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V.3. Зб. Бжезинский: сша должны противостоять атаке Израиля на Иран 41

V.4. Давос: новые способы глобального сотрудничества 43

VI. Note de synthèse 45

I. Mondialisation

I.1. Le défi de la mondialisation

A l’orée de ce nouveau millénaire, le monde est riche d’opportunités et d’expériences nouvelles, mais également gros de menaces et de pièges.

Chacun, où qu’il soit, peut sentir à tout moment battre le pouls de la planète. Un étudiant chinois peut accéder aux banques de données des universités européennes, confronter ses idées à celles de ses collègues américains. Les produits et les services sont mus par cette même logique d’échanges sans frontières.

Source de création et de richesse, ce nouveau bouillonnement entraîne une dynamique sans précédent. Mais il risque d’écarter sur son passage ceux qui en ont le plus besoin: les plus démunis et les plus fragiles. A nous de relever le grand défi du partage, dans un monde désormais régi par deux lois implacables: l’urgence et l’interdépendance.

L’urgence, face aux crises qui éclatent l’une après l’autre, sur toute la surface du globe, des Balkans à l’Afghanistan, de l’Irak à la Corée du Nord. L’urgence, face aux grandes pandémies qui déciment jour après jour des populations entières. L’urgence, enfin, face aux crises économiques qui jettent des pays, voire des continents entiers dans la pauvreté, mettant en péril la stabilité mondiale.

Toutes les régions du monde sont désormais ouvertes aux crises et aux désordres qui se propagent d’un pays à l’autre, d’un continent à l’autre. De Bali à New York, de la Tanzanie au Kenya ou à Mombasa, de Karachi au Yémen, le terrorisme frappe partout, et brandit l’étendard de la mort et de la haine. La prolifération des armes de destruction massive engage l’humanité dans la peur et multiplie les risques d’autodestruction de l’espèce humaine.

Ces dangers sont ramifiés et complexes. Ils concernent tout le monde. Qu’il s’agisse de l’économie, de l’environnement ou de la sécurité, aspects de plus en plus indissociables, notre monde porte l’exigence générale de la solidarité. Nul ne peut se prétendre indifférent à une tempête boursière qui affecte une région située aux antipodes, à un désastre écologique qui ignore les frontières ou à une crise militaire régionale qui menace les équilibres stratégiques.

Pour maîtriser ces risques, il faut rejeter trois grandes tentations qui saisissent aujourd’hui notre monde.

La première tentation est celle de la peur. Face aux grands défis qui nous attendent, nous devons prendre acte de notre communauté de destin et renforcer nos actions communes, en particulier pour lutter contre le terrorisme, qui doit être combattu avec détermination, par tous les moyens dont on dispose, militaires si nécessaire. C’est ce que nous avons fait en Afghanistan, comme nous le faisons sur notre propre sol. Pour autant, comment ne pas voir qu’une approche purement centrée sur la défense de nos intérêts de sécurité ne résoudrait pas le problème sur le long terme? Lutter contre le terrorisme, c’est aussi lutter ensemble contre le fanatisme et contre tout ce dont il s’alimente: la grande pauvreté, le désespoir, l’humiliation, le rejet de l’autre.

Jamais la peur ne doit dicter les priorités et les principes de notre action. L’exigence de sécurité ne doit pas nous faire oublier l’objectif du développement, de la croissance, le souci d’une meilleure répartition des richesses et de l’ouverture sur l’extérieur.

La deuxième tentation est celle de la force. Aujourd’hui, vouloir régler tous les problèmes par la force seule n’est ni souhaitable ni possible. Nul ne peut, par la puissance de ses armées, assurer la stabilité d’un monde régi par des lois complexes et hanté par des menaces globales. L’usage de la force ne peut être le fruit d’un abandon des efforts de paix et de dialogue.

La troisième tentation est celle du scepticisme ou de l’indifférence. Nous devons être particulièrement vigilants à l’égard des sentiments d’injustice, qui constituent aujourd’hui une véritable menace pour le monde. La surdité face aux malheurs des peuples les plus défavorisés porte en germe tous les conflits et toutes les haines. C’est pourquoi il nous faut inventer maintenant une méthode de gestion des crises qui soit à la fois universelle, juste et équitable.

Face aux crises de prolifération, les Nations unies doivent renforcer et perfectionner l’outil des inspections afin qu’il permette de les régler pacifiquement. Nous ne pourrons recourir systématiquement à la force face aux multiples crises qui sont en gestation. L’action de la communauté internationale doit reposer sur une vision globale et le souci de l’intérêt général. Elle doit être cohérente. Toutes les crises doivent être traitées selon les mêmes principes, qu’elles éclatent au Moyen-Orient, en Afrique ou en Asie, sans méconnaître pour autant leurs spécificités.

Dominique de Villepin, ministre des Affaires étrangères. Label France

Objectifs de la mondialisation. Plan

  1. Introduction

  2. Développement

    1. Deux loix de la mondialisation

      1. Urgence

      2. Interdépendance (menaces sociale, économique, écologique, militaire)

    2. Trois tentations

      1. Peur

      2. Force

      3. Indifférence

  3. Conclusion

Exposé

Le thème que j’ai à developper est “Objectifs de la mondialisation”.

Certes, nous vivons dans un monde d’interconnexion et d’intedépendance à l’échelle de la planète. Tout ce qui peut se passer quelque part affecte la vie et l’avenir des gens partout ailleurs. Aucun territoire souvenain si vaste, si peuplé, si riche soit-il ne peut protéger à lui seul ses conditions de vie, sa sécurité, sa prospérité et l’existance de ses habitants. L’interconnexion s’exerce à l’échelle mondiale. Un étudiant chinois, par exemple, peut accéder à la banque de données des universités européennes, confronter ses collègues américains.

Sans doute, la mondialisation porte en soi quelques risques. Notamment, elle risque de négliger les pauvres. A cet effet, il est important d’établir quelques principes pour faire respecter les droits de l’homme (comme le propose Dominique de Villepin, ancien ministre français des affaires etrangères). Dans cette perspective, il faut prendre en considération que le monde d’aujourd’hui est régi par les deux loix – l’urgence et l’interdépendance. Je voudrais préciser ces deux termes avant d’énumérer les objectifs de la mondialisation.

L’urgence c’est la réacton immédiate des états aux crises mondiales comme en cas des Balcans, de l’Afganistan, de l’Irak et de la Corée du Nord.

Quant à l’interdépendance, elle est nécessaire face aux menaces mondiales. Dominique de Villepin en nomme les quatre – économique, sociale, écologique et militaire.

  1. La menace sociale consiste, en grande partie, en terrorisme. Des actes terroristiques sont répandus dans toutes la planète – Bali, New York, Mambasa.

  2. La menace économique c’est la tempête boursière qui affecte toutes les régions.

  3. Ce qui est pour la menace écologique, c’est la pollution de la nature, l’effet de serre etc.

  4. Quant à la menace militaire, les crises militaires régionales peuvent influencer tous les coins du monde et risquer ainsi les équilibres stratégiues.

Pour maîtriser ces risques, il faut éviter les grandes tentations. De Villepin en suggère trois. Echapper chacune d’elles c’est les trois objectifs principaux de la mondialisation.

  1. La première tentation est celle de la peur. Ce problème est lié à la menace du terrorisme qui fait peur à toute la planète. Il faut le combattre avec détermination et non avec la peur. Les états doivent lutter contre le terrorisme par tous les moyens y compris militaires (comme à l’Afganistan, par exemple). La lutte contre le terrorisme est d’autant plus nécessaire que c’est en même temps la lutte contre la grande pauvreté, le désespoir, l’humiliaton et le rejet de l’autre.

  2. La deuxième tentation est celle de la force. Aujourd’hui, il est peut désirable que les états emploient la force dans la résolution des problèmes. Cela peut amener à un nouveau conflit mondial. C’est pouiquoi il faut régler des controverses avec le dialigue.

  3. La troisième tentation est celle de l’indifférence. C’est que nous devons être sensibles aux maleurs des autres.

Bref, la mondialisaton est inéluctable et irréversible. Dans les conditions de l’urgence et de l’interdépendance, les états doivent établir le dialogue en évitant les tentations de la peur, de la force et de l’indifférence. Selon Dominique de Villepin, c’est le dialogue qui doit maintenir la stabilité dans le monde.

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