- •#1. La culture française.
- •#2. Les symboles et les emblèmes français.
- •#3. La cuisine française.
- •#4. La population française.
- •#5. Généralités sur la géographie physique de la France.
- •#6. La France économique.
- •Industrie française occupe la deuxième place en Europe et la quatrième dans le monde (après les Etats-Unis, le Japon et l’Allemagne).
- •Industries de la mer.
- •#7. Les réserves du sous-sol français.
- •#8. La France politique (gauche et droite).
- •#10. La Francophonie.
- •#11. Les coutumes et les traditions françaises que j’aime.
- •#12. Le pouvoir exécutif.
- •3. Le Premier ministre. Le Premier ministre est l’animateur de l’équipe gouvernementale. Sa résidence officielle est l’Hôtel Matignon.
- •2. Les commissions permanentes de l’Assemblée et du Sénat.
- •#16. Expressions.
- •Voter avec les pieds – il y a 7 ans, 2002, tous les parties se sont mobilisées contre...
- •#19. Les influences romaines sur la Gaule.
- •#20. Les Mérovingiens (481-751), Carolingiens (751-987).
- •#23. Les croisades (1092-1291)
- •2.Des terribles conséquences pour l’économie française.
- •#26. La Renaissance.
- •#27. Les guerres de religion (1562-1598).
- •#29. L’époque des Lumières.
- •Voltaire, Rousseau, Didro.
- •#30. La Révolution française de 1789: causes et grandes étapes.
- •# 33 L'œuvre de Napoléon (1739-1815)
- •# 34 La monarchie de Juillet (1830-1848)
- •# 35 La Seconde République (1848-1852).
- •# 36 Le second Empire (1852-1870)
- •# 37 Les débuts de la iiIe République et sa Constitution.
- •# 38 Les grandes réformes de la iiIeRépublique
- •# 40 La France de la Belle Epoque
- •# 41 La 1-ère Guerre mondiale : causes, déroulement et traité de Versailles
- •# 42 Le front populaire
- •6 Février 1934.
- •# 43 Causes de la Seconde Guerre mondiale. Drôle de guerre et défaite de l'armée française . Le régime de Vichy.
- •600000 Morts des combats
- •# 44. La Résistance, le Débarquement et la Libération.
- •# 48 La iVe République. La guerre d'Algérie.
- •# 49 La Constitution de 1958
- •# 50 Les Trente Glorieuses (1945-1975)
- •# 51 L'œuvre de Charles de Gaulle.
- •# 52 La France dans la crise de mai -juin 1968.
- •# 53 La présidence de g. Pompidou (1969-1974).
- •# 54 La présidence de V.-g. D'Estaing (1974-1981)
- •# 55 La présidence de f. Mitterrand (1981-1995)
- •Il est battu aux élections de 1958 par de Gaulle et de 1974 par g. D'Estaing.
- •Il a aboli le peine de mort
- •# 56 La présidence de j. Chirac (1995-2007)
- •# 57 La cohabitation : définition et brève caractéristique des trois cohabitations 1986-1988,1993-1995,1997-2002.
- •# 58 La présidence de n. Sarkozy
- •# 59 Que pensez-vous du pacs ( pacte de contrat social) ? (avec des arguments probants)
- •# 63 Les atouts et les menaces qui pèsent sur la France d'aujourd'hui.
# 38 Les grandes réformes de la iiIeRépublique
Les républicains entreprennent la réforme :
le 14 juillet devient le jour de la fête nationale
la Marseillaise devient hymne national
la loi sur le syndicat
le droit aux divorses 1884
l’interdiction de l’emploi des enfants dans l’industrie – 1892
la responsabilité pénale des patrons des accidents de travail – 1898
l’organisation d’un système d’un retraite 1891-1910
la journée de travail de 10 heures à 6 jours par semaine – 1904
la séparation de l’église de l’état – 1905
Jules Ferry – le père fondateur de l’école primaire obligatoire laïque gratuite. C’était un vrai républicain. En séparant l’église de l’état il sépare l’école de l’église. Il prononce la dissolution des jesuites et congrégations. Les filles peuvent accéder à l’enseignement secondaire.on crée des lycées pour les filles.
# 39 L'affaire Dreyfus
Dreyfus - l'officier israylite a vendu le document à l'espionnage allemand. L'officier est condomné. Cela provoque une crise. Le pays est divisé - dreyfusards et antidreyfusards. La faute de cet officier - il était estimé honnête. On lui a donne la « Lagion d'honneur ».
Une série de crises dans la République. L’affaire du capitane Dreyfus commence en 1893 et dure jusqu’à la fin du siècle. Il vend un document aux allemands. Il fallait trouver un bouc émissaire. c’était un capitain modeste.la France est divisée en deux parties ) ceux qui le croyaient innocent et ceux qui le croyaienr coupable. en 1906 on le comndamne aux travaux. Zola et Clémenceau ont trouvé le vrai coupable et Dreyfus est sauvé.
En septembre 1894, en pleine période de révision des plans de guerre après la conclusion de l'accord secret franco-russe, fut découvert au service de renseignements français un bordereau anonyme contenant une liste de documents militaires français confidentiels destinée à l'ambassade d'Allemagne. Un officier du 2e bureau de l'état-major général, juif d'origine alsacienne, le capitaine Dreyfus, fut inculpé sur une simple ressemblance d'écriture et traduit devant le Conseil de guerre qui le condamna le 22 décembre suivant à la dégradation et à la déportation à vie sur l'île du Diable. Rares furent ceux qui mirent en doute sa culpabilité y compris parmi les socialistes (Jean Jaurès par exemple) et le procès alimenta la campagne antisémite du journaliste Drumont qui s'exprimait dans le journal la Libre Parole. Pourtant, la famille du capitaine, et notamment son frère, Mathieu, continua d'agir pour faire triompher son innocence. Sans cette volonté familiale, il n'y aurait pas eu d'Affaire Dreyfus. À l'automne 1896, l'Éclair puis le Matin attirèrent l'attention du public sur la nature suspecte des preuves qui avaient entraîné la condamnation de l'officier. Bernard Lazare, un critique et publiciste juif, publia une brochure favorable à Dreyfus. Le colonel Piquart, nouveau chef du service des renseignements, découvrit un document accablant un officier d'infanterie, le commandant Esterházy. Un an plus tard le Figaro, sous la plume de Mathieu, le révéla au public. Pour éviter une révision du procès de Dreyfus, les autorités militaires traduisirent Esterházy devant le Conseil de guerre qui l'acquitta, le 10 janvier 1898. Le gouvernement progressiste qui n'entendait remettre en cause ni l'autorité de la chose jugée ni l'autorité de l'armée approuva. Piquart fut envoyé en Tunisie. Le surlendemain, l'écrivain Émile Zola publia dans le journal de Georges Clemenceau, l'Aurore, une lettre ouverte au président de la République, sous le titre "J'accuse", dans laquelle il dénonçait le déni de justice commis par l'armée et ses complices, hommes politiques et magistrats. Zola fut condamné pour diffamation à un an de prison ferme et à une amende, mais l'affaire Dreyfus était devenue "l'Affaire".