- •Introduction
- •Chapitre 1
- •1.1 L’apparition du terme.
- •1.2 La caractéristique et différentes définitions du terme.
- •1.3 La classification et les voies d’apparition des faux équivalents.
- •Chapitre 2. L’analyse comparative et les types d’inadéquation entre les faux analogues du vocabulaire scolaire.
- •2.1. Les « équivalents » complètement et partiellement faux.
- •2.2. L’interférence des champs sémantiques des faux analogues.
- •Conclusion
Les faux analogues français-russes et les moyens d’éviter les pièges du vocabulaire à l’école secondaire.
Plan
Introduction
Chapitre 1. Les faux analogues comme phénomène linguistique.
L’apparition du terme.
La caractéristique et différentes définitions du terme .
La classification et les voies d’apparition des faux équivalents.
Chapitre 2. L’analyse comparative et les types d’inadéquation entre les faux analogues du vocabulaire scolaire.
2.1. Les « équivalents » complètement et partiellement faux.
2.2. L’interférence des champs sémantiques des faux analogues.
Conclusion
Bibliographie
Annexes
Introduction
Cette recherche est consacrée au phénomène linguistique qui devient de plus en plus répandu au XXI-e siècle. Au XXI siècle tout rêvet un caractère international: économie, science, culture. Les rapports sociaux, professionnels, toutes sortes d’échanges entre les peuples deviennent plus actifs, plus fréquents. C’est ce qu’on appelle la globalisation ou la mondialisation, phénomène dont on ne cesse pas de parler ces derniers temps. Du coup, les langues, en patriculier, les langues européennes s’enrichissent, le nombre de mots «internationaux» augmente. Ce sont principalement des mots d’origine latine et grecque dont la graphie et la signification sont identique ou similaire. Mais la consonance de ces mots peut être trompeuse. Les langues évoluent et la signification des mots empruntés change, ils acquièrent un autre sens, une autre connotation. Si ce fait n’est pas pris en considération, les erreurs sont inévitables.
Le mot apparu dans la langue emprunteuse perd ses liens sémantiques et acquiert de nouvelles signigications différant de celles de la langue d’origine. Citons quelques exemples.
Le mot «figure » (1) qui signifie dans la langue parlée « visage » est souvent confondu par les russophones avec le mot « фигура » , «силуэт» ce qui évidemment n’est pas la même chose.
Il existe des cas contraires où la mot emprunté ne change pas de sens tandis que dans la langue d’origine ce mot devient désuet.
Le mot « парад» en russe signifie « revue, défilé militaire » mais en français il n’est plus employé dans ce sens.
Les mots de cette catégorie se rencontrent assez souvent dans les manuels de français (6-10 classe) et causent beaucoup de difficultés dans l’apprentissage du français à l’école. La compréhension de ces mots par les apprenants n’est pas correcte ce qui s’explique par une certaine similitude graphique, phonétique, grammaticalt et sémantique. Donc le problème est toujours acuel et exige d’être étudié.
L’objet de notre travail est le phénomène de la fausse analogie en lexique du français et du russe.
Le sujet est un certain nombre de faux analogues dégagés dans les manuels de français de 6-10 classes.
De ce fait découle l’objectif de notre recherché :
Etudier la nature sémantique, graphique de faux analogues afin de trouver les moyens de faciliter l’apprentissage du français et d’éviter les erreurs dans la compréhension.
Pour atteindre cet objectif nous nous sommes posé les tâches suivantes:
Faire ressortir dans les manuels de français de 6-10 classes des mots qui sont similaires à ceux en russe par la graphie, la consonance et la sémantique.
Analyser ces mots du point de vue de leur « fausseté » : complètement faux ou partiellement faux
Etablir les changements sémantiques des unités lexicales en question et leur signification acquise en russe (élargissement ou rétrécissement du sens).
Elaborer une série d’exercices en tant que moyen d’aider les apprenants à différencier la signification correcte de ces mots et aussi bien que des recommandations utiles permettant de ne pas prendre l’un pour l’autre.
Lors de notre recherche il a été utilisé la méthode descriptive et comparative.
La recherche comprend Introduction, 2 chapitre, Annexes, Conclusion et Bibliographie.
