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4.2 Les approches au problème du biologique et du social en psychologie.

Pour la première fois la philisophie s’est posée la question de la détermination du développement de l’individu. Traditionnellement on distingue les facteurs biologiques et sociaux du développement de l’homme en tant qu’une espèce (l’anthropogénèse) et en tant qu’un individu (l’ontogénèse).

C’est vrai que de tels processus que la respiration, la nutrition, la reproduction mettent l’homme dans le même rang avec d’autres représantants du monde animal et sont biologiques (naturels, innés). D’autre part, le discours, l’industrie, les relations sociales, la conscience abstraite diffèrent les gens principalement d’autres êtres vivants.

Les somatotypes et les types du tempérament d’après E. Kretschmer.

La psychologie s’intéresse aussi au problème philosophique formulé comme l’alternance de:

  • corporel – psychique;

  • inné – acquis;

  • génotypique – environnemental.

L’approche typologique a apparu dans les travaux des auteurs anthiques (Hippocrate,Galien) s’est développée en physiognomonie qui est une étude du lien entre l’apparence de l’individu et son caractère. La physiognomonie antique a élaboré les théories de la dépendance des caractéristiques corporelles et psychiques de l’individu et du peuple concret des conditions climatiques. Cette approche donne aussi la naissance à la théorie des tempéraments.

Au XX-ème siècle le psychiatre allemand Ernst Kretschmer (1888-1964) a fait attention au fait qu’il existe un lien entre deux groupes de maladies mentales (la psychose maniaco-dépressive (la folie circulaire) et la schizophrénie) et deux somatotypes.

Les gens souffrant de la folie circulaire ont un habitus pycnique: les formes arrondies, les extrémités pas longues, non musclés, assez gras, la silhouette ressemble à un tonneau. Les schizophrènes ont le plus souvent l’habus asthénique: la poitrine et les épaules étroites, le corps cylindrique, les extrémités assez longues, le squelette fin.

Après E. K. a décrit un somatotype intermédiaire – un habus athlétique: les épaules larges, la bassin (le pelvis) étroit, bien musclé, sans le poids superflu. Ces gens peuvent souffrir de toutes les deux maladies.

Ayant décrit sa typologie E.K. a précisé que l’appartenance à un tel ou tel somatotype ne signifie pas la prépsychose à ces maladies mentales. Pour les gens sains ces particularités déterminent la prédisposition aux états émotionnels différents.

E.K. distingue deux types de tempérament: schisothymique (propre aux asthéniques) et cyclothymique (propre aux pycniques). Il décrit aussi le type intermédiaire du tempérament (propre aux athlètes). Insistant sur le caractère hériditaire des propriétés décrites, E.K. a décrit des caractéristiques typiques des types du tempérament.

Le type schizothymique a les caractéristiques suivantes:

  • insociable, calme, réservé, privé d’humour, falot;

  • timide, peureux, sensible, sentimental, nerveux;

  • obéissant, bonasse, honnête, indifférent, sot.

Le type cyclothymique a les caractéristiques suivantes:

  • sociable, bon, tendre, cordial;

  • gai, vif, ayant le sens d’humour;

  • calme, tranquille, doux, émotif.

Les types de l’interaction du génotype et du milieu.

Las plupart des études psychogénétiques permettent de tirer la conclusion que l’interaction du génotype et du milieu joue un grand rôle dans le développement psychique. L’étude des résulatats de l’interaction des génotypes différents avec des conditions du milieu différents permet d’établir la réaction typique aux changements des conditions du milieu propre a un génotype concret. Cette réaction détermine les limites de la caractéristique phénotypique.

On distingue trois types des l’interaction du génotype avec le milieu:

  • passive qui se caractérise par l’abscence des actions finalitaires de la part de l’individu; 

  • réactive, c’est la cas où le milieu s’adopte au génotype;

  • active qui se manifeste en actions finalitaires de l’individu, liées à la recherche et la création du milieu correspondant à la réalisation du génotype en phénotype.