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3E partie

Un paysan arrive en ville

– Je n'ai pas entendu la voix de mon correspondant.

– Vous avez appuyé sur le bouton?

– Oui, j'ai appuyé sur le bouton.

– Vous avez bien formé le numéro?

– Oui, j'ai formé le numéro.

– Vous avez mis le jeton dans la fente?

– Non, je n'ai pas mis le jeton dans la fente. C'est gratuit, n'est-ce pas?

– Mon dieu!

Devoirs

1. Écoutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker.

2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les.

à vrai dire

être obligé(e) de f. qch

fonder une agence de publicité

travailler dur pour réussir

passer son bac – скласти випускні екзамени в середній школі

taper le courrier

surveiller le personnel

engager qn – наймати, брати на роботу

un dessinateur – тут художник

un expert comptable

une sténodactylo – друкарка-стенографістка

raccrocher

appeler les réclamations

mettre le jeton dans la fente

former le numéro

appuyer sur le bouton

lire les instructions

décrocher le combiné

se sauver (je me sauve)

3. Écrivez le résumé du texte de la première partie à la 3e personne et apprenez-le.

4. Résumez le contenu des dialogues de la deuxième partie par écrit.

Leçon 11 Onzième leçon Georges et Valérie sortent ensemble

1E partie

Georges Louvier parle

Je suis épuisé. Il y a toujours du travail dans un hôtel, toujours quelque chose à faire, toujours quelqu'un à servir, et les clients ne sont jamais contents. Le personnel non plus, d'ailleurs. Tout le monde se plaint. Tantôt c'est un client, tantôt c'est le cuisinier, tantôt c'est le veilleur de nuit. L'un vient me dire: "Mon lit n'est pas refait", l’autre vient se plaindre parce que sa chambre n'est pas propre. L'un me dit: "Il n'y a plus de lait à la cuisine", l'autre me dit: "Je n'ai plus de détergents pour laver la vaisselle". Un employé me demande une augmentation, un autre ne veut plus travailler le dimanche, d'autres ne veulent plus travailler le lundi. Marie, la femme de chambre, me dit: "Jeanne est plus jeune que moi, et elle gagne plus que moi. Je veux gagner plus qu'elle." Alors, je la paie plus. Jeanne arrive immédiatement et elle me dit: "Marie est moins jeune que moi, c'est vrai. Mais je suis aussi travailleuse qu'elle. En réalité, elle travaille moins que moi. Alors, je veux gagner autant qu'elle". Que faire? Tous les employés se plaignent parce qu'ils ne gagnent pas assez. Mais je ne gagne pas assez, moi non plus. Ma mère s'inquiète. "Tu travailles trop, me dit-elle, tu es comme ton père". Je travaille dur, oui. Mais je ne suis pas du tout comme mon père. Du moins, j’espère que non. Il est un peu snob, mon père. "Gérant d'hôtel, ce n'est pas un bon métier, me dit-il. Combien d'argent est-ce que tu vas gagner? Pas beaucoup, pas autant que moi. Sois ingénieur comme moi". C'est aujourd’hui mardi. Je suis toujours libre le mardi après-midi. Je vais aller en ville. Ah, voilà Mlle Delon. Elle est très gentille.

2E partie

A la réception de l’hôtel du Nord

– Bonjour, Mlle Delon ! Vous allez rester à Paris longtemps?

– Non, pas très longtemps.

– Combien de temps?

– Trois semaines en tout.

– Connaissez-vous beaucoup de monde à Paris?

– Non, à vrai dire, je ne connais presque personne.

– Qu'est-ce que vous faites cet après-midi?

– Je ne sais pas. Je n'ai pas encore décidé.

– Vous allez sortir?

– Oui.

– Ecoutez, mademoiselle. Je suis libre cet après-midi. Est-ce que vous me permettez de sortir avec vous, si vous n'avez rien de spécial à faire?

– Avec plaisir.

– Vous êtes sûre? Je voudrais bien pouvoir vous accompagner.

– Je veux bien.

– Il y a tant de choses intéressantes à voir à Paris. Mais d'abord, avez-vous déjeuné?

– Non, pas encore.

– Moi non plus. Alors je vais vous montrer un restaurant bien.

A la terrasse au restaurant

– Asseyez-vous, mademoiselle. Voilà le menu.

– Il y a tant de choses à choisir.

– Qu'est-ce qu'il y a de bon? Aimez-vous les hors-d'oeuvre?

– Oui, mais je veux manger peu.

– Vous êtes au régime?

– Non, mais je ne mange jamais beaucoup.

– Moi non plus. Je vais prendre une blanquette de veau aux champignons. Et vous?

– Eh bien, quelque chose de léger et de pas trop gras. Ah, de la sole meunière, s.v.p. C'est plus léger que le veau aux champignons.

– Voulez-vous des frites?

– Non, merci. Et vous, monsieur...

– Ecoutez, mademoiselle. Voulez-vous bien me dire « tu » au lieu de « vous »?

– Ah oui, je veux bien. Mais votre « voulez-vous des frites » est bien solennel. Et puis, je ne m'appelle pas mademoiselle. Je m'appelle Valérie.

– Oui, je sais. J'ai regardé dans ton passeport.

– Vous vous appelez ... Oh, pardon, tu t'appelles...

– Je m'appelle Georges. Donc, Valérie, tu prends de la sole meunière. Avec des frites?

– Mais non. Et toi, Georges, tu prends quelques frites avec ton veau?

– Oui. Et ensuite des haricots verts et une salade pour tous les deux. Garçon!

– Oui, monsieur.

– Une sole meunière et une blanquette de veau aux champignons, s.v.p.

– Avec des frites?

– Oui. Ensuite des haricots verts et de la salade, et une carafe de vin blanc.

– Tu aimes Paris?

– Oui, beaucoup. Mais j'aime aussi voyager. La semaine prochaine je vais passer quelques jours en province.

– Quelques jours de vacances?

– Malheureusement pas. Je vais apprendre à gérer un hôtel de province.

– Tu trouves ça intéressant?

– Oh oui, passionnant. Est-ce que tu trouves ton travail intéressant?

– Oui, mais pas passionnant.

– Tu es une bonne secrétaire?

– J'espère que oui. Mais je crois que non. Je déteste la sténo, je ne peux pas me relire.

– Tant pis pour ton patron.

– Oui. Combien d'années d'hôtellerie est-ce que tu as fait?

– Deux. Je travaille très dur, parce que je veux être gérant d'un hôtel vraiment bien.

– Comme l'hôtel du Nord?

– Mais non, comme le Ritz.

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