jean au paysan. Mais il faut nous montrer le chemin. Est-ce qu'on peut y aller sans se faire remarquer?

Par ce brouillard on passera sans danger. Il y a devant la maison des arbres et des buissons. Il faudrait y arriver tout doucement et sauter par-dessus le chemin.

En route, dit Jean à ses soldats. Le général doit avoir une serviette avec des choses intéressantes. C'est une chance! Seulement chacun doit faire ce que je lui ai dit.

Le paysan marchait en tête. Jean et les soldats le suivaient. Le brouillard était si épais que l'on ne voyait rien à trente pas devant soi. Bientôt on tourna à droite, et au bout de deux cent pas le paysan s'arrêta. Derrière les buissons on apercevait le toit d'une ferme avec des arbres tout autour. Jean s'avança pour regarder. Un Prussien enveloppé dans son manteau, le sabre au poing, allait et venait le long du mur de la ferme.

Puis, un autre Prussien parut à la porte de la ferme et s'approcha du premier. C'était un officier de haute taille, mince et blond avec d'énormes moustaches.

Jean fit un signe à ses camarades et, un moment après, les deux Prussiens furent renversés et assommés. Ils n'eurent même pas le temps de jeter un cri d'alarme1 .

Jean et ses soldats entrèrent à l'intérieur de la ferme. Plusieurs Prussiens dormaient dans la paille sur le plancher. Ce ne fut pas difficile de les désarmer2 . Quatre autres Prussiens étaient dans la cuisine. Ils se levèrent à la vue des fusils et se rendirent en criant: "Nous, amis des Français!" Vite, on lia les mains à tous les Prussiens.

"Allez, partez d'ici! Et vite!" Ils n'attendirent pas qu'on le répète encore une fois.

Le général se trouvait dans la plus grande chambre. Il était gros et respirait difficilement. Il dormait dans son fauteuil.

1jeter un cri d'alarme — поднять тревогу

2désarmer — обезоружить

Tout à coup on entendit deux coups de fusil, le bruit d'une lutte, et la porte s'ouvrit. Jean et quelques soldats entrèrent dans la chambre.

— Général, dit Jean avec politesse, vous êtes mon prisonnier. La lutte est impossible. Rendez-vous!

Le général semblait ne rien comprendre à ce qui se passait. "N'oublions pas la serviette!"

On lui lia les mains à lui aussi, et on le conduisit dans la cour. Là, on le fit monter dans une voiture. Un des soldats qui avait reçu un coup de sabre fut mis dans la voiture avec le général.

Il fallait se dépêcher.

Le fermier montra le chemin aux vainqueurs. Le brouillard avait disparu et bientôt on vit au loin une colline avec une petite église entre les arbres, et une grande maison à trois cheminées qui dominaient la colline. "C'est là! nos soldats sont là, dit Jean; mes amis nous sommes sauvés."

Enfin on rencontra des soldats français et, une heure après, Jean faisait son rapport au colonel.

Au bout de très peu de temps, il devint lieutenant. "Si cela continue, écrivait-il à sa mère, un de ces jours je me réveillerai colonel..."

D'après J. G i г a г d i n, Braves gens

16. Prouvez par des citations du texte que:

les soldats ne savaient pas qu'un général prussien était à la ferme; les Prussiens ne s'attendaient pas à une attaque des Français; le paysan a beaucoup aidé les soldats; le plan des Français a réussi.

17. Développez ces idées.

M o d è l e :

C'était pendant la guerre franco-prussienne.

La

France était

occu-

pée.

Un

groupe

de soldats français

dirigé

par Jean

Defert

est

parti

pour

faire

une

reconnaissance-. Il

faisait

froid,

il

faisait

mauvais

temps. Les soldats n 'ont rencontré personne.

Un groupe de soldats français est parti pour faire une reconnaissance. Dans une carrière abandonnée, les soldats ont eu une rencontre inattendue.

Le paysan leur a parlé des Prussiens.

Les soldats ont décidé d'attaquer les Prussiens.

Le paysan les a beaucoup aidés.

Grâce à la brume épaisse les Français n'ont pas été aperçus par les Prussiens.

Leur attaque était inattendue, les Prussiens se sont rendus et les Fran-

çais les ont désarmés. Les Français ont pris un général prussien.

18. Parlez des traits de caractère des soldats français et du paysan d ' a p r è s le texte.

19. Apprenez à

traduire.

 

 

 

 

 

En 1989, le

peuple français a fêté le

200* anniversaire de la Révolution française

qui a proclamé la Déclaration des droits des

h o m m e s . Lisez le

texte et

tâchez

de le

c o m p r e n d r e .

 

 

 

 

 

 

Traduisez le

texte par écrit j u s q u ' a u x

mots:

La Bastille capitule

et le

reste —

ora-

lement.

 

 

 

 

 

 

14 JUILLET

14 juillet 1789. Prise de la Bastille... La date la plus célèbre de l'his-

toire de France, fête nationale.

Ce 14 juillet 1789, tôt dans la matinée, le peuple de Paris s'empare de trente-deux mille fusils stockés à l'Hôtel des Invalides. C'est là une fière réponse à la royauté qui a massé autour de la capitale des régiments étrangers. Un torrent humain roule vers la Bastille, la prison-forteresse tant

haïe, dont les batteries sont pointées sur les quartiers populaires.

A la Bastille! A la Bastille!

Le siège va durer quelques heures. Les cadavres jonchent la cour.

Le gouverneur de Launay menace de faire sauter la forteresse. On le désarme. La Bastille capitule.

Toute la nuit, les citoyens en armes se tinrent en alerte, prêts à riposter aux régiments du roi. La cour était à Versailles. Apprenant la prise

de la Bastille, Louis XVI gémit: "C'est donc une révolte?"

— Non, sire, lui répondit-on, c'est une révolution.

Le soir même de la victoire, la démolition de la Bastille commença.

Le 14 juillet 1790, on planta un bois au milieu des ruines, on accrocha des

lampions aux branches et on dansa. Ce fut le premier bal du

14 juillet.

2 0 . Vous savez que le peuple français a courageusement lutté contre les

occupants lors

de la guerre franco-prussienne. Plus tard il a mené une dure lutte contre les fascistes.

Lisez le texte et dites qui a lutté contre les occupants et pendant quelle

guerre c'était.

LES CINQ DE BUFFON

Juin 1940:

Un grand malheur s'abat' sur Paris, sur la France. La France est occupée par les armées hitlériennes.

1 un malheur s'abat — несчастье обрушивается

Les Allemands entrent dans un Paris triste et silencieux. Les rues sont vides, les volets des fenêtres fermés. On dirait que Paris est mort. Mais le cœur d'un vrai Parisien sent sous ce silence qu'une dure lutte contre l'ennemi approche, une lutte qui durera quatre longues années. Le nombre de combattants grandit de jour en jour. Il est impossible de nommer tous les héros de la Résistance, la liste en est trop grande. Mais Paris ne les oublie pas et ne les oubliera jamais.

Une toute petite feuille de papier est collée au mur du couloir, à hauteur de visage. Elle porte seulement quelques mots: "Le 11 novembre, tous à l'Etoile!"

Ils sont sept ou huit à la regarder, leurs cartables à la main.

Qu'est-ce qu'il y aura, à l'Etoile?

Une manifestation. Il paraît qu'on doit déposer des fleurs sur le tombeau du Soldat inconnu.

Et comment y aller, si on a des cours? Le 11 novembre ne sera pas jour férié1 , cette année.

Moi, je n'irai pas. La politique, c'est dangereux en ce moment.

Venez! On va être en retard.

Les lycéens se mettent à courir... Une heure plus tard, quand sonne la récréation, la feuille est déjà déchirée.

Dans un coin de la cour, quatre garçons se retrouvent. Trois de "première": Lucien Legros et Pierre Benoît, deux grands amis, Pierre Grelot, et enfin leur aîné, Jacques Baudry, élève de terminale.

Alors? interroge le dernier.

Ça va! répondent les trois autres. On a collé des feuilles partout.

Très bien. J'ai vu ça. Et maintenant, il faut parler à des gars sûrs. Il faudrait être nombreux à l'Etoile...

Il faut se séparer. Parmi les professeurs du lycée il y a des traîtres. Autour des quatre, dans plusieurs groupes, on discute, un tract à la main: "Etudiant de France! Le 11 novembre est pour toi un jour de fête

nationale.

Tu iras porter des fleurs au Soldat inconnu à 17 h. 30. Tu n'assisteras pas aux cours.

Le 11 novembre 1918 fut un jour de grande victoire. Le 11 novembre 1940 sera le signal d'une plus grande encore2 .

Vive la France!

1(un) jour férié — праздничный день

2Le 11 novembre 1940 sera le signal d'une plus grande encore . — 11 ноября 1940 года будет знаком еще более великой победы.

(Recopie ces lignes et passe-les à ton camarade!)"

C'est dans un quartier bourgeois de Paris que se dressent les vieux murs du lycée Buffon, loin du Quartier Latin où bat le cœur de la jeunesse étudiante. Mais cela n'empêche pas les élèves de savoir qu'à l'Université on organise des manifestations, qu'on n'assiste pas aux cours des professeurs-traîtres, que les Allemands ont arrêté le grand savant Paul Langevin et qu'on a défendu la manifestation du 11 novembre.

Le 11 novembre, à 16 heures, des élèves vont vers le métro. Combien sont-ils? On ne sait pas. Les quatre garçons sont parmi les premiers.

Déjà, depuis le début de l'après-midi, les larges allées des ChampsElysées sont pleines de monde. On va vers l'Etoile, des bouquets de fleurs à la main.

Place de l'Etoile, où se trouve le tombeau du Soldat inconnu, c'est plein de manifestants.

Et voilà que de l'avenue Victor Hugo arrivent les lycéens, le drapeau tricolore en tête. Ils sont des centaines et des centaines, de Condorcet, de Carnot, de Buffon... Ils crient: "Vive la France! A bas Hitler!" On entend la Marseillaise. Les quatre de Buffon chantent avec tout le monde.

A 17 heures, sur la place arrivent des Allemands et des policiers français. Des SS dans leurs uniformes noirs descendent des camions. Les voitures allemandes roulent dans les avenues et tâchent d'écraser les jeunes qui courent...

— Restons ensemble! crie Jacques Baudry. Restons ensemble! Alors on entend des coups de fusil. Les soldats allemands tirent. Les

camions sont pleins d'étudiants qu'on a arrêtés. On les bat. Le sang coule. Baudry, Grelot, Legros et Benoît réussissent à partir. Quelques-uns

de leurs camarades ont moins de chance:

Le fils de Burgard a été arrêté!

Qui?

Le fils du prof d'histoire: Burgard.

Ah! oui...

Tu as vu, dis, tout ce monde?

On était des milliers.

Plus! Il y avait des manifestants jusqu'à la Concorde.

Ils doivent être contents, les Allemands.

Après le 11 novembre, les facultés de Paris sont fermées un mois. Mais longtemps encore on parlera de cette journée dans les lycées et les collèges de la Région parisienne.

suivre)

C o m m e n t a i r es

les cinq de Buffon — пять учеников лицея Буффон в Париже

le 11 novembre 1918 — 11 ноября 1918 года — дата подписания перемирия между воюющими сторонами в Первой мировой войне; национальный праздник Франции

l'Etoile — площадь Звезды в Париже (сейчас эта площадь носит имя генерала де Голля — Place Charles de Gaulle — / 'Etoile)

Paul Langevin (1872 - 1946) — Поль Ланжевен (известный ученый, физик)

21 . Répondez aux questions:

Quel malheur s'abat sur la France en 1940? Comment Paris reçoitil les Allemands? Est-ce que le peuple de Paris a lutté contre les hitlériens? Est-ce que la France garde le souvenir des combattants de la Résistance? Qu'est-ce que les élèves du lycée Buffon ont lu un jour au mur du couloir? Pourquoi a-t-on organisé la manifestation le 11 novembre? Qu'est-ce qui s'est passé à la Sorbonne? Qu'est-ce qu'on pouvait voir à la place de l'Etoile le 11 novembre dans l'aprèsmidi? Comment ont réagi les Allemands? Est-ce que Baudry, Grelot, Legros et Benoît ont réussi à partir?

2 2 . Faites le plan du récit.

23 . Résumez le récit d'après votre plan.

24 . Lisez la fin du récit "Les cinq de Buffon" et cherchez les réponses aux questions

suivantes:

Qui est le cinquième du groupe de Buffon?

Pourquoi doivent-ils mener une lutte clandestine?

Comment luttent-ils contre les Allemands?

Les quatre de Buffon sont plus occupés par leurs discussions, leurs tracts que par leurs études. D'ailleurs, ils sont cinq maintenant. Jean Arthus, un nouveau, entre dans leur groupe. Il a seize ans, son père est médecin, auteur de beaucoup de livres scientifiques.

A la police, on commence à s'occuper de Buffon et de ces cinq jeunes qui s'agitent dans l'ombre. On ne connaît que leurs noms de guerre: Marchand, André, Francis, Paul, Jeannot...

On s'intéresse aussi aux professeurs. Surtout à Raymond Burgard, professeur d'histoire. Il est le chef du groupe Valmy, qui publie un journal clandestin et qui organise, le 11 mai 1941, une manifestation devant la statue de Jeanne d'Arc.

En avril 1942, le professeur Burgard est arrêté. Les Allemands trouvent chez lui des tracts.

Au lycée, on ne parle que de ça.

Les cinq organisent encore une manifestation. On chante la Marseillaise, on lance des tracts. Les policiers et la Gestapo arrivent aussitôt. On cherche les meneurs'. Un professeur de Buffon réussit à faire fuir Arthus et Legros par le bâtiment des "petits". Les trois autres se cachent dans les caves. Ils ne sont pas découverts par les Allemands qui fouillent tous les bâtiments.

Seulement deux amis, Benoît et Legros, ont été découverts. Ils ne pourront plus revenir au lycée, ni même rentrer chez eux. La police les attend.

La lutte clandestine commence. Les cinq attaquent des officiers et des soldats allemands, ils lancent des grenades au cours d'une réception à bord d'un bateau sur la Seine, ils écrivent des tracts.

Mais les lycéens sont trahis et arrêtés. Seul Benoît réussit à fuir. Ce garçon de dix-sept ans devient chef d'un groupe de partisans.

Au cours de l'incendie de dix avions sur un aérodrome non loin de Paris il est blessé. Le 22 août, il est arrêté par la police française et retrouve ses camarades à la prison.

Le 15 octobre, ils sont condamnés à mort. Mais les garçons ne perdent pas courage. Ils savent pourquoi ils vont mourir. Ils sont prêts à ce sacrifice.

Le 3 février 1943, on les réveille très tôt dans leurs cellules. Chacun reçoit un crayon et une feuille de papier.

Voilà quelques lignes des lettres qu'ils ont écrites à leurs parents la veille de leur mort.

Jean Arthus à son père:

"Je sais que c'est un coup très dur pour toi; mais j'espère que tu es assez fort et que tu sauras continuer à vivre sans perdre confiance dans l'avenir."

Jacques Baudry à ses parents:

"Je serai courageux jusqu'au bout. La guerre sera bientôt finie. Vous serez heureux dans la paix, un peu grâce à moi. Courage. Vivez..."

Pierre Benoît à ses parents, à ses amis:

"C'est fini; on vient nous chercher pour nous fusiller. Nous partons en chantant. Courage!"

Pierre Grelot à ses parents:

1 (un) meneur — вожак

"Je vais être fusillé ce matin à onze heures. Pauvres parents chéris, sachez que ma dernière pensée sera pour vous. Je saurai mourir en vrai Français."

Lucien Legros à ses parents, à ses amis:

"Nous allons mourir le sourire aux lèvres. Je meurs pour la France, donc je ne regrette rien."

Les cinq de Buffon on été décorés à titre posthume de la médaille de la Résistance, de la Croix de guerre et de la Légion d'honneur. A l'entrée du lycée Buffon, il y a une plaque commémorative1 avec leurs noms. Le pont du Château, sur la Seine, s'appelle aujourd'hui: pont des Cinq Martyrs du lycée Buffon. Et au jardin du Luxembourg on peut voir un monument élevé en leur honneur.

D'après B. S о 1 e t, Ceux de Buffon

25. Posez des questions sur le texte et répondez-y.

26 . Parlez des cinq jeunes héros du lycée Buffon.

27 . Préparez de petits rapports sur l'histoire de la France. Voici les événements les plus

importants que vous connaissez déjà:

L'exploit de Jeanne d'Arc.

La prise de la Bastille.

La Commune de Paris.

L'histoire de la Marseillaise.

La Seconde Guerre mondiale et la Résistance.

28 . a) Apprenez à faire des dialogues. Vous n'êtes pas d'accord avec votre interlocu-

teur, exprimez-le. Employez dans vos répliques les expressions suivantes:

Vous

vous t r o m p e z . — Вы ошибаетесь.

Mais non! — Да нет же!

Bien

au contraire . — Как раз наоборот.

Au contraire . — Напротив.

Pas précisément . — Не совсем так. Vous avez tort . — Вы ошибаетесь.

M o d è l e :

A:

Ce

sont

les soldats et

les

officiers

de

l'armée française qui

ont

 

pris

part à

la

Résistance.

 

 

 

 

 

 

B:

Mais non!

Tu

as

tort.

Ce

ne

sont

pas

seulement les

officiers

et

 

les

soldats,

mais

tout

le^peuple

français

qui a lutté

contre

les

 

fascistes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1 une plaque commémorative — мемориальная доска

Voici les premières répliques pour vos dialogues:

Ce sont les Marseillais qui ont composé la Marseillaise.

Jeanne d'Arc a été tuée pendant une bataille.

Ce sont les Prussiens qui ont pris et détruit la Bastille. La Bastille était un palais du roi.

Il me semble que parmi les Communards il n'y avait ni femmes ni enfants.

b) Composez vous-mêmes des dialogues semblables, employez-y les expressions données.

29 . Apprenez le dialogue suivant (pour la succession des travaux voir p. 24). Remplacez les mots avec des astérisques.

A: Où allez-vous?

B:Je vais faire des courses*.

A:Pourriez-vous mettre cette lettre à la boîte**? Il y en a une au coin de la rue.

B:Avec plaisir!

A:Ça ne vous dérangera pas?

B:Pas du tout.