
МЕТОДА 2 КУРС 3 СЕМЕСТР / ИЗУЧЕНИЕ ИНОСТРАННОГО ЯЗЫКА (ФРАНЦУЗСКИЙ ЯЗЫК)
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1. Structure de l’atom
La théorie de Bohr, quoique insuffisante à présent, a servi de base pour développement ultérier de la structure de l’atome.
La modèle de Bohr est basé sur les hypothèses suivantes :
1.Les électrons gravitent autour du noyau sur les orbits stationaires.
2. Durant son mouvement sur une orbite l’électron ne rayonne pas : son énergie ne varie pas et son mouvement ne s’amortit pas.
Sur chaque orbite, l’équilibre dynamique de l’électron obeit aux lois de la méchanique classique.
3.L’état stationaire de l’atom correspond à une énergie global minimum, caractéristique de l’orbit la plus raprochée du noyau.
Sous l’action d’un apport extérieur d’énergie résultant d’un choc avec un atom ou un électron, on peut modifier l’état énergétique de l’atom qui devient excité et l’électron passe sur des orbites extérieres caractérisées par les niveaux d’énergie plus élevées. Lorsque l’électron retombera sur une orbite plus proche, afin de revenir à son état équilibre, il émettera de l’énergie.
2. L’aluminium
L’alumunium est largement utilisé dans l’industrie, il est le principal constituant de nombreux alliages légers et durs dont on peut citer le plus important : le duraluminium, contenant 94% d’aluminium. Crâce à sa légèrité et sa stabilité, les alliages d’aluminium sont employés dans la construction mécanique. L’aluminium est utilisé dans la construction des lignes électriques à cause de sa légèrité et bonne conductibilité électrique. Il est employé dans la fabrication des appareils optiques et photographiques, des peintures, des textiles à fil métallique, etc. À l’heure actuelle l’aluminium est universellement utilisé.
3.Force des bases
Puisque les propriétés caractéristiques des solutions basiques sont celle des ions OH- , ces propriétés doivent se manifester d’autant plus nettement que ces
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ions sont plus nombruex. Inversement, de deux solutions ayant même volume, même dilution et même température, celle qui est le fortement basique doit être la plus ionisée. L’expérience confirme ces prévisions. Donc, on peut répartir les bases en deux grands groupes : les bases fortes et les bases faibles.
Les bases fortes en solution aqueuse, sont sensiblement ionisées en totalité : elles sont de même force. Example : la soude et la potasse.
Les bases faibles en solution aqueuse, sont très partiellement ionisées ; leur degré d’ionisation, défini comme dans le cas des acides, est notablement inférieur à l’unité ; en outre, il croît avec la dilution.
Si on compare des solutions basiques de même norbalité, la «force» de chacune de ces solutions basiques sera d’autant plus grande qu’elle refermera un nombre plus élevé d’anions hydroxydes.
Corrélativement, ces solutions conduisent d’autant mieux le courant électrique qu’elle sont plus fortes.
4.Corps pur. Éléments.
Les substances naturelles sont souvent très complexes, ce sont des mélanges de corps purs.
Un corps pur est une substance chimique determinée dont les propriétés sont nettement définies. Les opérations par lesquelles on sépare les corps purs d’un mélange constituent l’analyse immédiate dont les processus sont nombreux : La distillation, la cristallisation, la dissolution etc.
Pour déterminer une substance pure, il suffit en général de vérifier que le point d’ébullition sont fixes.
Les corps purs se divisent en deux groupes :
-Les corps composés comme, par example, l’eau qui peut être décomposée en hydrogène et l’oxygène ;
-Les corps simples qui sont indécomposables en d’autres espèces chimiques. Ainsi, l‘oxygène est un corps simple.
Un corps simple peut se présenter sous différentes formes. Le soufre, par example, s’observe sous deux formes cristallisées appellées Sα et Sβ . Ces deux variétés de soufre ont des propriétés physiques distinctes.
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L’élément est donc la partie commune à toutes les variétés d’un corps simple est aux composés.
Le nombre des éléments est assez petit, l’ordre de 100, tandis que les corps pure se comptent par certaines de milles.
5. Dissociation électrolytique des substances en solution
L’eau par elle-même a une très faible conductibilité électrique.
Beaucoup de solutions aqueuses, spécialement celles des substances organiques (sucre, glycérine, alcool) sont aussi des mauvais consucteurs de l’électricité. Mais beaucoup d’autres solutions aqueuses conduisent bien le courant. Ce sont les solutions des plupart des acides (acide chlorhydrique, acide acétique, etc.) des bases (hydroxyde de sodium, hydroxyde de calcium, etc.) et des sels (chlorure de sodium, tartrate de potassium, etc.).
L’interprétation de la grande coductibilité electrique de ces solutions a été donne par le chimiste suédois Arrhénius qui admit qu’une partie ou tout le corps dissous se trouve dans la solution non pas à l’état de molécules, mais sous forme d’ions séparés, portant des charges positives et négatives.
Quand on écrit l’équation d’une réaction chimique entre les électrolytes forts en solution, ce sont les ions qu’il importe d’y faire figurer, ceux qui réagissent ainsi que ceux qui se forment.Ainsi la précipitation du chlorure d’argent par addition d’une solution d’acide chlorhydrique à une solution de nitrate d’argent sera écrite :
Ag+ + Cl- → AgCl
(argent plus chlore donne chlorure d’argent).
L’équation ionique représente la réaction réelle : la combinaison de l’ion argent avec l’ion chlorure pour donner le chlorure d’argent.
L’équation chimique qui correspond le mieux à la réaction réelle met en évidence les molécules ou les ions qui effectivement réagissent ou se forment.
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6. Des isotopes
C’est la spectrographie puis la spectrométrie de masse qui ont permis de déterminer les masses atomiques et de démontrer que la plupart des corps simples étaient des mélanges d’isotops, dont le nombre est très variable.
Le plombe compte 8 isotops, le xénon 9, l’étain 10, tandis que le bore, le fluor, l’aluminium et le phosphore n’en ont pas.
En principe, la proportion des isotopes d’un élément est la même dans tous les produits naturels qui renferment celui-ci.
De nombreuses réactions nucléaires fournissent des isotopes artificiels dont beaucoup sont radioactifs, donc instables.
Les légères différences des masses entre isotopes laissent prévoir de faibles différences entre leurs propriétés physiques. C’est ainsi que les quatre inversions constatées dans la classification périodique s’expliquent par l’existence d’isotopes dont les abondances relatives sont telles qu’il y a désaccord entre le classement basé sur le numéro atomique et celui obtenu d’après les masses atomiques qui dépendent de la constitution des noyaux.
Le véritable élément en tant qu’entité chimique caractéristique est donc défini par son numéro atomique et sa masse isotopique.
КЛЮЧИ К КОНТРОЛЬНЫМ РАБОТАМ:
A. 1 семестр Вариант А
С5: a. on considère, b. on détermine, c. on oppose, d. on caractérise, e. on distingue, f. on appelle, g. on trouve
3.1.Considère-t-on ? On ne considère pas. 3.2.Détermine-t-on ? On ne détermine pas. 3.3.Oppose-t-on ? On ne oppose pas.
3.4.Caractérise-t-on ? On ne caractérise pas. 3.5.Distingue-t-on ? On ne distingue pas. 3.6.Appelle-t-on ? On ne appelle pas. 3.7.Trouve-t-on ? On ne trouve pas.
D1 a. comme, b. en, c. sur, d. à e. par, f. de
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D2 2.1.a, 2.2. b, 2.3. b, 2.4. c, 2.5. b
B.2 семестр Вариант А
C2: 2.1. sont caractérisés, 2.4. est emploié, 2.5. sont expliqués
Впунктах 2.2 и 2.3 замена невозможна (так как глаголом обозначено одно из физических свойств элемента).
C3: 1. Qu’est-ce que c’est le soufre fondu ?
2.Pourquoi sa viscosité est-elle faible ?
3.Quand le soufre liquide donne-t-il un produit plastique ?
4.De quel couleur est le soufre pur ?
5.À quelle température le soufre fond-il ?
D1 1. de, 2. dans, dans, de, 3. à la, de, 4. |
5. au-dessus |
de
C.3 семестр Вариант А
С3:1. Qu’est-ce qu’etait la base des premières classifications ? 2. Quelles propriétés physiques ont les métaux ?
3.Quel métal est l’exception ?
4.Quelles propriétés physiques ont les éléments non métalliques ?
5.Comment réagissent les éléments non métalliques avec l’hydrogène ?
6.Quelles combinaisons sont formés dans la réaction avec l’oxygène ?
7.Quelle réaction donne le sel ?
D1 : 1. entre, 2. en, 3. plus, 4. par, 5. De
Литература:
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11.Осетрова Т.А. Методические разработки по разговорным
темам (рукопись)
10.Электронный словарь ABBYY Lingvo x3, версия 2007
11.La petit LAROUSSE. Dictionnaire encyclopedique. Paris , Larousse, 1993
Корсакова М.Г.
Изучение иностранного языка студентами заочной формы обучения (французский язык)
Учебное пособие для студентов Всех специальностей заочной формы обучения
Отпечатано с оригинал-макета. Формат 60х90. Печ. л. 3.0 Тираж 100 экз. Заказ № от 15.05.2009 г.
Государственное образовательное учреждение высшего профессионального образования «Санкт-Петербургский государственный технологический институт (технический университет)», ИК «Синтез»
190013, Санкт-Петербург, Московский пр., 26
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