Ironie.

Désigner qch avec une pointe d’ironie.

Il y glisse aussi une forte dose d’ironie, si forte parfois, qu’elle annule tout le reste.

L’ironie cachée.

L’ironie de l’auteur se dissimule derrière les paroles du personnage.

Dans cette page on sent s’insinuer une discrète ironie.

L’ironie comporte ici plusieurs facettes, soit qu’elle provienne de Salavin en connaissance de cause, soit qu’elle se dégage malgré lui.

Une comparaison élégante, d’une étonnante justesse.

Une comparaison qui frappe l’oreille ou « frappe à l’oeil ».

Une comparaison qui en réalité est une personnalisation.

Dialogue.

Aussi dans le bon dialogue que l’on va lire (analyser).

Est-ce par la voix de…plutôt que par celle de…que s’expriment ses convictions désabusées.

Le dialogue est haché par plusieurs silences.

Le dialogue dépouillé de toute grandiloquence.

Le dialogue frappe par sa sobriété et son caractère condensé.

Le dialogue est ponctué de silences.

Interrompre brusquement le dialogue.

La méthode de… est fondée sur le dialogue.

Syntaxe, phrase.

Les phrases se succèdent avec l’ampleur assurée du (chant).

Le latin se substitue tout naturellement à la phraséologie profane …

Restituer la phrase entière.

La phrase est harmonieuse autant que peut le supporter la prose.

Cette phrase commence par l’énoncé du fait.

Elle s’achève abruptement sur…

Nous voyons dans cette (première) phrase comment interviennent les objets (les personages).

La phrase demeure inachevée, comme dans la conversation…

La suite de la phrase justifie…

La phrase se révèle être d’une extrême importance.

Les irrégularités de syntaxe que représentent…

Point de propositions heurtées, syncopées, elliptiques.

Cette phrase et la suivante manifestent avec force …

Elle (phrase, partie) éclaire en plein le sujet.

Elle porte l’accent sur ce qui importe à l’auteur…

Les trois points (…) qui suspendent le mouvement de la phrase sont…

Une phrase ample.

La phrase s’interrompt.

Cette proposition mérite une attention spéciale.

Surprendre la phrase.

La construction de la phrase, conforme aux usages du français vulgaire et parlé, détache, pour y appuyer l’accent, le mot…

Temps.

L’usage de l’imparfait traduit une durée et une simultanéité dans le passé.

Le verbe… est à l’imparfait, et marque aussi un mouvement continu, une répétition.

La vision se déroule suivant un mouvement lent et prolongé, ce qu’indiquent les verbes à l’imparfait.

Ce changement est souligné par le brusque passage du récit au présent, et, du même coup, la scène devient actuelle, nous y sommes engagés nous-même nous y participons.

Les phrases précédentes, au présent, étaient sans doute destinées à suggérer que le temps était suspendu.

Le retour des verbes au passé signifie que cette halte (privilégiée) a pris fin. Le temps et la fatalité se remettent en marche.

Une rupture des temps.

Le passage d’un temps à un autre.

L’importance des temps dans un récit.

Un conditionnel qui est en réalité un futur dans le passé.