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IV. Société

IV.1. Le défi de l’éducation pour tous

Alors que trop d’enfants dans le monde restent privés d’école, la communauté internationale souhaite aider les pays en développement qui poursuivent une stratégie éducative claire.

Tristes constats: aujourd’hui, près de 1 milliard d’adultes sont analphabètes et 100 millions d’enfants, dont 60 % de filles, en âge de fréquenter l’école primaire n’ont aucune chance d’être scolarisés. Un enfant sur quatre n’achève pas le cycle des cinq années d’éducation de base, indispensables pour acquérir des connaissances minimales en lecture, en écriture et en calcul. L’Afrique est particulièrement touchée puisque, selon les tendances actuelles, 75 % des enfants non scolarisés en 2015 se trouveront sur ce continent.

Les raisons de ce drame humain sont multiples. Elles vont de la nécessité, pour les enfants de nombreux pays, de participer, notamment, aux tâches agricoles ou domestiques - on estime à près de 250 millions le nombre de garçons et de filles âgés de cinq à quatorze ans qui travaillent -, à des facteurs culturels (discrimination sexuelle), en passant par une extrême pauvreté des familles et les conséquences désastreuses de la pandémie du sida, qui a provoqué la disparition de nombreux enseignants. Et le fossé numérique qui sépare aujourd’hui les pays du Nord de ceux du Sud ne peut que contribuer à aggraver ces inégalités de développement.

Consciente de l’importance des incidences de l’éducation sur la santé, la croissance, la réduction des inégalités ou encore la démocratie et la paix, la communauté internationale n’entend pas rester une simple spectatrice. Dix ans après la Conférence mondiale sur l’éducation pour tous (à Jomtien, en Thaïlande), une nouvelle réunion s’est tenue, en avril 2000, à Dakar, au Sénégal. Les 1 100 participants se sont fixé deux objectifs majeurs: faire en sorte que, d’ici à 2015, tous les enfants accèdent à un enseignement primaire obligatoire et gratuit de qualité et le suivent jusqu’à son terme ; éliminer, d’ici à 2005, les disparités entre les sexes dans l’enseignement primaire et secondaire. Ils se sont également solennellement engagés à ce «qu’aucun pays ayant pris des engagements sérieux en faveur de l’éducation pour tous ne voie ses efforts contrariés par le manque de ressources». L’enjeu est de taille puisqu’on estime, aujourd’hui, que près de 90 pays ne seront pas en mesure d’offrir à leurs enfants un accès universel à l’éducation de base à l’horizon 2015.

Depuis Dakar, les dirigeants des huit nations les plus industrialisées (G8) ont entériné ces objectifs, à Gênes d’abord en juillet 2001, puis à Kananaskis en juin 2002. Lors de leur dernière rencontre, ils ont adopté une série de mesures destinées à aider les pays en développement à accéder à l’éducation primaire universelle. Ils ont notamment validé «l’initiative accélérée» en faveur de l’éducation pour tous, un programme mené sous l’égide de la Banque mondiale, destiné à aider financièrement les pays qui poursuivent des politiques claires en faveur de l’éducation de base. La plupart des Etats de la Zone de solidarité prioritaire (ZSP) ont vocation à faire partie de ce projet. Les donateurs se sont réunis une première fois le 27 novembre 2002 à Bruxelles (Belgique), avec pour intention d’apporter leur soutien à une liste initiale de sept pays. Ce n’est qu’un début.

Alors qu’il préside cette année le G8, le président français Jacques Chirac attache la plus grande importance à ce que la communauté internationale traduise ses promesses en actes, comme le fait la France qui consacre, en effet, 20 % de son aide publique au développement au secteur de l’éducation et qui se place, dans ce domaine, au premier rang des pays donateurs. Un des axes majeurs d’action consiste à développer le rôle des nouvelles technologies, notamment en matière de formation à distance des enseignants, afin d’éviter que le fossé éducatif ne se creuse encore un peu plus.

Par Muriel Denis, journaliste. Label France

Education pour tous. Plan

I. Introduction

II. Développement

1. Education – état aux pays du Sud

2. Réunion à Dakar

3. Réunion à Gênes et à Kananaskis

III. Conclusion

Exposé

Le thème que j’ai à développer set l’éducation pour tous.

Certes, nous vivons dans un monde civilisé et nous sommes habitués au fait que les gens qui nous entourent sont éduqués. Même si une personne ne fait pas ses études à l’Université, elle a terminé au moins une école – elle peut lire et écrire sans problèmes.

Mais on peut faire un pari enverse lorsqu’on parle des pays du Sud, l’Afrique par exemple. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Dans le monse entier, un milliard d’adultes sont inalphabètes et 100 millions d’enfants dont 60% des filles n’ont aucune chance d’être scolarisés. En Afrique, 75% d’enfants sont non scolarisés. Les raison en sont multiples. La première et la principale c’est la nécessité pour les enfants de travailler. Ainsi, les 250 millions doivent participer aux tâches agricoles ou domestiques. La deuxième c’est la pauvreté extrême. On peut mentionner dans ce contexte des facteurs culturels (discrimination sexuelle) et des facteurs sanitaires (la pandémie du sida).

La communauté internationale ne peut pas rester sans action face à ce problème. Elle prend des mesures efficaces – en avril de 2000, par exemple, s’est tenue un réunion à Dakar. Les 1000 participans se sont fixé les deux objectifs majeurs. Le premier c’est de faire accéder tous les enfants à l’enseignement primaire vers 2015. Le deuxième c’est d’éliminer les disparités entre les sexes dans l’enseignement primaire et secondaire. Il est à noter que chaque pays-membre doit y aporter ses efforts.

Sauf cette réunion, il y a eu aussi des rencontres à Gênes en 2001 et à Kananasis en 2002 organisées par le G8. Lors de ces réuinions ont été adoptées les mesures pour aider les gens des pays en développement à accéder à l’éducation primaire universelle. Par exemple, ils ont avancé le programme «L’initiative acclérée» qui poursuit des politiques claires en faveur de l’éducation de base.

La France participe activement ans ce programme. Elle est au remier rang des pays-donateurs avec ses 20% d’aide publique.

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