
- •Formation du feminin des noms
- •Article partitif
- •L'emploi ou l'absence de l'article
- •Adjectifs démonstratifs
- •Adjectifs possessifs
- •Adjectifs qualificatifs singulier des adjectifs
- •Pluriel des adjectifs qualificatifs
- •Degrés de comparaison
- •Adjectif numéral
- •Le pronom pronoms personnels
- •Vous pouvez utilisez les idées suivantes:
- •Pronom personnel réfléchi soi
- •Pronoms interrogatifs
- •Pronoms adverbiaux en, y. Pronom le neutre
- •Pronoms relatifs (simples et composés)
- •Pronoms demonstratifs
- •Pronoms possessifs
- •Pronoms et adjectifs indéfinis
- •Tout et mēme
- •Le verbe présent de l'indicatif et l'impératif
- •Verbe être
- •Verbe avoir
- •Verbes avoir et être
- •Verbes du ier groupe
- •Verbes du II-ème groupe
- •Verbes du III-ème groupe
- •Verbes pronominaux
- •Verbes et locutions impersonnels
- •Verbes de tous les groupes
- •Verbes ayant la forme régulière au futur simple
- •Verbes avoir et être:
- •Verbes du III-ème groupe
- •Verbes irréguliers
- •Le petit prince et le renard
- •Imparfait
- •Les nouveaux amis
- •Une nuit a la belle étoile
- •Les champignons d'alexandre dumas
- •Une récompense impossible
- •Passé composé des verbes qui se conjuguent avec l'auxiliaire avoir
- •Plus-que-parfait (relation avec l'imparfait)
- •Imparfait, passé composé ou plus-que-parfait?
- •1. Rire
- •2. Applaudir
- •3. Sortir
- •4. Oublier
- •5. Ouvrir
- •6. Se coucher
- •8. Se dire (Un interrogatoire)
- •La visite au toit paternel
- •Passé anterieur
- •Futur antérieur
- •Futur et passé immediats Futur immédiat
- •Futur immédiat dans le passé
- •Passé immédiat
- •Passé immédiat dans le passé
- •Futur immédiat et passé immédiat dès deux formes
- •Concordance des temps de l'indicatif
- •La réunion de montreuil
- •II. L'histoire universelle
- •III. Le déménagement
- •Changements de pronoms et d'adjectifs Le message est rapporté par différentes personnes
- •Concordance des temps
- •Vous pourrez utiliser les verbes:
- •Vous mettrez le verbe introducteur à un temps du passé:
- •Le conditionnel et les phrases conditionnelles
- •Souhaits
- •Emploi du conditionnel dans la proposition indépendante
- •Emploi des modes et des temps dans les phrases conditionnelles ayant une subordonnée introduite par si
- •Conditionnel dans les propositions hypothétiques – concessives
- •Conditionnel dans les propositions juxtaposées
- •L'ecole buissonnière
- •Subjonctif dans les propositions indépendantes
- •Indicatif ou subjonctif?
- •Propositions complétives
- •Récapitulation
- •Propositions relatives
- •Propositions circonstancielles
- •Subjonctif dans les propositions juxtaposées
- •Recapitulation
- •L'infinitif Propositions infinitives
- •Infinitif correspondant aux propositions circonstancielles
- •Infinitif précédé des prépositions avant de, après
- •Emploi de l'infinitif comme complément de différents verbes
- •Recapitulation
- •Le participe
- •Participe présent et adjectif verbal
- •Gérondif
- •Recapitulation
- •Proposition participe Participe présent
- •Participe passé
- •Gérondif
- •Recapitulation (tous les types des propositions participes et gérondif)
- •Adverbes de négation
- •Emploi des adverbes
- •Degrés de comparaison des adverbes
- •Recapitulation
- •La préposition prépositions de, à, dans, en, par, avec
- •Prépositions devant, après, avant, près de
- •Prépositions sans, sous, vers
- •Recapitulation
- •L'éléphant et le canari
Une récompense impossible
D'après la tradition, les échecs sont imaginés par le brahmane Sissa, ministre du roi Cheik-Rama. Lorsque le brahmane expose sa découverte au roi, il lui donne à choisir la récompense qui lui paraît la plus convenable. Sissa demande de lui donner un grain de blé pour la première case de l'échiquier, deux grains pour la seconde, quatre pour la troisième, et ainsi de suite en doublant le nombre des grains de blé à chacune des soixante-quatre cases de l'échiquier. Le roi ne peut s'empêcher de rire de cette demande, mais lorsque le calcul est fait, il se trouve que tous les greniers du monde entier ne suffisent à fournir la quantité de blé que demande le brahmane.
D'après L'écolier illustré
Ex. 255. Traduisez en employant le passé simple ou l'imparfait:
а) 1. Викладач повернув нам роботи і пояснив помилки. Він додав, що задоволений нашими творами. 2. Я відкрив вікно, побачив, що все ще йде дощ і відмовився від прогулянки. 3. Рівно о сьомій годині наш друг встав, поклав зошит у кишеню, попрощався з нами, і спокійна посмішка висвітлювала, як завжди, його миле обличчя. 4. Ми не встигли закінчити нашої бесіди, як поїзд рушив. 5. Я спав спокійним сном, коли мене розбудив гарматний постріл. 6. Щоранку друзі відправлялися на рибалку і поверталися тільки пізно ввечері. 7. Вони були щасливі протягом усього життя. 8. Ми проговорили всю ніч і лягли спати, коли перші промені сонця уже освітлювали кімнату, в якій ми перебували. 9. Людина показалася на пустельній дорозі. Він подивився навколо, прислухався. Усе було тихо, навіть собаки не гавкали. Раптом він почув шум кроків і швидко сховався за напівзруйновану халупу, що знаходилася біля дороги. 10. Усе літо була погана погода. Щодня йшов дощ, і діти не могли купатися.
б) Було ще темно, коли я вийшов із будинку. Я сів в автобус, що йшов до вокзалу. Я вийшов з автобуса, ввійшов у вокзал, попрямував до каси і купив квиток на поїзд, що відходив о восьмій годині ранку. У вагоні я дивився у вікно і милувався полями і лісами, вкритими снігом. Я вийшов із поїзда і пішов дорогою, що вела у ліс. У лісі було тихо. Сніг блищав під променями сонця. Я катався на лижах до п'ятої години вечора і повернувся додому дуже задоволений своєю прогулянкою. Торік я робив подібні прогулянки майже щонеділі.
Ex. 256. Mettez les verbes entre parenthèses au passé simple ou à l'imparfait et traduisez les phrases:
1. Pendant que les gendarmes (s'occuper) à panser la blessure du bandit, Mateo Falcone et sa femme (paraître) tout d'un coup au détour du sentier qui (conduire) au maquis. 2. Jean Valjean poussa la porte et (écouter). Rien ne (remuer) dans la maison. Soudain il (tressaillir), il (entendre) un bruit sourd, un murmure. Quelques minutes (s'écouler). Il (se croire) perdu. Il (demeurer) où il (être) n'osant faire un mouvement. Enfin il (prendre) son parti. Il (faire) un pas et (entrer) dans la chambre. 3. La lune (se lever) derrière la redoute. Elle (être) large et rouge comme elle est d'ordinaire à son lever. Mais ce soir-là elle me (paraître) d'une grandeur extraordinaire. 4. Le petit Sylvestre ne (vouloir) pas s'endormir. Alors sa mère me (appeler) et je (s'asseoir) près de son berceau. Il (prendre) un de mes doigts dans sa petite main chaude et il me (dire) de lui conter une histoire. Je lui (faire) des contes de toute sorte qu'il (écouter) gravement. Tout le (intéresser). Et quand je (finir), il me (dire): «Encore! Encore!» 5. Le jour (s'éteindre). Christophe (sortir) du Louvre d'un pas mal assuré. La tête lui (faire) mal. Il ne (voir) plus rien. Dans la rue, sous la pluie, il (remarquer) à peine les flaques entre les pavés et l'eau qui (ruisseler) de ses souliers. Brusquement un étourdissement le (prendre), il (se sentir) tomber comme une masse, la tête en avant... Ce ne (être) qu'un éclair: il (serrer) les poings et (reprendre) son aplomb. 6. Une troupe de bohémiens (venir) planter ses tentes sur la rive du fleuve. Tout (être) en mouvement au milieu du désert. On (devoir) partir à l'aube et chacun (faire) ses préparatifs. Mais bientôt sur la bande vagabonde (s'étendre)le silence du sommeil. On ne (entendre) que le hurlement des chiens et le hennissement des chevaux. 7. A cinq heures précises, le président de Bonfons et son oncle le notaire (arriver) endimanchés jusqu'aux dents. Les convives (se mettre) à table et (commencer) par manger notablement. Grandet (être) grave, Charles silencieux, Eugénie muette, madame Grandet ne (parler) plus que de coutume, en sorte que ce dîner (être) un véritable repas de condoléance. 8. Quant à Maigret les mains dans ses poches, il (rester) à distance comme les badauds. Il (attendre). Il (attendre) presque une demi-heure, sans rien savoir de ce qui se passait à l'intérieur. 9. Lorsque Noël Schoudier (revenir) d'Amérique aux premiers jours d'avril, il (être) rajeuni, transformé.
Ex. 257. Mettez les verbes entre parenthèses au passé simple ou à l'imparfait. Traduisez les textes:
LA CHASSE AU LION
Je (être) à Johannesburg et (désirer) vivement faire partie d'un club de chasseurs. Mais les règlements (exiger) que tout candidat eût tué au moins un lion. Je (partir) donc un soir avec un nègre chargé de plusieurs fusils et, le soir, nous (se mettre) à l'affût près d'une source dans laquelle un lion (avoir) coutume devenir boire. Une demi-heure avant minuit, je (entendre) un bruit de branches cassées et au-dessus d'un buisson (apparaître) la tête du lion. Il nous avait senti et (regarder) de notre côté. Je le (mettre) en joue et (tirer); la tête (disparaître) derrière le buisson, mais au bout d'une minute (remonter). Un second coup: même résultat. La bête, effrayée, (cacher) sa tête, puis la (dresser) à nouveau. Je (rester) très calme: je (avoir) seize coups à tirer dans mes différents fusils. Troisième coup: même jeu. Quatrième coup: même jeu. Je (s'énerver), je (tirer) plus mal, de sorte que, après le quinzième coup, l'animal (redresser) encore la tête.
– Si toi manquer celui-là, me (dire) le nègre, nous... mangés.
Je (prendre) une longue inspiration, je (viser) soigneusement, je (tirer). L'animal (tomber)... Une seconde... deux... dix... il ne (reparaître) pas. Je (attendre) encore un peu, puis, triomphant, je (se précipiter) suivi de mon nègre et derrière le buisson je (voir)... seize lions... et chacun d'eux avec une balle dans l'œil: C'est ainsi que je (débuter).
D'après A. M a u r o i s, Le silence du colonel Bramble
II. La pendule (se mettre) à sonner onze heures. Le baron (embrasser) sa fille, et (se retirer) chez lui. Alors, Jeanne avec regret (se coucher). D'un dernier regard elle (parcourir) sa chambre, et puis (éteindre) sa bougie. Mais le lit (avoir) une fenêtre sur sa gauche par où (entrer) un flot de lune qui (répandre) à terre une flaque de clarté. Des reflets (rejaillir) aux murs. Par l'autre fenêtre, en face de ses pieds, Jeanne (apercevoir) un grand arbre tout baigné de lumière douée. Elle (se tourner) sur le côté, (fermer) les yeux, puis, au bout de quelque temps, les (rouvrir). Elle (croire) se sentir encore secouée par les cahots de la voiture dont le roulement (continuer) dans sa tête. Elle (rester) d'abord immobile, mais l'impatience de son esprit(envahir) bientôt tout son corps. Alors elle (se lever), et nu-pieds, nu-bras, avec la longue chemise qui lui (donner) l'aspect d'un fantôme, elle (traverser) la mare de lumière répandue sur son plancher, (ouvrir) sa fenêtre et (regarder). La nuit (être) si claire qu'on y (voir) comme en plein jour; et la jeune fille (reconnaître) tout ce pays aimé jadis dans sa première enfance. Dans cet apaisement du soleil absent toutes les senteurs de la terre (se répandre). Un jasmin grimpé autour des fenêtres d'en bas (exhaler) son haleine pénétrante qui (se mêler) à l'odeur plus légère des feuilles naissantes. De lentes rafales (passer) apportant les saveurs fortes de l'air salin. La jeune fille (s'abandonner) d'abord au bonheur de respirer et le repos de la campagne la (calmer) comme un bain frais.
D'après G. de M a u p a s s a n t, Une vie
PASSÉ COMPOSÉ