- •2. La typologie des grammaires françaises
- •3.Les niveaux et aspects de la langue. 4. Les unité linguistiuques, leur caractéristique.
- •11. Les rapports paradigmatiques et syntagmatiques
- •10. Le signe linguistique, l’asymétrie du signe linguistique. Les types d’asymétrie
- •6. Les langues analytiques et synthétiques, leur caractéristique.
- •7. La caractéristique du système grammatical du français en tent que langue analytique
- •8. La conception de l’analytisme de Charles Bally
- •7. La caractérestique du système grammatical du français en tent que langue analytique. Le systeme analytique du français
- •8. La conseption de l’analytisme de Charles Bally
- •12. Le problème des limites du ot en français en tant que langue analytique
- •13. La forme syntaxique et la forme morphologique du mot
- •14. Les valeurs lexicales et grammaticales, leur différence et leur intéraction
- •15. La catégorie grammaticale, sa définition, les espèces des catégories grammaticales
- •18. Prosseder gramaticaux. (le moyenne d’expressiones grammaticale)
- •16. 17. Les problèmes de la classification des parties du discours.
- •20.Les fonctiones primeres et scondaires des parties de discours.
- •19.La transposition syntaxique.
- •24. La catégorie du nombre
- •25. La catégorie du genre
- •Les fonctiones des substantifs.
- •24. La categorie du nombre.
- •27. La substantiation ou la transposition substantitionele.
- •31. L’adjectif en temps que partie du discourt
- •34. Les sous classes lexico-grammaticales des adjectif, leur caractéristique.
- •33. La place de l’adjectif.
- •35.L'adjectivation et la désadjectivation.
- •38. Le verbe en tant que partie du discours
- •43. La catégorie du voix du verbe
- •44. Le problème du mode en français contemporain
- •41. La transitivité et l’intransivité du verbe
- •42. La valence du verbe. La théorie de la valence de l. Tesnière
- •40. Le système temporel du verbe
- •39. Le problème de l’aspect du verbe
- •36. Les formes non-personelles du verbe.
- •Valuer conditionelle
- •Le participe
- •Gérondif
- •37. L’infinitif français, ses traits distinctifs, la comparaison avec l’infinitif russe.
- •La syntaxe.
- •61. L’emploi des mots outils en tant que moyens d’exprimer les liens dans les groupes de motq et des propositions.
- •Conjoncxion.
- •49. L’ordre des mots.
- •57. La classification des proposition dans l’aspet de leur structure
57. La classification des proposition dans l’aspet de leur structure
Le fait de la présence ou de l’absance du verbe. On dégage les phrases verbale et les phrases nominales ou non-verbale. C-a-dire dépourvu des verbes personnel. Au sein des phrases verbale il y a deux grandes groupes fondemanteux :
Celui des phrases ou le prédicat simple, exprimer par les verbe même. Par ex. L’enfent lit. Il lit un livre
Phrases où le prédicat est composé, c-à-d construit à l’aide d’une copule grammaticale. Le plus souvent c’est l’auxilier être où s’est substitue. Par ex. Il est proffeseur. Il devienne célèbre. Elle semble bonne.
Brumaux, Gougneme, Le Bidoit partage toutes les proposition égalemtn en phrases verbale et nominale et les freses Georges et Robert Le Bidoit appel les phrases verbales – phrases d’action et des phrases nominales phrases d'état. Outre les proposition verbale et nominale il y a un type intermidiene comme on lmes appel phrases a prédicat double ou phrases verbeux-nominal. Par ex. Il arrivera radio. Elle resté un desise. La pluie tombe abondante. Elle sont construit à l’aide d’une copule lexicalisé qui elle se mit circonstance semi-atribut. Le degrés deslixocalisation du verbes cupules peut être differantes. Ils moindre dans la preimiere phrase qui exprime deux choses qu’il est arrivé et qu’il est à dieu. Il est moindre dans le seconde phrase om le verbe resté est olus deplie dans son sens lexicale. Et dans la phrase la naigetombe, le verbe exprime action comme dans une proposition verbale mais le but de lenoncé est d’atirer l’intantion non pas sur l’action mais sur l’etat du sujet. Le verbe jou deux rôle : exprime l’action et lie l’atribut au sujet. Le caractère semi-deterninative ressort d(une manier très nette.
Autre ces types on peut ranger dans cette catégorie et le phrases dites impersonnelles. Par ex. Il plue, il neige, il est arrive un malkheure, il court des bruit étrange. Celel les exemple sont des phrases vraiment privé de sujet réel. Les autres on un sujet réel, le temps, et facile à révéler car il est la présent dans la phrase salement mis en forme de l’objet directe. L’analyse historique nous autorise d’anvisager comme sujet.
Phrases nominales. Depourvus des verbes predicat l’ordre des mots, l’intonation. Elle ofer des structure tères differentes. Poiur la plupart elle sont du domain de la syntaxe affective, ce pourquoi elle sont tres souvent exclamatives ou imperatives. Et le premiere grouppe englobe toutes phrases ou le sujet et le predicat sont formelement unit dans un seul terme, exprimer par un mot ou un grouppe des mot ui ne se laisse pas divoser ; descomposer par l’analyse. Voile pourquoi on appelle ce types des phrases indivise. On distingue : simple exclamation (dilicieux, quelle horore, le peuvre, quelle surprise), reponse indicationes (merci, madame, pas de quoi, à votre servise), phrases existancielle (назывные) elle peuvent être constatante, qualificatives (nuit. Silence. Ciel étoile.), informative, prescrivîtes (rassemblement à Orli, décollage vole sans). Les phrases exclamatives du premier types sont propre à la langue parlé, au dialogue. Et on caractère elyptyle. Les phrases du deuxième type sont propre à la langue écrite (au description, au reportage, esse journalistique, au prospectasse, annonce).
Le deuxième groupe des phrases comprends ou on peut distingue deux termes analogue au sujet et au prédicat (divilses). Il y a pleusieres structures different. En vooici le trois principale ?. Celle ou la prédication est exprimé pas l’ordre des mots. L’atribut étant inverti et la coule est l’idé. Par ex. Joli, la fillete. Et tou, ce village. Fans une autre varieté de ce type, la copule postulé est remplacé par que. Par ex. Qu’esl brave homme que ce Join. Parfois l’atribut postposé. La femme quelle problème ! L’atribution peut être aussi répartir, répète. Pre et postposé. Par ex. Très fort ces Gallard, très fort.
Deuxième variété de ce type et représenté par les phrases Moi, médecin. Vous, ici. Lui, traire. Ces phrases d'après contienne deux termes et leur spécifique négatif d'âpres leu sesn bien que la négation ni soit pas formelemtn marqu ? La troisième variété est représenté par les phrases, formé d’un atribut qui peut être infinitif, participe, parcipe passé et plus des adverbes voici voilà, adverbes prédicatif. Pa ex. Voici venir de printemps. Nous voilà arrivé. Le caractère bitermale est du à la présent de ses deus parties, sémantiquement correspodens au sujet et au prédicat. Autre ces deux rypes il y a quelleque phrases nominale, sesitue quelle type sintermedier :
Dénommer phases nominales voilé. Par ex. Il eu un cri. Il eu un ricomment. Le verbe avoir est complètement delexicalisé, et grammaticalement ces phrases sont équivalante a des phrases verbales. Par ex. Il cria, il reconna.
Les phrases relatives prédicatives. Et ce médecin qui n'arrive pas. La ci qui ne coupe plus. Une porte qui s'ouvre, un trop de sourit dans la couloir, Les phrases de ce type composé d’un sujet, suivit d’une détermination, développé à une sorte ; propre à la langue parlé elle sont aussi typique du journalisme, reportages, contrendu.
Les phrases spécifique et assez rare formé par l’infinitif historique érité du latin. Par ex. Elle est grenouille de ce prendre. Elle est voleur de courir. L’infinitif est équivalant d’un indicatif au passé simple ou à l’imparfait. Cet dernier temps on les voit rependre dans la langue de belle letres, de la presse. Par ex. Et chacun de redouter le pire.
En serie gratuit des chelon transitoire entre les phrases purement verbale et purement nominale. Il cria. Il au un crie. lui qui cria. lui de crié. soudin un cri. Un cri. La premier phrases est purement verbale, les deux dernier sont purement nominale, et des autres de types indermedier.
La proposition peut être simple et développé. Si il a d’autre detrme sujet prédicat et des temes secondaires. Les complétant directement ou indirectement. En eutre les phrases peut être incompletes et Les Bidoit le terme ellyptyquen c-a-d à tere reduit et propre surtout aux langage parlé ; au dialmogui, d'après leur composition, mais achevé d'après leur sens. Par ex. Qui frappe. Moi.
Des proposition imcoplete elliptique il faut distinguer des proposition inachevé ou interrompu, ces proposition expriment qoit une difficulté déterminer la phrase, sa pensé, soit une émotion. Par ex. Avec ce bagage mon ami.... Il existe encore des proposition dites intercalé ou les nomes incidante. Un seré dans une autre phrase, sens entrer dans sa structure elle est remplise en même fonction comme les mot modaux. Il peuvent signaler les degré de probabilité de l'énoncé, ses motifs, ses sourses, ses liens avec les contextes donné. Dans l'écriture elle sont marquer par les signes de ponctualition telle que virgule. Par ex. Mais, dira ton que farra vous des enfant. Quelle miracle – pas d’autres mots – que l’apparetion de ses enfant.
Il y a des phrases complexe contenant deux ou pleusiere proposition. Et si proposition sont donné a titre égale c’est la phrase de coordination. Si l’une est principale et l’autre c’est la phrase de subordination.