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3E partie

Quelle occasion !

– C'est une excellente marque. Elle n'est pas neuve, mais 15 mille francs pour une voiture comme ça, c'est une affaire.

– Tu crois ?

– C'est certain. Et puis nous la payerons à tempérament.

– Tu es sûr de ne pas avoir d’ennuis avec une voiture d'occasion ?

– Pas avec celle-là. Je fais confiance au garagiste qui me la vend.

– Oh, alors ça va.

– Il y a seulement deux ou trois petites choses à changer pour la rendre absolument parfaite. Et le garagiste m'a dit que le plus simple ce serait de faire changer le moteur. Ça coûterait moins cher que de la faire réviser à fond.

Devoirs

1. Écoutez l’enregistrement plusieurs fois. Lisez le texte en imitant le speaker.

2. Traduisez les mots et les expressions ci-dessous et apprenez-les.

un saule pleureur – плакуча іва

abattre un arbre

faire la cour

la volaille

ça m’est égal

atroce

un tournant

serrer à droite – триматися правої сторони

se disputer

se rafraîchir

faire les honneurs de la maison – показувати гостям свій дім

ouvrir la marche – тут йти першим

un menuisier

le verger

cueillir les fruits

payer qch à tempérament – сплачувати в розстрочку

à fond – тут ретельно, повністю

3. Écrivez le résumé du texte de la première partie à la 3e personne et apprenez-le.

4. Résumez le contenu du dialogue de la deuxième partie par écrit.

Leçon 29 Vingt-neuvième leçon Le 14 juillet

1E partie

Demain, c’est la fête

Ouf ! Me voilà enfin de retour à Paris. Un week-end à la campagne, ça va, mais ça me suffit. Guy aurait voulu rester un jour de plus. Mon oncle était tout heureux d’avoir de la compagnie et cherchait à nous persuader de rester. Alors, j’ai me suis décidée à employer les grands arguments. J’ai dit tout simplement : « Je suis désolée, mais je dois absolument rentrer à Paris demain. J’ai du travail à faire ». Mon oncle a tout fait pour essayer de me faire changer d’avis. J’ai dû tenir bon. Ça a ennuyé Guy de devoir partir alors qu’il faisait si beau. Mais il a fini par admettre qu’il devait, lui aussi, rentrer aujourd’hui. L’oncle André a été navré de nous voir partir. En ce moment il doit penser à nous. Il doit dire : « Les pauvres ! Maintenant ils respirent l’air vicié de la ville, pendant que moi, je suis là au grand air ». Je devrais lui écrire aujourd’hui pour le remercier de son bon accueil. Mais je suis déjà réprise par toutes mes occupations. Je lui enverrai une lettre de remerciement demain. J’y pense ! J’aurais dû l’inviter à venir nous voir. Je le ferai par lettre. Il est utile de dire que Luc s’est plu à « Plein Champ » et que Paul s’est bien amusé avec le vieux vélo qu’il a trouvé. Moi, je me suis distraite comme j’ai pu. Plus j’y pense, plus je me rends compte que je ne suis pas faite pour vivre à la campagne. Je pourrais peut-être, au besoin, vivre dans une ville de province. Ouf ! Et encore, demain, c’est le 14 juillet, jour de la fête nationale. Ce jour-là, disent les livres d’histoire, le peuple de Paris se révolta contre la tiranie royale, les Parisiens attaquèrent la Bastille et finirent par s’en emparer. Le 14 juillet 1789 marqua le début de la Révolution française. Ne pensons plus à tout ça. Demain, c’est la fête. Il va y avoir des défilés dans les rues, des bals en plein air, des feux d’artifice. J’ai hâte d’être à demain. Plus je vieillis, plus je veux m’amuser.

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