Добавил:
Upload Опубликованный материал нарушает ваши авторские права? Сообщите нам.
Вуз: Предмет: Файл:
STRANOVEDENIE_EKZAMEN.docx
Скачиваний:
1
Добавлен:
19.09.2019
Размер:
113.14 Кб
Скачать

# 38 Les grandes réformes de la iiIeRépublique

Les républicains entreprennent la réforme :

  • le 14 juillet devient le jour de la fête nationale

  • la Marseillaise devient hymne national

  • la loi sur le syndicat

  • le droit aux divorses 1884

  • l’interdiction de l’emploi des enfants dans l’industrie – 1892

  • la responsabilité pénale des patrons des accidents de travail – 1898

  • l’organisation d’un système d’un retraite 1891-1910

  • la journée de travail de 10 heures à 6 jours par semaine – 1904

  • la séparation de l’église de l’état – 1905

Jules Ferry – le père fondateur de l’école primaire obligatoire laïque gratuite. C’était un vrai républicain. En séparant l’église de l’état il sépare l’école de l’église. Il prononce la dissolution des jesuites et congrégations. Les filles peuvent accéder à l’enseignement secondaire.on crée des lycées pour les filles.

# 39 L'affaire Dreyfus

Dreyfus - l'officier israylite a vendu le document à l'espionnage allemand. L'officier est condomné. Cela provoque une crise. Le pays est divisé - dreyfusards et antidreyfusards. La faute de cet officier - il était estimé honnête. On lui a donne la « Lagion d'honneur ».

Une série de crises dans la République. L’affaire du capitane Dreyfus commence en 1893 et dure jusqu’à la fin du siècle. Il vend un document aux allemands. Il fallait trouver un bouc émissaire. c’était un capitain modeste.la France est divisée en deux parties ) ceux qui le croyaient innocent et ceux qui le croyaienr coupable. en 1906 on le comndamne aux travaux. Zola et Clémenceau ont trouvé le vrai coupable et Dreyfus est sauvé.

En septembre 1894, en pleine période de révision des plans de guerre après la conclusion de l'accord secret franco-russe, fut découvert au service de renseignements français un bordereau anonyme contenant une liste de documents militaires français confidentiels destinée à l'ambassade d'Allemagne. Un officier du 2e bureau de l'état-major général, juif d'origine alsacienne, le capitaine Dreyfus, fut inculpé sur une simple ressemblance d'écriture et traduit devant le Conseil de guerre qui le condamna le 22 décembre suivant à la dégradation et à la déportation à vie sur l'île du Diable. Rares furent ceux qui mirent en doute sa culpabilité y compris parmi les socialistes (Jean Jaurès par exemple) et le procès alimenta la campagne antisémite du journaliste Drumont qui s'exprimait dans le journal la Libre Parole. Pourtant, la famille du capitaine, et notamment son frère, Mathieu, continua d'agir pour faire triompher son innocence. Sans cette volonté familiale, il n'y aurait pas eu d'Affaire Dreyfus. À l'automne 1896, l'Éclair puis le Matin attirèrent l'attention du public sur la nature suspecte des preuves qui avaient entraîné la condamnation de l'officier. Bernard Lazare, un critique et publiciste juif, publia une brochure favorable à Dreyfus. Le colonel Piquart, nouveau chef du service des renseignements, découvrit un document accablant un officier d'infanterie, le commandant Esterházy. Un an plus tard le Figaro, sous la plume de Mathieu, le révéla au public. Pour éviter une révision du procès de Dreyfus, les autorités militaires traduisirent Esterházy devant le Conseil de guerre qui l'acquitta, le 10 janvier 1898. Le gouvernement progressiste qui n'entendait remettre en cause ni l'autorité de la chose jugée ni l'autorité de l'armée approuva. Piquart fut envoyé en Tunisie. Le surlendemain, l'écrivain Émile Zola publia dans le journal de Georges Clemenceau, l'Aurore, une lettre ouverte au président de la République, sous le titre "J'accuse", dans laquelle il dénonçait le déni de justice commis par l'armée et ses complices, hommes politiques et magistrats. Zola fut condamné pour diffamation à un an de prison ferme et à une amende, mais l'affaire Dreyfus était devenue "l'Affaire".

Соседние файлы в предмете [НЕСОРТИРОВАННОЕ]