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Descriptif de l'offre d'emploi informatique

Actuellement nous renforçons notre Practice Project Management et recherchons des consultants souhaitant intervenir sur le pilotage de plusieurs projets de transformation dans le secteur Banque/Assurance.

Vous prendrez en charge la gestion de la planification globale du projet, le suivi du budget et des risques ainsi que la mise en place de reportings pour les différents comités internes et externes.

Vous mettrez en place des procédures de suivi et des indicateurs en s'appuyant sur les standards internes.

Au vu de la diversité des intervenants sur le projet, une communication régulière sera attendue sur l'état d'avancement et les décisions prises.

Vous avez une expérience réussie en tant que Project Manager d’au moins 5 ans dans le pilotage de projets dans le secteur banque/assurance sur des sujets de mise en conformité réglementaire et/ou transformation IT.

Vous êtes très organisé, rigoureux avec un bon esprit de synthèse. Vous possédez un bon relationnel et un niveau de communication écrite et orale irréprochable.

La bonne maitrise de l'anglais est fortement appréciée

BIA Consulting est une société de conseil en management et en systèmes d'information intervenant dans les secteurs de la Banque et de l'Assurance.

Notre expertise basée sur la mise à disposition de connaissances métiers au service des projets informatiques, nous positionne en tant que véritable relais des différentes directions de nos clients. Ainsi nos consultants développent un haut niveau de spécialisation métier, fonctionnel, technique et méthodologique.

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SECTION 2

PROFESSION-MÉTIER

ACTIVITES pour le travail en classe

TEXTE № 1

QUEL AVENIR PROFESSIONNEL POUR LES JEUNES?

1. Durant une semaine en octobre dernier, l’IFOP a mené une enquête en ligne auprès d’un échantillon de 1 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 à 30 ans, selon la méthode des quotas.

Près d’un jeune actif sur deux estime ne pas avoir recours à sa formation universitaire dans l’exercice de son travail. Pourtant, paradoxalement, plus des ¾ des jeunes sur le point d’entamer leur vie active imaginent qu’ils vont occuper un poste qui leur permettra d’appliquer leurs connaissances scolaires.

Si 63% des jeunes interrogés envisagent leur carrière dans les limites d’un même secteur d’activité, la moitié d’entre eux la conçoive dans une même profession (54%) et uniquement 30% s’imaginent évoluer au sein d’une même entreprise.

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2.91% des étudiants et lycéens se disent prêts à changer de région, et plus de 70

%sont disposés à déménager à l’étranger: 11% des jeunes interrogés ont déjà pu vivre cette expérience. A noter: les plus jeunes du panel sont plus ouverts à une mobilité géographique régionale et internationale que leurs aînés déjà installés dans la vie.

Les ¾ des moins de 30 ans préfèreraient attendre de trouver un emploi avant de rechercher un logement et sont prêts à déménager pour se rapprocher de leur lieu de travail. Ils sont 66% à déclarer pouvoir renoncer à un poste en raison de l’éloignement géographique, et 21% ont déjà été amenés à le faire!

Côté logement, 36% des jeunes de moins de 30 ans interrogés sont locataires de leur logement et 32% d’entre eux vivent encore chez leurs parents. Une minorité (16%) est propriétaire de leur logement, 6% vivent en colocation et autant sont logés

àtitre gratuit. On dénombre 3% des jeunes en logement universitaire.

3.Les jeunes encore scolarisés ou à la recherche d’un premier emploi se disent majoritairement confiants dans leur chance de trouver un poste correspondant à leurs souhaits (61%). Pour vous rassurer, sachez que 56% des jeunes actifs donnent raison

àcet optimisme: ils déclarent occuper un poste conforme à leurs souhaits d’étudiants.

Les étudiants et les jeunes actifs se rejoignent sur une appréciation mitigée de la

qualité de la préparation à la vie professionnelle durant le temps des études: 52% des actifs jugent rétrospectivement avoir bien été préparés à leur entrée sur le marché du travail. Le taux de satisfaction monte à 69% pour les jeunes cadres.

4. La majorité des jeunes interrogés ne font pas preuve d’un grand intérêt pour l’entreprenariat puisque 57% d’entre eux n’ont jamais pensé à créer leur propre entreprise. Un tiers d’entre eux considèrent cette opportunité à moyen ou long terme, et 11% seulement l’envisagent à court terme.

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Au final, «si c’était à refaire», 60% des jeunes interrogés portent un regard positif sur leur parcours scolaire. Néanmoins, si plus des ¾ des étudiants et lycéens choisiraient le même cursus (77%), seule une courte majorité de jeunes actifs suivraient la même voie (56%). De manière attendue, les jeunes en recherche d’emploi sont plus nombreux à se remettre en question.

Le 23/12/2013

Sandrine Damie

QUESTIONS ET DEVOIRS

1. Lisez le texte « Quel avenir professionnel pour les jeunes? ». Dites quel problème il traite? Commencez par: le texte parle des résultats de l’ enquête «Ifop-Rumeur publique Prospective» sur la vision des jeunes de 18 à 30 ans....

Choisissez la bonne variante pour finir votre réponse: a) sur leur mobilité et leur avenir professionnel

d) sur la santé et le mode de vie saint

c)sur les loisirs et les vacances

6.Associez les éléments de la colonne de gauche à ceux de la colonne de droite. Consultez au besoin le texte ci-dessus. Tradusez ces phrases:

1) une enquête en ligne

 

a)

d’un

grand

intérêt

pour

 

 

l’entreprenariat

 

 

 

 

 

 

2) entamer

 

b) sur leur parcours scolaire

 

 

 

 

3) évoluer

 

c) auprès d’un échantillon de 1 000

 

 

personnes

 

 

 

 

 

 

 

 

4) vivre

 

d) de satisfaction

 

 

 

 

 

 

 

5) le taux

 

e) leur vie active

 

 

 

 

 

 

 

6) occuper un poste

 

f) cette expérience

 

 

 

 

 

 

7) faire preuve

 

g) au sein d’une même entreprise

 

 

 

 

8) porter un regard positif

 

h) conforme à leurs souhaits d’étudiants

 

 

 

 

 

 

 

3. Répondez aux questions:

 

 

 

 

 

 

 

40

 

 

 

 

a.Quelle enquête l’IFOP a-t-il mené?

b.Selon cette enquête les jeunes pensent-ils appliquer leurs connaissances scolaires pendant leur travail?

c.Est-ce que les jeunes français sont prêts à changer de région pour trouver leur emploi? Pourquoi peuvent-ils renoncer à un poste avantageux?

d.Comment les jeunes français considèrent-ils leur avenir professionnel? Se montrent-ils optimistes ou pessimistes?

4.Voici le plan du texte ci-dessus dont les points sont donnés en désordre. Remettez en ordre le plan du texte selon son contenu. Faites le résumé du texte d’après ce plan.

a. L’avenir professionnel vu par les jeunes français

b. Un décalage entre les attentes des étudiants et la réalité de l’emploi c. Les desirs des jeunes.

d. Une grande mobilité à la sortie des études.

5.Faites la traduction du texte en russe.

TEXTE № 2

LES LANGUES SONT UTILES POUR TRAVAILLER?

En France c'est obligatoire d’étudier l'anglais ou une autre langue étrangère au collège (l'espagnol ou l'allemand). Les élèves valorisent plus l'utilité des langues étrangères (tous les élèves pensent que les langues sont au moins utiles et presque

50% pensent que c'est indispensable). Par contre, il y a des élèves français qui disent que les langues ne servent à rien, mais ils ont l'obligation d'en étudier deux. Seulement 88% pensent que c'est au moins utile. S’ils habitent dans la campagne les élèves ne trouvent pas trop nécessaire de savoir des langues pour obtenir un travail.

Par contre en ville on trouve plus nécessaire de savoir parler des langues étrangères pour trouver du travail dans les entreprises qui exigent un très haut niveau à cause de la concurrence (inclues les langues).

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QUELLES ETUDES VEUX-TU FAIRE?

La moitié des élèves français veulent participer au Bac, mais que après ils vont devoir commencer à travailler. Mais certains ne savent pas quoi faire après.

QUEL METIER VEUX-TU EXERCER?

A la question «Quel métier voulez-vous exercer?», les Français repondent différemment. Dans la campagne on choisit des métiers qui ont des choses à voir avec les activités primaires, comme aviculteur, éleveur d'animaux ou garde forestier. En ville les métiers ont besoins d'études supérieurs. A la question «Pourquoi veux-tu exercer ce métier?», environ 70% d'élèves disent qu'ils aiment ce métier; 23% ne le savent pas; entre 17% pensent que c'est un travail bien rémunéré; 12% affirment qu'il y a de fortes débouchés, et moins de 10% justifie leurs choix en disant que c'est à cause de leurs proches. Plus de 40% des gens sont disposés à quitter leur pays pour travailler, et même quelques personnes ont parlé de voyager en Chine et au Japon pour trouver du travail. 22% laisserait son pays, mais de façon temporelle.

TA SITUATION ACTUELLE ET TON TRAVAIL SONT LIES?

Dans la campagne, il y a des idées très contrastées: 50% des enquêtés pensent qu'il n'y a pas de rapport entre le niveau d'études et la facilité de trouver un emploi. Le reste, par contre, est total ou partiellement d'accord avec cette réflexion, tandisqu’en ville, 80% des gens pensent que cette affirmation est vraie et seulement 20% qui reste est en contre ou ne le sait pas. Cela s’explique ainsi: dans la campagne une bonne partie des emplois sont en rapport avec les activités du secteur primaire, qui n'exigent pas des hautes formations. Par contre, dans une ville moyenne ou grande pour trouver un emploi les jeunes doivent se former d'avantage à cause de la haute demande et la baisse offre de travail. Une autre question qu’on a posée aux jeunes c’est si le travail que ses proches font influe sur ses aspirations. La réponse

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dominante est «non», avec 61%, suivi par «oui» (25-20%) et «je ne sais pas» (1218%).

LES REFLEXIONS DES JEUNES

Au moment de crise beaucoup de personnes ne savent pas s’ils auront des difficultés à accomplir leurs aspirations académiques et professionnelles. Seulement 16 personnes disent qu'il faut se former contre la crise. Il y a aussi beaucoup de personnes qui ne savent s'ils peuvent réussir ce qu'il espéraient (plus de 40%). Il y a aussi un haut pourcentage qui pense qu'ils ne pourront pas faire leur étude et se former à cause de la crise. Presque 25% des élèves ne s'inquiètent pas pour la crise et quand on leur a demandé une justification on a reçu différentes réponses. Quelques uns on répondu que leur futur est conditionné par leurs motivations personnelles. Il y en a d'autres qui affirment que leur décision est liée à leurs capacités académiques. D'autres élèves disent que ça dépend des caractéristiques et conditions propres de chaque métier, et il en a d'autres qui conditionnent leur décision selon la crise et le marché du travail.

Article rédigé par Alex, Alexis, Enrique et Samuel

QUESTIONS ET DEVOIRS

1.Lisez le questionnaire qu'on a fait remplir aux jeunes des classes de troisième.

2.Cochez « Vrai » ou « Faux » et justifiez votre réponse par les informations du texte

Vrai Faux

S’ils habitent dans la campagne les élèves croient important de savoir des langues pour obtenir un travail.

Le choix du métier s’explique par l’amour des élèves envers cette profession

Tous les élèves français veulent réussir leur bac

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Le choix du métier dépend du lieu d’habitation : en ville il faut obtenir un diplôme d’étude supérieure pour trouver un emploi; à la campagne ce n’est pas toujours nécessaire

Les activités du secteur primaire, qui n'exigent pas des hautes formations.

Au moment de crise beaucoup de personnes sont prêts à affronter des difficultés pour accomplir leurs aspirations académiques et professionnelles.

Les motivations personnelles conditionnent l’avenir de certaines jeunes personnes.

3.Quelles conclusions fait-on après avoir étudié les réponses des jeunes ? Utilisez l’information du devoir 2 pour présenter le résumé de cette enquête.

4.Répondez vous-mêmes aux questions posées dans le texte.

TEXTE № 3

COMMENT LES JEUNES VOIENT-ILS

LEUR AVENIR PROFESSIONNEL?

Comment les jeunes voient-ils leur avenir professionnel? L’étude Consojunior de TNS Media Intelligence s’est penchée sur cette question. Ses conclusions dressent le portrait d’une jeunesse plutôt mature dans sa réflexion sur son avenir. Les attentes des jeunes interrogés sont, par ailleurs, relativement proches de celles des adultes.«Le plus important dans un travail pour toi, c’est…?» Telle est la question qui a été posée à 7 000 jeunes âgés de moins de 20 ans, dans le cadre de l’étude Consojunior 2008, réalisée tous les deux ans. Pour les jeunes interrogés, ce qui importe le plus dans leur travail est avant tout de «faire des choses intéressantes» et de «travailler dans une bonne ambiance». La crise économique actuelle semble ne pas trop entacher l’optimisme des jeunes car l’item «ne pas risquer d’être au chômage» n’arrive qu’en

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troisième position de leurs préoccupations professionnelles. Le besoin de reconnaissance sociale («avoir un travail dont on soit fier») emboîte le pas au spectre du chômage. Pour les jeunes, surtout les filles, il est essentiel de pouvoir «rencontrer des gens sympas» grâce à leur travail. «Bien gagner sa vie» n’arrive qu’en sixième position. L’évolution professionnelle et la possibilité de prendre des décisions sont les septième et huitième préoccupations des jeunes. En queue de peloton se trouvent les items suivants: «pouvoir travailler à son rythme sans horaire», «être proche de chez soi». D’après les conclusions de l’étude Consojunior, on peut dire que les jeunes interrogés sont a priori peu intéressés par l’entrepreunariat («travailler pour soi, ne pas avoir de patron», 11ème item du classement) et par la mobilité internationale («pouvoir partir travailler à l’étranger», dernier item).

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QUESTIONS ET DEVOIRS

1. Lisez le texte ci-dessus qui parlent des facteurs qui peuvent jouer un rôle dans le choix de la profession. Classez ces facteurs selon l’information du texte du plus important au moins important.

a.Etre proche de chez soi

b.L’évolution professionnelle

c.Bien gagner sa vie

d.Faire des choses intéressantes

e.Pouvoir travailler à son rythme sans horaire

f.Travailler dans une bonne ambiance

g.Prendre des décisions

h.Pouvoir partir travailler à l’étranger

i.Travailler pour soi, ne pas avoir de patron

j.Ne pas risquer d’être au chômage

k.Avoir un travail dont on soit fier

l.Rencontrer des gens sympas

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