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Читаем по-французски - Фролкина О.С., Истомин В.С

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CHAPITRE V.

(à partir des mots «Comme il se levait tard...» jusqu’à la fin du chapitre.)

Mots et expressions à retenir.

1.exigu — незначительный по размерам, тесный 2.guéridon (m) — круглый столик на одной ножке

3.tire-bouton (m) — штопор

4.mèche (f) — прядь (волос)

5.recevoir une averse — попасть под ливень

6.froisser qqn — çä. задевать, оскорблять, обижать

7.chercher dans les replis de son coeur — искать в тайниках своего сердца

8.être escompté — быть рассчитанным, учт¸нным

9.vivre au jour le jour — æèòü äåíü çà äí¸ì 10.se trouver en fonds — оказаться при деньгах 11.faire sensation — произвести сенсацию 12.chuchoter — шептать(ся)

13.sans embarras — без стеснения 14.patère (f) — вешалка

15.inimitié (f) — неприязнь, враждебность 16.fouiller — копаться, рыться

17.en goguette — навеселе, подвыпивши

18.une robe de toile — холщ¸вое платье

19.déguisé — переодетый, замаскированный 20.mal famé — пользующийся дурной славой

21.se consoler de qqch — утешать себя

22.obstination (f) — упрямство, настойчивость 23.caboulot (m) — деш¸вое кафе, кабак

24.dévisager qqn, qqch — рассматривать

25.un plaisir âcre — острое удовольствие

26.scélérat — преступный 27.en outre — кроме того

28.être rongé par les dettes — быть снедаемым долгами

29.expédient (m) — выход, средство, способ

30.un homme d’invention — изобретательный человек

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31.pour les causes les plus futiles — по самым ничтожным поводам 32.additionner le déjeuner — расплатиться за обед

33.les frais d’habillement — расходы на одежду

34.jadis — раньше, когда-то 35.rageant — злящийся, беснующий

36.recourir à un stratagème — прибегнуть к хитрости 37.un ton grognon — ворчащий тон

38.tenir à faire qqch — сильно хотеть, иметь охоту 39.embêter qqn — надоедать, раздражать

40.avoir des contrariétés/des ennuis — иметь неприятности 41.s’agenouiller devant qqn — стать на колени перед êåì-òî

42.répliquer — отвечать, возражать

43.se dégager — освободиться 44.un geste rageur — гневный жест

45.s’arrêter net — внезапно остановиться

46.sauter au cou à qqn — броситься на шею 47.s’endetter — залезть в долги

48.épuiser toutes ses ressources — исчерпать все свои средства 49.glisser dans la doublure — провалиться за подкладку

50.être d’une humeur de chien enragé — быть злым, как бешенная собака

51.faire nette la situation — прояснить ситуацию

52.aborder la question — приступить к рассмотрению вопроса, затронуть тему

53.chercher un joint — искать предлог, зацепку

54.reculer — отступить

55.faire des démarches — предпринимать шаги 56.apaiser sa conscience — успокаивать свою совесть 57.outre mesure — сверх меры

58.rendre en bloc — вернуть вс¸ вместе

59.se priver de qqch — лишать себя ÷åãî-ëèáî 60.aiguillonner qqn — подстрекать, подгонять, поощрять

61.revenir sur ses pas — вернуться назад 62.s’obstiner à qqch — упорствовать в ÷¸ì-òî

63.faire le fier — разыгрывать из себя гордеца

64.s’élancer derrière qqn — броситься за êåì-òî

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65.fugitif (m) — беглец

66.en proie à qqch — во власти, в порыве

67.haleter — прерывисто, тяжело дышать, задыхаться 68.expectorer — извергать, говорить, изрекать, изрыгать

69.cracher — плевать

70.se masser autour de qqn — собраться вокруг êîãî-òî

Activités orales.

1.Pourquoi Mme de Marelle loua-t-elle un appartement? 2.Comment était cet appartement?

3.Comment Duroy y réagit-il?

4.Quelles sortes de distractions Mme de Marelle préférait-elle? 5.Pourquoi Duroy vivait-il maintenant avec plus depeine qu’aux jours

où il était employé du Nord?

6.A propos de quoi les deux amants se querellèrent-ils?

7.Qu’est-ce que Duroy trouva dans la poche de son gilet le lendemain? 8.Rendit-il cet argent à Clotilde?

9.A quelle conclusion arriva-t-il après les humiliations et la rage qui avait tourmenté son âme?

10.Quelle était la cause du scandale qui éclata aux Folies-Bergères? 11.Est-ce que Mme de Marelle fit comprendre à Duroy que c’était elle

qui payait?

12.Parlez des escapades de Mme de Marelle et G.Duroy. Employez le lexique ci-dessous: faire sensation, s’habiller en ouvrière, s’asseoir sans embarras et sans dégoût, avoir des goûts canailles, mener dans un bastringue, des escapades de garçon, être drôle comme tout, se serrer contre qqn, regarder d’un oeil ravi, se rassurer contre un danger possible, un endroit louche, découvrir un goût passionné pour le vagabondage, garder ses bagues, se juger déguisée, les tavernes les plus mal famées, garder sa tenue correcte, apeuré, donner une sensation d’une faute commise, procurer un plaisir âcre, une jouissance scélérate, filer d’un pas d’actrice qui quitte la scène, pousser un grand soupir, échapper à quelque terrible danger.

Qu’est-ce que vous pouvez dire du caractère de Mme de Marelle, vu son goût passionné pour ce genre d’escapades?

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13.Décrivez les endroits mal famés que fréquentaient Mme de Marelle et G.Duroy, en vous servant du lexique ci-dessous: quelque chose de drôle, de commun, deux fillettes en cheveux, trois cochers de fiacre, un personnage impossible à classer, les jambes allongées, les mains dans la ceinture, la tête renvsée en arrière, des cheveux gris de saleté, cracher devant soi, la table de bois vernis par la graisse des nourritures, le municipal grave et immobile, en goguette, les caboulots populaires, un bouge enfumé, des chaises boiteuses, une odeur de posson frit, gueler en buvant, regarder d’un air soupçonneux et mécontent.

Vous est-il jamais arrivé de vous trouver dans un endroit de ce genre?Quelles sensations avez-vous éprouvées?

14.Parlez des ennuis financiers de Duroy. Employez les mots et les expressions donnés: se procurer le demi-louis, payer les consommations, vivre avec une peine infinie, dépenser largement, épuiser toutes ses ressources, emprunter à la caisse, se trouver usé, devoir quatre mois de son traitement, avoir la bourse large, être rangé par une multitude de petites dettes inavouables, ne découvrir aucun expédient, s’exaspérer, avoir plus de besoins, une colère sourde, une irritation incessante, pour les causes les plus futiles, sans aucun excès ni aucune fantaisie, additionner un déjeuner, former un total de, les frais d’habillement, de chaussure, de linge, se trouver sans un sous, creuser le ventre, recourir à un stratagème de désespéré, fouiller ses poches, échouer aux jours de misère.

Vous êtes-vous jamais trouvé dans une situation pareille? Quels moyens connaissez-vous pour vous procurer de l’argent?

15.Commentez la phrase suivante:»...il finit par ne plus s’irriter outre mesure de trouver un jaunet dans une de ses poches... Puisqu’elle avait des envies qu’il ne pouvait satisfaire dans la moment, n’était-il pas naturel qu’elle payât plutôt que de s’en priver?»

Croyez-vous que Duroy ait raison en acceptant l’argent de Mme de Marelle?

16.Faites le résumé du chapitre en mettant en relief l’idée maîtresse.

17.Demandez à votre camarade:

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ce qu’il fait si quelqu’un l’embête;

qui doit additonner le déjeuner au resto; s’il a jamais reçu une averse;

quelle nouvelle a fait sensation dernièrement; qui paye ses frais d’habillement et de chaussure; ce qu’il fait quand il se trouve en fonds;

à l’égard de quels gens il éprouve de l’inimitié; s’il est un homme d’invention;

s’il y a des jours où il est d’une humeur de chien enragé; ce qui lui procure un plaisir âcre.

18.Composez de petits dialogues en employant les mots et les expressions proposés ci-dessous: s’élancer derrière qqn; mais non, par exemple;ça ne te regarde pas; en proie à; en outre; se masser autour de; s’agenouiller devant; faire nette la situation; tu dis?

Etude du vocabulaire et commentaires.

Retenez les expressions avec le mot jour (m) et leurs significations: de jour = pendant le jour, qui a lieu de jour

le jour et la nuit (nuit et jour, jour et nuit) = sans arrêt, continuellement il y a un jour = hier

dans un jour = demain

à jour fixe, nommé (prendre jour) = pour un rendez-vous

un jour = autrefois, dans le passé ou dans l’avenir (un de ces jours, un jour ou l’autre)

tous les jours = toujours

de tous les jours = courant, habituel, ordinaire c’est du tous les jours = c’est un fait ordinaire

jour après jour (de jour en jour) = graduellement, peu à peu d’un jour à l’autre = d’un moment à l’autre

du jour = de même jour nouvelles du jour = actualités

du jour au lendemain = d’un moment à l’autre, sans transition par jour = dans une journée, journellement, quotidiennement

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gagner sa vie au jour le jour = en gagnant de quoi subsister chaque jour vivre au jour le jour = d’une manière régulière, au fur et à mesure

Observez les acceptions du verbe froisser. Retenez ses synonymes et antonymes:

1.(vieilli) briser, meurtrir par un choc brutal ex.le mourant que le sabot du cheval froisse.

2.endommager par frottement ou compression (un corps offrant peu de résistance)

ex.l’herbe livre son suc dès qu’on la froisse. syn.écraser

3.faire prendre de faux plis (à une étoffe)

ex.sa redingote froissée par la banquette du wagon. Syn.friper

ant.défriper, défroisser, repasser

4.(fig.) blesser légèrement dans son amour propre, dans sa délicatesse ex.Je vous ai souvent froissée.

Syn.désobliger, indisposer, vexer ant. flatter, ménager

Exercices d’application.

1.Répondez aux questions en employant au lieu des mots soulignés leurs synonymes:

1.Il était employé de votre bureau autrefois, n’est-ce pas? 2.Pourquoi cette femme nous regarde-t-elle si attentivement? 3.Connaissez-vous un moyen pour sortir de cette situation? 4.Cet homme vous ennuie, monsieur?

5.Qui va payer les consommations? 6.Avez-vous des ennuis?

7.Suffoquez-vous pour avoir beaucoup marché? 8.Cherches-tu un prétexte pour rester? 9.Pourquoi s’est-il retourné?

10.Ta mère s’irrite-t-elle toujours pour des riens?

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2.Donnez les mots de la même famille: rager, étreindre, joindre, aiguille (f), embarrasser, déguiser, dette (f), obstination (f), fuir, haleter.

3.Complétez les phrases ci-dessous avec la variante a), b) ou c) selon le sens:

1.Toutes ses ressources..........

 

d’avance.

 

a) étaient épuisées; b) étaient escomptées; c) étaient privées.

2.Ne trouvant pas..........

, il a mis son chapeau sur la table.

a) de guéridon; b) de tire-bouton; c) de patère.

3.Je ne l’ai pas reconnu parce qu’il était

...........

a)

scélérat; b) déguisé; c) mal famé.

 

4.Elle se sentait mal à l’aise dans son étreinte et chercha à...........

5.Le colonel se trouvait..........

 

une colère rageuse.

a)

en proie à; b) en outre; c) au gré de.

 

6.Cet accident a eu lieu parce que le chauffeur était...........

a) en goguette; b) grognon; c) exigu.

 

7.Duroy..........

la fugitive.

 

 

a)

se priva de; b) s’arrêta net devant; c) s’élança derrière.

8.Un homme bien élevé ne

.......... jamais par terre, surtout en présence

d’une femme.

 

 

 

 

a)

aiguillonne; b) froisse; c) crache.

 

9.Je ne sais pas comment...........

C’est une situation délicate.

a)

faire des démarches; b) aborder la question; c) recourir à un

stratagème.

 

 

 

 

10.Je ne sais pas comment expliquer..........

à mon égard.

a) son inimitié; b) son obstination; c) son humiliation.

4.Remplacez le verbe dire par un verbe plus précis choisi dans la liste sivante: expectorer, gueler, répliquer, avouer, déclarer.

1.Elle dit durement:»Non, je tiens à sortir et je ne céderai pas à tes caprices.»

2.Il dit enfin:»Ah!c’est comme ça!Va donc!»

3.Elle dit tout haut:» Il ya que je n’ai pas un sous... Voilà.» 4.Elle dit comme si elle crachât:»Cochon!»

5.Elle dit:» Je ne veux point supporter le contre-coup de votre mauvaise humeur.»

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5.Expliquez comme vous le comprenez: être d’une humeur de chien enragé, un caboulot mal famé, être rongé par des dettes, un homme d’invention, apaiser sa conscience, faire le fier.

6.Remplacez les mots soulignés par leurs antonymes:

1.C’est un endroit réputé.

2.Il répondait d’une voix plaisante. 3.J’éprouve de la sympathie envers cet homme. 4.En ce moment il était sans un sou. 5.Devons-nous continuer d’aller droit?

6.Vous n’êtes pas seuls, donc, ne parlez pas si haut.

7.Faites des phrases avec les mots donnés:

1.rendre en bloc/ s’endetter/ jadis/ une obstination. 2.sauter au cou/ recourir à un stratagème/ un fugitif. 3.exigu/ vivre au jour le jour/ tenir à.

4.recevoir une averse/ une mèche/ en outre.

5.glisser dans la doublure/ avoir des contrariétés/ rageant.

8.Traduisez en employant une des expressions avec le mot jour (m):

1.Какое сегодня меню?

2.Я навещу тебя как-нибудь на днях.

3.В назначенный день он был в доме Форестье. 4.Она работала день и ночь.

5.Я выпиваю три чашки кофе в день.

6.Он терпеливо заво¸вывал любовь девочки каждый день. 7.Это обычное дело.

8.В один прекрасный день 16-летний подросток становится взрослым человеком.

9.Твой отец работает в дневную смену? 10.Он жил одним дн¸м, не думая о будущем.

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9.Expliquez le sens du verbe froisser dans les phrases suivantes:

1.Il froissa la dépêch et la mit dans sa poche. 2.Sans se foisser, il écoutait son chapeau sur la tête.

3.Il regardait cette herbe pour y trouver la trace du corps qui l’avait froissée.

4.C’est un tissu qui ne se froisse pas.

5.Tu ne comprends pas que je me sens froissé par ton attitude.

10.Traduisez:

1.Если я попаду под ливень, то приду сюда, чтобы обсохнуть. 2.Он прибегнул к хитрости отчаявшегося человека.

3.Во власти чувств он упал перед ней на колени.

4.Чтобы прояснить ситуацию, необходимо было найти беглянку. 5.Никто их не узнал, потому что они были переодеты. 6.Подхл¸стываемый своей ревностью, он бросился вслед за

машиной.

7.Напрасно искал он ответ в тайниках своего сердца. 8.Она упорствовала в сво¸м решении.

9.Почему ты так дорожишь этой книгой? 10.Все детали были учтены.

On devinait que depuis longtemps ils restaient penchés ainsi sous l’œil négligente d’une indifférante.

Duroy s’assit et attendit. Il attendit longtemps. Puis une porte s’ouvrit, et M de Marelle entra en courant, vêtue d’un peignoir japonais en soie rose où étaient brodés des paysages d’or, des fleurs bleues et des oiseaux blancs, et elle s’écria:

— Figurez-vous que j’étais encore couchée. Que c’est gentil à vous de venir me voir! J’étais persuadée que vous m’aviez oubliée.

Elle tendit ses deux mains d’un geste ravi, et Duroy, que l’aspect médiocre de l’appartement mettait à son aise, les ayant prises, en baisa une, comme il avait vu faire à Norbert de Varenne.

Elle le pria de s’asseoir; puis, le regardant des pieds à la tête: —Comme vous êtes changé! Vous avez gagné de l’air. Paris vous fait du bien. Allons, racontez-moi les nouvelles.

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Et ils se mirent à bavarder tout de suite, comme s’ils eussent été d’anciennes connaissances, sentant naître entre eux une familiarité instantanée, sentant s’établir un de ces courants de confiance, d’intimité et d’affection qui font amis, en cinq minutes, deux êtres de même caractère et de même race.

Tout à coup, la jeune femme s’interrompit, et s’étonnant. — C’est drôle comme je suis avec vous. Il me semble que je vous connais depuis dix ans. Nous deviendrons, sans doute, bons camarades. Voulez-vous?

Il répondit: —Mais, certainement, —avec un sourire qui en disait plus. II la trouvait tout à fait tentante, dans son peignoir éclatant et doux, moins fine que l’autre dans son peignoir blanc, moins chatte, moins délicate,

mais plus excitante, plus poivrée.

Quand il sentait près de lui M Forestier, avec son sourire immobile et gracieux qui attirait et arrêtait en même temps, qui semblait dire: «Vous me plaisez» et aussi: «Prenez garde», dont on ne comprenait jamais le sens véritable, il éprouvait surtout le désir de se coucher à ses pieds, ou de baiser la fine dentelle de son corsage et d’aspirer lentement l’air chaud et parfumé qui devait sortir de là, glissant entre les seins. Auprès de M de Marelle, il sentait en lui un désir plus brutal, plus précis, un désir qui frémissait dans ses mains devant les contours soulevés de la soie légère.

Elle parlait toujours, semant en chaque phrase cet esprit facile dont elle avait pris l’habitude, comme un ouvrier saisit le tour de main qu’il faut pour accomplir une besogne réputée difficile et dont s’étonnent les autres. Il l’écoutait, pensant «C»est bon à retenir tout ça. On écrirait des chroniques parisiennes charmantes en la faisant bavarder sur les événements du jour.»

Mais on frappa doucement, tout doucement à la porte par laquelle elle était venue; et elle cria: «Tu peux entrer, mignonne.» La petite fille parut, alla droit à Duroy et lui tendit ta main.

La mère étonnée murmura: «Mais c»est une conquête. Je ne la reconnais plus.» Le jeune homme, ayant embrassé l’enfant, la fit asseoir à côté de lui, et lui posa, avec un air sérieux, des questions gentilles sur ce qu’elle avait fait depuis qu’ils ne s’étaient vus. Elle répondait de sa petite voix de flûte, avec son air grave de grande personne.

La pendule sonna trois heures. Le journaliste se leva.

— Venez souvent, demanda M de Marelle, nous bavarderons comme aujourd’hui, vous me ferez toujours plaisir. Mais pourquoi ne vous voit-on plus chez les Forestier?

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