- •Suite page 7.
- •Si tu veux entrer toi aussi dans la cabine, passe à la page 12.
- •Si tu veux le savoir, lis la page 11.
- •Suite page 15.
- •Pour suivre le taxi, lis la page 14.
- •Suite page 17.
- •Suite page 18.
- •Suite page 23.
- •Pour aller à l'aéroport avec Al Carbone, lis la page 20.
- •Il passe sa main sous la mallette et l'ouvre.
- •Suite page 22.
- •8, Rue du Général-de-Gaulle, à Boulogne.
- •Prends le taxi avec Paul et lis page 24.
- •Al Carbone va se faire prendre. Mais où est donc le professeur ? Suite page 23.
8, Rue du Général-de-Gaulle, à Boulogne.
D'accord, monsieur, je vous attends...
Prends le taxi avec Paul et lis page 24.
Cinq heures plus tard, le vol 750 arrive à Macao.
— Que dois-je faire, demande le professeur Micron.
— Vous allez sortir avec nous. Vous serez devant, avec votre mallette noire à la main. La police et le président vous attendent.
— El le microfilm, qu'allez-vous en faire ?
— Le donner à nos savants.
— Et après ?
— Après ? Je n'en sais rien.
— Et les passagers ? demande le professeur.
— Si vous ne faites rien, nous les laissons tranquilles.
— L'avion atterrit dans combien de temps ?
— Dans cinq minutes, répond le pilote.
— Je vais me préparer, dit le professeur.
— Vous préparer ?
— Oui, aux toilettes. Je dois me changer pour me présenter devant le président.
— D'accord, allez-y.
Le professeur entre dans les toilettes, se change, se peigne, se lave les mains. Puis il ouvre la bouche ; il regarde ses dents devant la glace et il se met à rire.
Que va-t-il se passer pour le professeur à la descente de l'avion ? page 27.
Une heure plus tard, les hommes d'Aп Carbone appellent leur chef.
— Allô, chef, c'est nous ! Nous les avons trouvés.
— Formidable ! crie Al Carbone. Et le microfilm ? demande-t-il.
— On l'a trouvé aussi, chef.
— Super ! Où êtes-vous ?
— Oh, pas très loin...
— Où exactement ?
— A trois kilomètres de la maison du professeur.
— Alors, venez tout de suite. Je vous attends.
— C'est que... on ne peut pas, chef.
— Hein ? Vous ne pouvez pas ? Pourquoi ?
— On n'est pas seuls, chef.
— Vous ne les avez pas tués ? demande Al Carbone.
— Si, si. On les a tous tués...
— Eh bien alors ?...
— Mais la police nous a arrêtés.
— Comment ?
— Ils nous ont arrêtés à un feu rouge. Jojo roulait trop vite. Et lorsque Jojo a montré ses papiers, il a dit que la voiture était à vous, chef. Maintenant, l'inspecteur voudrait vous voir...
— Espèces d'idiots ! Espèces d'idiots ! crie Al Carbone.
FIN
P aul attend le taxi pour aller à l'aéroport. Mais avant, il veut téléphoner à la police.
— Allô, la police ? ... Je suis le fils du professeur Micron.
— Oui, que puis-je faire pour vous ? demande le policier.
— Mon père est à Roissy. Il est avec des affreux bandits...
— Ah bon ? ... Est-ce que c'est une plaisanterie ?
— Non, non monsieur ; je vous jure ! Ils veulent voler le secret de mon père.
— Un secret ?
— Oui, un secret. Mon père a fait une grande découverte et les malfaiteurs* essayent de la prendre pour eux.
— Bon. Je veux bien vous croire, dit le policier. Et où se trouve votre père?
— Il est à Roissy.
— Comment est-il habillé ?
— Il porte un pull-over à col roulé, une veste de sport et un pantalon en toile. Il a des lunettes et le front dégarni.
— D'accord, nous allons le retrouver votre père, répond le policier.
— Merci, monsieur.
Que va-t-il se passer à l'aéroport ? Suite page 25.
Paul arrive en taxi à l'aéroport. Il entre dans le hall et regarde de tous les côtés. Il voit des policiers avec des armes. Ils arrêtent des personnes ; ils demandent leur passeport.
Tout à coup, Paul aperçoit Al Carbone. Il est avec un autre homme. Ils cherchent le professeur Micron.
— Je vais le dire à un policier, pense Paul.
— Monsieur, monsieur. Arrêtez cet homme ! dit Paul au policier. C'est Al Carbone.
— Al Carbone, le grand bandit* ! Mais, c'est impossible ! répond le policier.
— Si, si, je vous le dis. Je l'ai vu. C'est lui ! dit Paul. Regardez-le !
Le policier regarde le visage d'Aп Carbone.
— Al Carbone n'a pas de moustache, dit-il.
— Ce n'est pas une vraie moustache.
— Il ne porte pas de lunettes.
— Si, mais il ne les met pas souvent.
— D'habitude, il a une barbe.
— Il s'est rasé. Mais, si vous regardez dans sa poche, vous trouverez son pistolet*.
— D'accord, j'y vais, dit le policier.