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L’évolution de la sociabilité au XX sciècle (5)

On avait pu craindre pendant les années 1970 que des individus s’approfondissant à la recherche de leur identité et de leur accomplisement, centrés sur leur sensations et leur émotions soient emportés par un mouvement narcissique et que la société se fragmente à l’extreme. C’est tout autrement que les choses se sont passées. En fait un ensemble de courants a éloigné la société accidentale de la « foule solitaire ». Les gens sont progressivement sortis de leurs forteresses intérieurs. Ils ont essayé de se mettre à la place des autres, devenant plus capables d’empathie. Ils ont souhaité établir, souvent sans en avoir encore les moyens, des liens plus chauds et conviviaux avec leurs semblables. C’est la génération du « moi-je » qui a prévalu dans les années 1970.

A partir 1980, la génération du « moi-nous » prend la relève. Il apparaît une sorte de solidarité, une conscience immédiate du « nous ». Ele est plus guidée par l’instinct et le sentiments de former un système avec les autres que par un quelconque sens du devoir ou une exigence idéologique. Elle est dirigée par le sentiment quasi biologique d’être inséré dans un ensemble vivant, mobile, interactif. La sociabilité se développe : d’une part, sous la forme d’un désir de rencontrer d’autres individus. D’autre part, sous celle, d’une capacité à se connecter, à dialoger.

La communication est l’action de communiquer, d’établir une relation avec autrui, de transmettre qch à qn. Mais la communication ce n’est pas seulement l’information. La personne à qui on s’adresse compte plus que l’information qu’on lui transmet. Elle veut avoir le respect, l’interet, la compréhension etc. Mais tout cela est absente dans notre vie. Les gens ont cessé d’apercevoir la joie ou le chagrin, le plaisir ou l’indifférence, dans les yeux de tous les gens qui les entourent. Tous ont désappris à parler « merci », « s’il vous plait », « bonjour », mais, en meme temps, nous commaissons beaucoup de paroles obscènes.

Maintenant, il y a l’Internet et beaucoup d’autres moyens de communication, qui facilitenr notre communication. Mais ils ne l’amélirent pas, au contraire, ils l’alièrent.

Toutes les choses précitées changent en mal les relations des gens provoquent lq mésintelligence et les disputes dans la société, c’est pourquoi il faut le résoudre.

L’inregration des cultures du monde et le developement de chaque culture national en meme temps (12)

Il est regrettable que le terme d’integration a perdu sa bonne répetation dans de larges secteurs de la société et surtout chez les migrants.

L’ integration c’est cette capacité et cette volonté de vivre ensemble et de participer à la meme existense social. Il s’agit là d’un processus à double sens, la majorité qui donne aux minorités l’occasion de s’intégrer dans un société englobante, et les minorités qui acceptent de s’adapter à des régles qui rendent possible le vivre ensemble dans une meme société, sur un meme territoire.

Concrètement l’ integration se fait par l’inclusion dans des réseaux de travail, de voisinage, d’amitié, d’activités de tout genre où des personnes d’origines deverses se rencontrent, échangent, défendent des causes communes ou entrent en conflit. L’ integration est un processus social et non un contract juridique formulé en termes de droits et de devoirs, obligeant les étrangers à apprendre la lanque du pays et à en respecter certaines valeurs avant de leur reconnaitre le droit à l’accueil dans la société. Ce qui motive les étrangers à s’intégrer, c’est la possibilité qui leur est offerte de faire partie de réseaux de nouer des relations, d’avancer dans l’existance quotidienne avec l’espoir d’échapper à la condition miserable qui était là leur avant l’arrivée en terre promise. Prenons l’exemple de l’apprentissage de la langue : la plupart des migrants n’apprenent pas le français en commençant par des cours diductiquement au point, mais par l’envie de pouvoir s’insérer dans un circuit qui mène à l’emploi. C’est aussi l’envie de dialoguer avec ses enfants, des collègues, des voisins... Pour un jeune immigrant rien de tel pour apprendre rapidement le français que de tomber amoureux d’une Français !

S’il faut donner un mot à cette conception de l’ integration culturelle par la voie des interactions, je préfère celui d’interculturel. Les échanges et les rencontres ont lieu entre des personnes et des groupes et non entre cultures ou identités. La pratique de l’interculturel suppose que l’on accepte que les cultures ne soient pas des essences immuables, mais qu’elles évoluent. Il suppose que les identités ne soient plus des entités historiques figées, mais dynomiques en pérpétuelle recomposition.