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Dfinition de la grammaire.doc
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Définition de la grammaire. La grammaire, c'est l'ensemble des règles d'apres lesquelles les mots changent pour se lier en formant la proposition.Sans grammaire la langue ne peut pas remplir sa fonction générale c'est à dire être moyen de la communication parce que la langue c'est le lexique plus(+) la grammaire. Un mot employé dans une phrase a toujours deux valeure qu'il faut bien distinguer. Une valeur sémantique ou lexicale et une valeur grammatical.

Gram. pratique et gram. théorique. Il faut dissérner le cours de grammaire théorique et subi de grammaire pratique. Le «grammaire» provient du motgrec «gramma» c'est à dire «lettre». Dans le cours de grammaire pratique on apprend les régles et les normes gram-les, la grammaire pratique est statique. Elle fixe l'etat actuel de français tendis que la grammaire théorique caractérise non seulement le français moderne, mais prend aussi un considération le dévéloppment de la langue et s'occupe de tendences nouvelle. Elle a profondit nos connaissances du poin de vue de la linguistique générale p.ex. il existe une expression en français remuer ciel et terre» (перевернуть все вверх дном). La norme moderne exige l'emploit de l'article defini ou l'indefini avec les substantifs. Quand même l'article mangue ici ce fénomène s'explique historiquement. Cette expression est formé à l'époque ou l'emploi de l'article n'était pas obligatoire. En ancien français l'article mabque souvent devant les noms designant les choses unique c'est fustemement le car des noms «ciel» et «terre». La gram. théorique ne se borne pas à étudier une suele langue parpois une comparaison avec une antre langue est nécessaire pour mettre en évidance les trais specifique en français. Ainsi quand on parle de l'emplois des formes analitique on recours souvent à une comparaison avec des langue sinthétique: le russe, le latin ce qui nous aide à préciser tel ou tel pliénom du français.

Langue analitique et langue synthétique. Si on examine les mots «passer» passerelle passage repasser dépasser on constate que dans tout ces mots il y a un élément commun «passe» qui s'appelle racine ou radical du varie. Ce sont difers affix c'est à dire partie qu'on ajoute à la racine. Les affixes comprennent les suffixes et les préfixes les désinances ou términésons sont des particuls à l'aide dèsquelles on désigne différante cathégorie grammatical comme le nombre le genre les formes personelles des verbes etc. La racine et le théme ont une sinification sémantique des affixes – des sinification lexico-gramaticals. Si un élément gramaticals se reunit avec un élément lexicale c'est leur s'inthése. Dans ce cas l'élément grammatical apparait sous la forme d'un préfix, d'un suffixe ou d'une désigance alors on est en présence d'une langue sintetique comme le russe et des autre langue slaves. Mais l'union de l'élément l'exical et de l' élément gram. peut s'éffectuer à l'aide d'une simple juxtaposition de deux mots séparé (pour Hélène) c'est un procédé analitique et dans ce cas on est en présence d'une langue analitique comme le français et les autres langues romanes. Mais il n'y a pas de langues purement sintét ou analitique l'une ou l'autre tendance prédomine dans la structure gram. de tel ou telle langue. Si le français est une langue à tendance analitique le russe contrqire est une langue à tendqnce syntétique.

Nombre du substantif

La catégorie du nombre représente le singulier— pluriel. Le singulier indique un seul exemplaire. Le pluriel, par contre indique que l'individu dont on parle n'est pas seul dans la situation donnée.

En français, la catégorie du nombre s'exprime par les formes de l'article. Il y a bien aussi la flexion –s, -x. Il y a également les modifications dans les terminaisons et même dans les radicaux, mais seulement chez certains substantifs (cheval — chevaux, bœuf — bœufs, etc.). Tous ces moyens ne sont que des survivances de l'expression synthétique du nombre qui était propre au latin et à l'ancien français.

La catégorie du nombre se marie parfaitement avec les substantifs nombrables marquant les individus qui se laissent compter (une pomme — des pommes). Mais si l'on a affaire aux noms col­lectifs, la chose se complique déjà. Quand un nom collectif désigne un ensemble d'individus il se comporte comme n'importe quel substantif nombrable: un peu­ple — des peuples. Mais lorsque le nom collectif marque un ensem­ble qui comprend tous les individus possibles de l'espèce ces noms n'ont pas de pluriel (humanité, clergé, bourgeoisie, etc.).

Le singulier d'un nom individuel peut etre utilisé, pour marquer une collection: La pomme est belle cette année. Les pommes sont oeues cette. Dans ce cas, le nom individuel est accompagné de l'article défini à valeur générique.

Les substantifs non-nombrables sont les noms désignant la substance homogène, une masse amor­phe de quelque matière (lait, sucre, eau, etc.). Ce sont les noms abstraits (rage, blancheur, fatigue). Ce sont enfin les noms de phéno­mènes physiques et chimiques (feu, lumière, vent, etc.). Les substantifs de ce type ne figurent qu'au singulier.

Les substantifs marquant des qualités expriment alors les manifestations concrètes de celles-ci: les bontés [de bonnes actions, de bons procédés!, les tendresses, les attentions, les amours, etc.

Les substantifs désignant une substance homogène, employés au pluriel, acquièrent un nouvel élément sémantique: on voit la substance dans les conditions réelles de son existence dans la na­ture: les eaux, les sables, etc.

Les substantifs marquant une action, le résultat d'une action, employés au pluriel, leurs répétitions simulta­nées, successives, effectuées en lieux différents .

L'article indéfini

La signification de l'article indéfini consiste en ce qu'il repré­sente l'objet comme appartenant à un groupe d'objets qui ont des qualités identiques et la même nomination. L'article indéfini peut avoir un sens très concret et quasi numérique.

Ex. Elle agrippa une baleine du parapluie. (R e n a r d)

Si le choix est parmi deux objets pareils, on prend l'article défini pour en désigner un.

Ex. . . . il se penche sur sa chaise et remue la cuisse. (Re­nard)

Elle lui tapota la joue. (C lancier)

Mais lorsque le choix se fait parmi des objets pairs qui ne sont pas membres du corps humain, l'indéfini réapparaît.

Ex. En descendant de la voiture elle s'était déchiré un bas. (Saga n)

S'il faut souligner l'idée de choix, l'indéfini réapparaît.

Ex. Lui, tenant chapeau d'une main, canne de Vautre, atten­dait.

( F a r r è r e)

Ex. En effet, comme on n'avait pas voulu la retirer, la balle s'était décidée à sortir toute seule. Il la prit d'abord pour le noyau de quelque fruit. C'était bien une balle, un petit morceau de plomb, informe, bosselé. (J. Renard)

Dans l'exemple cité il s'agit toujours de la même balle, unique dans les circonstances données, mais vue sous deux aspects dif­férents.

La seconde fonction de l'indéfini est donc qualificative. Les liens naturels qui rattachent l'objet à la situation concrète se trou­vent alors négligés (quoique dans la réalité ils existent). L'emploi de l'article indéfini est de rigueur si le destinataire Ignore les liens qui rattachent l'objet à la situation. Le sujet parlant ne fait qu'introduire dans la situation l'objet en question en marquant son appartenance à la classe d'objets de la même nature.

L'article indéfini, marque un objet dont l'ap­parition est inattendue, inhabituelle, subite, faisant opposition au défini, qui, au contraire, marque quelque chose de stable, d'habituel, de prévu, d'étroitement lié à la situation donnée.

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