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el_fr-econ-3k_gavr-kril-popova.doc
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9. Bставьте вместо точек нужные предлоги. Напишите прописью и прочитайте на французском языке все цифровые данные, приведенные в тексте:

Le choc de la réunification économique allemande est très dur. … 1990 et 1991, le PIB chute … 45 %. La population active employée passe … 9,4 millions ... 1989 … 6,1 millions en 1995. … l'industrie, les effectifs employés pas­sent au cours de la même période … 3,6 millions … 1,1, soit une baisse des 2/3! Ceci est dû à la faiblesse d'une économie administrée, confrontée à une concurrence « ouverte » avec le reste de l'Allemagne, et au-delà avec l'Union européenne. Mais certains éléments donnent à penser que, …1992, la partie Est de l'Allemagne amorce son rapprochement … les écono­mies de l'Union européenne. Le PIB recommence … croître; il aug­mente … 7,8 % … 1992, … 5,8 % … 1993, … 9,2 % … 1994. Certes, l'industrie … 1995 ne représente plus que 18 % … l'emploi total, une part nettement inférieure … celle de l'Ouest de l’Allemagne (35 %). Mais les effectifs employés … le bâtiment et les travaux publics augmentent … 70 % … 1989 … 1995 (ils passent … 622 000 … 1,1 million). Quant … secteurs des services … entreprises et … particuliers, ils doublent leurs effectifs qui passent … 622 000 personnes … 1989 … 1 244 000 … 1995. Le chômage croît très vite. Alors qu'il est officielle­ment inexistant … 1989, il touche un million … personnes dès 1991. Le taux … chômage se stabilise ensuite … 14 % de la population active.

10. Переведите на французский язык следующие цифровые данные и условные обозначения (обратите внимание на употребление предлога "de") :

1,5 сотни км; 2,5 млн.; 8931 ц ; 9,75 %; 0,5 млн. квт.ч электроэнергии; увеличиться в 2 раза; 7 3/5 п.; четверть сек.; 3,5 тысяч га; 71 л.с.; десятки, сотни, тысячи куб.м; 8 457 320 т.; $ 4,5 М ; 384 кб/сек

11. Выберите одно из указанных в скобках слов. Переведите предложение:

Selon le FMI, un ralen­tissement de la croissance de 1… (pour cent/ pourcentage/ intérêt) du PIB du G7 produit un ralentis­sement de 0,4… (pour cent/ pourcentage/ intérêt) de la croissance des pays en transition, tandis qu'à une baisse de 1 point de … (pour cent/ pourcentage/ intérêt) du taux de… (pour cent/ pourcentage/ intérêt) mondial est associée une hausse de la croissance de 0,3 % dans ces pays.

Раздел 2

1. Прочитайте текст и переведите его:

LA RUSSIE ET LES PECO DANS L’ECONOMIE MONDIALE

I. Le bilan de transition

Personne n'aurait cru que la conversion au capitalisme des pays de l'Est serait si longue et si douloureuse. Rappelez-vous: tous les cerveaux de la planète se précipitaient dans les capitales d'Europe orientale pour dispenser leurs conseils, assurant que les félicités de l'économie de marché allaient bientôt se manifester... En 1999, lorsque les Nations unies publient un rapport - bilan sur cette expérience, elles l'intitulent, de façon provocatrice : « La pauvreté en transition ». Boom du chômage, érosion du pouvoir d'achat sous le coup de thérapie de choc, plongée dans la pauvreté de classes entières oubliées des réformes (les retraités, les fonctionnaires...): le passage à l'économie de marché a, partout, représenté un véritable traumatisme. Soumises aux conditions réelles de la concurrence, les entreprises ont subi des baisses spectaculaires de production, et leurs employés se sont trouvés face à des problèmes inédits, comme le chômage ou la nécessité d'une reconversion. Le choc a été si dur qu’à la fin de 1998 seuls trois pays avaient retrouvé leur niveau de PIB d'avant 1990 : la Pologne, qui, la première, a sorti la tête de l'eau dès 1994, suivie par la Slovénie en 1996 et la Slovaquie en 1998. Certes, malgré ces difficultés communes, certains pays ont mieux relevé que d'autres le formidable défi que constituait un passage rapide au capitalisme. Pour ceux-là, dix ans ont suffi à se forger une place dans l'économie mondiale.

Au début de la décennie 2000, la Russie et les pays d'Europe centrale et orientale ont affiché une bonne résistance à une conjoncture économique et mon­diale moins favorable, grâce au dynamisme de leur demande inté­rieure. Depuis 2002, la remontée des prix du pétrole soutient la croissance russe. Dans les PECO, l'adhésion à l'Union européenne a exigé de nombreuses réformes structurelles ce qui a contribué à une forte croissance dans la plupart de ces pays.

II. La Russie : une croissance résistante

mais pas de décollage

La première année du XXI-e siècle a été « globalement positive » pour la croissance en Russie même si le ralentissement a été notable. L'année précé­dente, la hausse des prix du pétrole avait permis l'apparition d'un excédent courant de 17 % du PIB, facteur essentiel d'une croissance record de 9 %. L’année suivante, dans une conjoncture de prix du pétrole moins favorable, le ralentissement de l'activité a été maîtrisé (5 %) grâce à la demande intérieure qui a été le moteur de l'activité ce qui a permis aux entrepreneurs et aux consommateurs d'investir et de consommer, un processus qui, deux années plus tôt, était loin d'être évident.

Ainsi, de nombreux secteurs tournés vers le marché intérieur ont affiché une croissance soutenue à l'instar des machines-outils, de l'industrie légère et de l'agro-alimentaire. Mais ce dynamisme de l'industrie manufacturière russe ne doit pas faire trop illusion. La Russie est, sur le long terme, de plus en plus dominée par le secteur des matières premières. Pétrole et gaz captent la moitié de l'investissement industriel. En outre, de nom­breux secteurs sont récupérés et réorganisés par les groupes pro­ducteurs de matières premières ou de produits de première transformation. Le secteur énergétique manifeste un dynamisme indéniable. La production de pétrole en volume, qui avait chuté de 40 % entre 1990 et 1998, a augmenté de 38,5 % entre 1998 et fin 2003. Depuis 2003 la production de pétrole progresse en moyenne de 8,4% par an. Les pétroliers recueillent les fruits d'une politique d'assainissement financier initiée en 1998. Les prix du pétrole demeureraient un élément déterminant de l’économie russe.

Selon le FMI, un dollar de plus de prix du pétrole fait gagner 0,5 point de pourcentage à la croissance. Et, au milieu des années 2000, la remontée du prix du pétrole devrait permettre à la croissance d'atteindre 7 % désirés.

La situation budgétaire profite, elle, pleinement de la conjoncture, avec un excédent public et des recettes budgétaires de l’Etat central en progression sensible. La pratique de la politique budgétaire a d'ailleurs progressé. Par une gestion active de sa dette (remboursement par avance au FMI, rachat d'une partie de ses titres de dette), l'État a réussi à éliminer en 2003 le pic de remboursement de la dette extérieure publique.

En même temps, la Russie connaît une évolution en profondeur: des grands groupes se développent à partir des matières premières, en devenant multisectoriels et ce mouvement de concentration est plus aisé parce que le contrôle et la diversification de l'actionnariat sont faibles.

III. Les PECO : convergence vers l'Union européenne

L'agenda de l'adhésion a été extrêmement rapide grâce à l'ampleur de l'effort accompli à l'Est pour converger vers son puissant voisin. L'intégration com­merciale et financière a fortement progressé, les structures de pro­duction se sont rapprochées, les critères de convergence ont été atteints.

Or, les spécialisations traditionnelles à forte intensité en main-d'œuvre peu qualifiée (confection) ou à forte intensité de matières premières (chimie, sidérurgie) s'observent toujours dans les pays les moins avancés (Roumanie, Bulgarie). Pour leur part, la Hongrie, la République tchèque et la Slovénie renforcent leurs spécialisations intrabranches dans leurs échanges en s'appuyant sur la convergence des structures de production.

Dans le domaine structurel, d'importants efforts d'adoption de l'acquis communautaire étaient poursuivis dans ces pays: la restructuration de l’agriculture très peu compétitive et qualifiée souvent d'agriculture d'autosubsistance; la modernisation des transports (les progrès accomplis dans ce domaine étaient inégaux mais, dans la plupart des cas, les gouvernements s'efforçaient de moderniser le secteur avant d'ouvrir son capital); la restructuration des banques et des systèmes financiers. Dans le domaine bancaire et financier, la stratégie suivie a été la privatisation avec l'entrée des capitaux étrangers, qui a fait monter le niveau de pénétration des capitaux étrangers entre 60 % et 90 % selon les pays, à l'exception de la Roumanie (35 %) et de la Slovénie (16 %). La Société générale, qui a pris le risque d’investir 1,7 milliards de dollars pour moderniser le système bancaire en Tchéquie, en Slovaquie et en Slovénie, a ainsi touché le jackpot. Les grands chantiers de ce calibre vont se multiplier dans les télécoms, les transports et le traitement des eaux, où les besoins sont immenses. Et les financements aussi. Bruxelles a commencé à débloquer les subventions promises aux nouveaux membres de l’Union: 40 milliards d’euros entre 2004 et 2006, et environ 350 milliards de 2007 à 2013.

Alors que le bilan des progrès accomplis dans la convergence était satisfaisant, le seul dossier délicat était celui des aides directes dans l'agriculture, le seul secteur communautaire directement et effectivement menacé.

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