- •1. L'objet d'étude de lexicologie.
- •2. Les caractéristiques du fond usuel du vocabulaire français moderne.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •2. Les mots et les calques internationaux dans la langue française.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction
- •2. L'amélioration et la péjoration du sens.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •1. La signification en tant que structure.
- •2. La formations des mots et son rôle dans l’enrichissement du vocabulaire: la préfixation.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •1. La caractéristique grammaticale du mot en français moderne
- •2. Les emprunts et les doublets.
- •1. L'identité des mots en français moderne
- •Les synonymes.
- •Les variations contextuels
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •2. Les antonymes.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •1. La polysémie et monosémie des mots.
- •2. Les homonymes.
- •1. Le sens et l'emploi sémantique du mot
- •2. La composition. La dérivation impropre. Téléscopage. Onomatopée. Abreviation et la siglaison.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •1. Les differents types de sens.
- •2. Les locutions phraséologiques.
- •1. D'après le degré de la motivation on distingue
- •2. D'après leurs fonctions communicatives on pourrait dégager
- •3. Le fonctionnement syntaxique distinct des locutions phraséologiques permet de les qualifier
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •1. Les mécanismes de l'évolution sémantique du mot: la restriction(сужение), l'extensions (расширение), le déplacement (перестановка) ou le glissement (скольжение) de sens.
- •2. Les dictionnaires unilingues.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
- •3. L'analyse contrastive lexicologique de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
2. L'amélioration et la péjoration du sens.
Les cas de «l’abilissement» de send dont frequante. Un mot dont le sens premier est neutre peut prendre une nuance défavorable.
Les causes de la dégradation du sens sont différentes.
Voici ce que on ecrit en France a propos du mot «fille».
Si l’appelattion est innossante au debut de la vie (j’ai une fille [ou un garcon]). Le mot «fille» ne tarde pas a servir aux femmes pour designer toutes femmes avec qui leur maris se trompe. (Et c’est une fille de quel age? И сколько лет этой девице?)
L'amélioration de signification: le bouquin – подержанная старая книга. В совр.французском используется просто как «книга».
Le mot «rustre» qui signifie encore parfois «un campagnard, un paysan» est surtout pris en mauvaise part, dans le sens d'«homme grossier». Un «brigand» désignait jadis «un soldat allant à pied et faisant partie d'une brigade » ; aujourd'hui il a un sens nettement négatif «un voleur».
Parfois la dégradation du sens est due à ce que l'objet ou le phénomène désigné par le mot évoque des associations négatives: sale — signifie «qui blesse la pudeur».
Un cas intéressant est offert par l'évolution sémantique du mot «bougre» qui provient du latin Bulgarus ou autrement dit « un Bulgare ». Parmi les Bulgares on comptait un grand nombre d'hérétiques. De là le mot «bougre» a signifié «hérétique»; du sens d'«hérétique» on en est venu au sens d'«homme débauché», et encore de «fripon, filou»; pourtant plus tard la nuance péjorative du mot s'est affaiblie et il a commencé à se nuancer favorablement; aujourd'hui on dit «C'est un bon bougre!» dans le sens d'«homme à cœur ouvert, franc et sympathique». L'adverbe «bougrement» exprime le degré supérieur de la manifestation d'une qualité: «С 'est bougrement joli!»
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Section française, III-ème année (pour les traducteurs)
Examen de lexicologie
1. Le mot et la notion.
2. L'affaiblissement et l'intensification de la significaition de sens (hyperbole et litote).
3. L'analyse contrastive lexicologie de l'extrait d'un texte français original et de sa traduction.
1. Le mot et la notion.
Понятие (человек)
л огический уровень
лингвистический уровень
Слово (язык) Денотат (реальный мир)
Понятие – это сформированное в нашем сознании представление о каком-либо предмете (денотат, реальный мир, пр.угол.), состоящее из самых общих признаков этого предмета, которое внутренней стороной входит в слово, выступает там в форме значения, внешней стороной которого является его звуковая оболочка.
Всякое слово обобщает, т.е. понятие совпадает со значением слова.(слон – крупное животное с хоботом). П+П=суждение. Сл+Сл=предложение.
Функции слова: общая (комутикативная), назывная (objet de la realite’), рациональная (возможность восприятия на слух, зрительно), эмотивная (конотативная)
Категория это термин, пришедший из философии в языкознание.
Под лингвистической категории мы понимаем лингвистический объект, внутри которого есть противопоставления (минимум 2).
Le rôle des mots ne se borne pas à transposer la notion dans la forme verbale, mais à servir de médiateur actif et indispensable dans là formation de la notion, pour son devenir. Le mot participe lui-même à la formation de la notion, autant dire que tout mot généralise.
La notion peut être rendue par des moyens de linguistique différents : par des mots et par des groupes de mots.
C’est pourtant le mot qui sert des moyens pour exprimer la notion. La faculté d’exprimé de notions est est une de caracteristique fondamentale de mots et de leurs équivalentes. Donc, le mot et la notion constituent une unité dialectique. Pourtant unité ne veut pas dire identité. De même qu’il n’y a pas d’équivalence entre la pensée et la langue, il n’y a point d’identité entre le mot et la notion. Un mot peut-être lier à plusieurs notions (la policimie – omonimie)
Выражается многозначность – присутствие много сем.
Омонимия – нет связующих сем ( сема – минимальный значимый элемент значения).
Фундаментальная разница – присутствие или отсутствии много сем.
Et inversement la même notion est parfois rendue par des mots differents.
La linguistique traditionnelle considere la notion comme une généralisation objectives des phenomens de la réalité qui s’opere dans notre cerveux.
En effet la notion généralise, c’est a dire elle réffecte les particularites essentielle d’un objet ou d’un phenomen de la réalité. C’est précisement cette propriété de la notion qui les linguistique ont en vue lorsqu’ils disent que tous mots généralise.
Il est notoir que l’enveloppe sonore ou la graphie du mot doit necessairement avoir la valeur d’un signe arbitraire.
Les mots peuvent être porteurs d’une contenu notionelle identique mais appartenir à des styles différents de la langue.
Exemple: tête et cabache – башка, Les yeux et mirettes – шары, Regarder, zyeuter – зырить
Il faut dire que l’emploi régulier ou constant du mot dans un style déterminé peut avoir pour consequance que se mot se couleure d’une nuance émotionelle.
Si on applique le therme signification du contenu idéale ou sémantique du mot il foudrai une autre therme pour nomer ses particularités d’emploi dû à l’usage ou à son appartenence stylistique.
Le therme signalemen, proposé par Marouzeau, serait admissible alors la signification lexicale comprend ses signalement du mot et tout cela constitue la structure sémantique de la signification du mot.
2. L'affaiblissement et l'intensification de la significaition de sens (hyperbole et litote).
L'affaiblissement du sens est une conséquence de l'emploi abusif, hyperbolique des mots ; il présente un moyen affectif de la langue.
Les hyperboles sont bien fréquentes parmi les formules de politesse On dit être ravi, être enchanté défaire la connaissance de qn sans prendre les mots à la lettre. On exagère sans trop le remarquer lorsqu'on dit c 'est assommant, crispant, tuant, rasant pour « c'est ennuyeux ! » ou bien il y a des siècles, il y a toute, une éternité qu 'on ne vous a pas vu pour « il y a très longtemps qu'on ne vous a pas vu ». Très imagées sont aussi les hyperboles telles que aller comme le vent, marcher comme une tortue, verser un torrent de larmes.
Nous employons des hyperboles en disant : C'est prodigieux ' C'est renversant ! C'est épatant ! C 'est formidable, spectaculaire, sensationnel, époustouflant ' C 'est super, extra, géant, génial!
À force d'être constamment répétées les hyperboles finissent par s'user : elles perdent leur valeur expressive et, par conséquent, leur affectivité. Nous assistons alors à l'affaiblissement de leur intensité émotionnelle, autrement dit à l'affaiblissement du sens. Ainsi le substantif ennui désignait « une grande souffrance ». et aujourd'hui « une lassitude morale ». La gêne signifiait « torture » et gêner - « torturer ». Meurtrir avait le sens de « tuer ». comme l'atteste encore meurtre et meurtrier.
Par contre, lorsque nous voulons faire entendre le plus en disant le moins nous employons une litote (du gr. . litotes - « petitesse ») qui signifie « diminution ». Au lieu de il est intelligent on dit il n 'est pas bête : en parlant d'une pièce ennuyeuse on dit qu 'elle n 'est guère amusante : pour ne pas blesser une femme d'un âge avancé on dira qu'elle n 'est plus jeune.
Les litotes, qui présentent un procédé affectif opposé à l'hyperbole, amènent à l'intensification du sens des mots.
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Section française, III-ème année (pour les traducteurs)
Examen de lexicologie
1. Les fonctions du mot.
2. Sur les causes de révolution sémantique des mots.